Une initiation.

Monsieur Pierre

Les « histoires vraies » que je conte ici ne me sont pas toutes personnellement arrivées, tant s’en faut, il s’agit souvent d’ expériences vécues ou de témoignages qui m’ont été rapportés.

C’est le cas de ce récit qu’un copain, en mal de confidences à moins que ce ne soit de représentation, nous conta, au cours d’une soirée « Tell your tale », soirées quelque peu arrosées, où chacun doit raconter une de ses expériences érotiques…

Voici ce qu’il nous conta:

« Nous venions d’arriver sur Bordeaux et je me sentais un peu paumé dans mon nouvel environnement : le quartier chic dans lequel nous habitions me plaisait mais avait ce côté policé et froid des bordelais que je leur avais découvert étonné en arrivant ici. Arrivant du nord de la Loire je les prenais pour des méridionaux, c’était oublier trois siècles d’obédience à la couronne britannique… et la grande maison dans laquelle nous avions emménagé gardait cette distance des choses qui se refusent.

Peut-être était-ce moi…?

Je me faisais une raison, me disant que ce n’était qu’une question d’adaptation et que dans quelque temps, j’aurais dépassé ces impressions et pourrais apprécier tous les avantages qu’offrait cette belle région.

J’étais toujours autant travaillé par mes envies libidineuses, si ce n’était davantage et étais souvent en proie à des désirs aussi fantasques qu’ impérieux qui me laissaient dans un tel état d’insatisfaction et de frustration que cela me rendait parfois irritable.

Il en était un en particulier, qui s’il m’était apparu en premier lieu aussi fascinant que dérangeant tournait maintenant à la véritable obsession qui me plongeait dans un véritable désarroi quand je m’imaginais passant à l’acte.

Quelques années auparavant, quand j’habitais à R…, je connaissais un type plus âgé que moi qui me draguait et qui pour m’attirer m’avait offert, alors qu’il en faisait commerce tout un tas de revues porno hard qui faisaient mes délices… Je me souviens du titre de ces revues « Climax color », encore très prisées aujourd’hui.

C’est dans une de ces revues que je tombai pour la première fois sur des images de ce qui allait devenir mon fantasme.

Dans une chambre meublée dans le style des années ’80 une jolie blonde en porte-jarretelles et hauts talons se tenait à quatre pattes sur un lit couvert d’un dessus de lit en fourrure synthétique du meilleur goût et souriait, à moitié retournée sur un type qui lui faisait un anulingus.

C’était amplement suffisant pour me mettre dans tous mes états, mais quelle ne fut pas ma surprise quand feuilletant les pages, je vis le type oindre son mignon petit trou du cul de vaseline et y enfoncer deux doigts, puis trois et quatre et enfin y faire disparaître entièrement sa main, l’enfonçant plus loin que le poignet alors que la fille le visage crispé sur une grimace de douleur montrait cependant une intense expression de jouissance…

J’étais subjugué: c’était la première fois que je voyais une chose que je n’aurais jamais oser imaginer. Je venais de découvrir le fisting.

Pendant des années ces images me poursuivirent et j’étais taraudé par l’idée de passer à l’acte.

Dans les premiers temps, essayant de m’y prendre de toutes les façons imaginables je le proposai à plusieurs filles qui toutes refusèrent,

certaines se fâchant presque… en fait une idée se faisait jour peu à peu qui finit par m’apparaître comme une évidence et bizarrement je n’en pris pleinement conscience qu’ en arrivant à Bordeaux: plus que fister une fille, c’était moi qui crevait d’envie d’ être fisté.

Après quelque temps cela tourna à l’idée fixe, et finit par occuper toutes mes pensées.

Je me décidai enfin à franchir le pas et pris un pseudo sur une messagerie rose, déposai une petite annonce :« Bel homme cherche femme aimant pratiquer le fisting pour une relation .. » et commençai les recherches sur minitel.

Ce fut onéreux et parfaitement décevant.

Quand un samedi matin…

Sur l’écran gris en petites lettres bâton blanches dans ma BAL:

« Salut, ton annonce m’intéresse. Appelle moi au 05 56… Monsieur Pierre.

Monsieur Pierre! Un homme?

Pas forcément… c’était un pseudo après tout, et pour une femme qui s’adonnerait à ces pratiques, il n’y aurait rien eu d’étonnant qu’elle eût choisi un pseudo de ce genre.

Je décrochai le combiné et le cœur battant composai le numéro.

Après quelques sonneries, on décrocha.

— Allô!

Une voix d’homme bien timbrée, au ton autoritaire.

— Bonjour, je viens de trouver la réponse que vous avez laissée à mon annonce sur…

— Oui. Vanessa, c’est ça?

Il écorchait mon pseudo mais je m’en fichais.

— Oui, c’est ça!

— Je sais ce que tu cherches. J’habite à Rav…. 11 Rue Paul P … tu connais?

—Oui…

— Je t’attends dans une heure!

Ça y était ! Sans crier gare, ça me tombait dessus: … j’allais me faire prendre le cul, comme la fille du Climax Color et comme elle, par un homme! C’était donc ça…? Était-ce cela que je voulais vraiment…?

Je me sentais envahi par un vertige, alors que je sentais mon cœur cogner dans ma poitrine…

J’allai me préparer, abasourdi à l’idée de ce qui m’attendait.

Je me garai devant le onze, une jolie petite arcachonnaise avec ses boiseries blanches et ses rives de toit chantournées. Le haut mur et le portail

métallique cachaient la façade et ne permettaient d’en voir que le pignon et une partie de l’étage… Bordeaux!

Le cœur battant, je sonnai au portail. L’interphone grésilla. La même voix forte qu’au téléphone.

— Oui ?

— Bonjour. C’est moi…

— Vanessa? J’arrive.

J’entendis ses pas crisser sur le gravier de l’allée et sur un claquement sec le portail s’ouvrit sur un petit bonhomme trapu, crâne rasé, en pantalon d’été et polo Lacoste. Soixante-dix ans facile, alerte comme un jeune homme.

Il se pencha, et à ma grande surprise me fit la bise!

— Bonjour! Suis moi !

Il nous fit entrer dans le hall, où je respirai une forte odeur de tabac froid et referma la porte derrière nous, à double tours. Alors, se tournant vers moi:

— Tu l’as déjà fait?

— Non… C’est la…

— Alors, si je comprends bien, c’est moi qui vais te dépuceler? Mais c’est extra, ça !

Il me plaqua contre le mur.

— Alors, regarde! Regarde, petite salope, c’est avec ça que je vais te dépuceler…!

Me montrant sa main, doigts tendus, avec un petit rire narquois il prit le bas de mon visage et l’étreignant, me forçant à ouvrir la bouche, y enfonça trois doigts me faisant gémir autant de douleur et de surprise que d’un plaisir trouble et me jeta entre ses dents serrées

— Suce les !

Comme je le regardai, totalement décontenancé…

— Fais ce que je te dis, tu m’entends!

— Je m’exécutai, humilié. Il me caressa le visage avec un sourire. Et posant un baiser sur ma bouche:

A la bonne heure!

En un quart de seconde je compris ce qui m’attendait. Allai-je partir?

La curiosité l’emporta.

Il me prit par la taille:

— Avant toute chose: l’apéro!

Il nous fit entrer dans un salon richement meublé et se dirigeant vers une table basse où étaient disposés verres, carafes et bouteilles

— Ici c’est sacré… Viens t’asseoir à côté de moi ma chérie…

— Qu’est- ce que tu bois?

— Je prendrai la même chose que vous, s’il vous plaît…

Il me servit un whisky bien tassé et me tendant le verre…

— Bois, ma chérie, bois… Avec ce que tu as l’ intention de te prendre dans ton petit cul !

Il eut un rire gras.

Il buvait sec, fumait Gauloise sur Gauloise et se racontait de sa voix de stentor. Moi, ce n’était pas ma vie qui l’intéressait…

Il était entré dans l’armée, comme simple soldat, peu après la Libération. L’Indo, l’expédition de Suez, l’Algérie et diverses autres opérations en Afrique, lui avait permis de sortir du rang: sous- lieutenant. Officier! Il n’en était pas peu fier.

L’insécurité rampante qui montait faisait que la société de sécurité qu’il avait eu le nez creux de fonder quand il prit sa retraite marchait fort: il employait une trentaine de personnes et selon ses dires « roulait sur l’or ».

Se servant un quatrième whisky:

— Ah ! La guerre…T’as pas connu ça toi, hein ? Enfants gâtés que vous êtes, avec vos petites couilles dans la soie !

Dans un vertige affolant et délicieux, la tête me tournait… je le regardais en souriant, lui aussi me souriait :

— L’Algérie ! T’as pas connu non plus ça, hein? Qu’est ce qu’on y a passé comme bon temps ! L’anisette… les petites fatmas. Qu’on embrassait… comme ça!

Il se pencha sur moi, attrapant le col de ma chemise, m’attira à lui et m’embrassa de ses lèvres minces, dans un long baiser, au fort goût d’alcool et de tabac.

Je me rendis compte, alors que, depuis que j’étais arrivé chez lui, je n’étais que dans cette attente et me laissai aller sous son emprise, m’amollissant comme une poupée de chiffon…

Il se redressa et me fit lever, se rencognant dans le canapé, jambes écartées, il étendit les bras sur le dossier. Je pouvais voir la grosse bosse que formait son mandrin en érection, sous le pantalon.

— T’embrasses bien…Si tu baises comme ça, ça va être le pied…

Il me regarda avec un sourire, passant sa langue sur ses lèvres dans une mimique obscène.

Je ressentais un vertige troublant, mon cœur battait la chamade et, le souffle court, je sentais mes tempes bourdonner, submergé par l’émotion…

— Va là-bas !

Il eut un signe du menton vers le tapis.

Je ne savais pas ce qu’il allait me demander mais je m’exécutai, depuis que j’étais entré chez lui en un tourne-mains il avait fait de moi sa marionnette.

— Déshabille toi ! … lentement ! Très lentement…Fais moi un strip-tease. Un vrai…comme elles nous faisaient là-bas.

— Mais…j’ai jamais fait… je ne sais pas faire…

— Tais-toi! Fais ce que je te dis !

Je commençai, en m’appliquant à la lenteur, à me déshabiller, déboutonnant un à un les boutons de ma chemise. Adossé au canapé, jambes écartées, bras croisés, il ne me quittait pas des yeux, dans lesquels se lisait sa jubilation. J’ouvris ma chemise mais la gardai et en nouai les pans au-dessus de ma taille.

— Oui… Très érotique, j’aime!

Je faisais effort pour maîtriser mon souffle que l’émotion perturbait, je sentais mon sang pulser à mes tempes, ce test m’excitait et me troublait plus que je ne l’aurais pensé…je le regardais à la dérobée, alors que je sentais son regard rapace peser sur moi.

  • Enlève le ! Lentement…Baisse le, doucement.

Il chuchotait presque… le timbre voilé.

Je fis lentement glisser le pantalon le long de mes jambes…

— Ça te fais bander, hein ? Moi aussi…Moi aussi, ça m’excite ce petit jeu… Tiens , regarde…

Il déboucla son ceinturon, ouvrit son pantalon et le baissa, faisant jaillir son mandrin comme un diable hors de sa boîte. Il était énorme, disproportionné par rapport à la taille du petit bonhomme. En forme de massue, très épaisse, au niveau du gland , la longue hampe s’affinait à la base dans une couronne de poils gris blonds, qui descendaient frisotter sur les lourds testicules..

—Elle te plaît… ? Dis moi, ma salope… elle te plaît, hein ? Tu vas te la prendre aussi, toute entière…! Je vais te faire gueuler, moi, petite traînée! Tourne toi ! Montre moi ton joli cul ! Tu es beau mon salaud ! Tu me plais…

Ce disant, il avait commencé à se branler, lentement, me fixant toujours de son regard vicieux. Je me tournai dévoilant mes fesses à son regard avide.

L’indécence et la salacité de la situation étaient telles que j’en bandais douloureusement, je l’entendais souffler et murmurer des paroles indistinctes… Puis élevant la voix :

— Caresse toi, salope!  Caresse toi, je te dis!

Un instant décontenancé, je me tournai et vis son sourire torve , alors qu’il hochait lentement la tête, branlant toujours son énorme chibre, je commençai à me caresser doucement, le haut des cuisses, avec des mouvements gauches et empruntés …

— Ouais, c’est ça,…comme ça… Continue!

Je le regardais fasciné par le monstre au gland bleuâtre qu’il étreignait entre ses doigt osseux.

Une étrange torpeur m’oppressait, sans m’en rendre compte j’avais accentué mes caresses sur mes fesses, mes hanches, mon ventre, bientôt , j’étreignais ma poitrine, soupirant et geignant, dans un état second j’avais fermé les yeux, que je sentais se révulser sous le coup de l’excitation, je m’étais mis à soupirer et à geindre au grand bonheur de mon tourmenteur que j’entendis m’encourager :

— Oui… ! C’est ça… ! C’est comme ça que je te veux… Oui ! Continue… Encore… ! Encore ! Branle toi, salope… ! Branle toi !

Je fis ce qu’il ordonnait, avec une lasciveté qui m’avait envahi tout entier, je ne me maîtrisais plus, me mordant les lèvres et me tordant devant son regard que je sentais de plus en plus excité…lui aussi se masturbait, de plus en plus fort, grinçant entre ses dents :

— Oui… C’est ça… ! Lâche toi… ! Lâche toi… !

Je m’étais mis à gémir d’excitation en le voyant branler son lourd mandrin… J’étais envoûté.

. Que se passait-il avec ce type ? Qu’avait-il… ? Pourquoi étais-je si docile… ? Jamais je n’aurais pensé pouvoir ressentir ça : je me sentais totalement soumis et demandais à l’être encore.. Je voulais être sa pute, et qu’il me traite comme telle… je me savais désormais, être sa petite salope, ravagée du plaisir pervers à l’idée de me faire défoncer le cul et de prendre mon pied avec son gros chibre.

Avec un sourire hautain, il fit un signe de la tête…

— Viens là!

Je m’approchai. Il tapota le divan.

— Assieds toi, là ! Dépêche !

Il me prit par les épaules et relevant mon menton me fixant de ses yeux durs:

— Tu es ma gonzesse à partir de maintenant ! C’est clair? Tâche de t’en souvenir ! Tu feras ce que je dis ! Tout ce que je te dis ! Regarde moi !

Il resta un long moment à me fixer dans les yeux, impérieux.

— Tu es prêt à m’obéir en tout ce que je t’ordonnerai de faire?

Je ne sais ce qu’il me prit:

— Oui…Oui chéri!

— Viens là!

Il se leva, remontant son pantalon et se dirigea vers le corridor. Je le suivis. Il prit ma chemise par un pan.

— Enlève! Maintenant, tourne toi face au mur, étends les bras ! Tu ne bouges plus ! Tu m’entends ?

Il s’en alla…

je m’attachai à observer les motifs de la tapisserie pour me distraire des impressions et pensées qui se bousculaient dans a tête.

Que voulait-il? Combien de temps allait-il faire durer ce jeu idiot? Pourquoi est ce que j’acceptais cette épreuve…?

Je commençai à ressentir des crampes dans les bras, puis des douleurs insidieuses envahirent mes épaules. A plusieurs reprises, j’eus envie de m’en aller… Pourtant, je restai.

Le silence de la grande maison vide m’oppressait… le temps s’étirait en un non-sens insupportable…où était il?

Je n’en pouvais plus d’inconfort ainsi que de l’absurdité de la situation, j’avais mal aux bras et mes épaules n’étaient qu’une douleur… à deux doigts de lâcher prise, j’ entendis s’ouvrir la porte de derrière.

— Retourne toi! Viens là!

Il me prit dans ses bras et m’embrassa. Je m’abandonnai envahi par un sentiment de gratitude incompréhensible Me prenant par la main, il me ramena dans le salon.

Il s’assit dans le canapé et me fit signe de m’y installer, me fixant longuement il me demanda:

— Alors ?

— Je n’ai pas aimé mais je suis content de vous avoir satisfait.

— Je ne t’ai pas demander d’aimer, mais de m’obéir et tu m’as obéi. C’est bien! Viens.

Il se mit alors à m’embrasser avec une douceur surprenante. Je fondais entre ses bras et m’y abandonnai, soumis…heureux de complaire à celui que j’acceptais comme mon maître.

S’écartant il se redressa, déboucla à nouveau sa ceinture et ouvrit son pantalon produisant son impressionnante mentule, tout en me fixant d’un regard fiérot. Il se remit à m’embrasser, et prenant ma main la dirigea sur son entrejambe, me laissant fouailler par sa langue, je m’emparai de son formidable gourdin incroyablement chaud et lourd, je fis glisser la peau douce et lisse du mandrin aussi large que mon poignet, laissant échapper une exclamation, malgré le baiser qu’il m’infligeait.

— Tu l’aimes ma grosse queue ? Hein ? Tu l’aimes ! Montre moi comme tu l’aimes… Allez, suce moi, petit pédé ! Suce moi, je te dis !

Il écarta largement les jambes et se renversa sur le divan, en appui sur ses bras tirés en arrière, ce qui dégageait sa bite qui se dressait, palpitante, dans sa superbe arrogance… Agenouillé devant lui, j’étais subjugué par la vue de sa grosse queue, lui me regardait, jambes écartées, avec un sourire hautain et dominateur.

Je commençais à caresser ses lourdes couilles que je me mis à malaxer avec une force contrôlée… je le vis froncer les sourcils, avec un léger rictus…un peu de douleur… juste un peu !

Empoignant l’épais mandrin, j’exhalai un long gémissement de désir et de fièvre , en éprouvant la peau lisse et douce, fasciné par l’énorme gland bleuâtre, que je décalottais à gestes lents. De ses mains dures, Monsieur Pierre caressait mes épaules.

En même temps que je me masturbai doucement, je caressais les lourdes couilles taurines, effleurais du bout des doigts l’épaisse hampe, me repaissant du spectacle de l’impressionnante mentule que je branlais avec douceur, fasciné par l’étrange et terrible beauté de l’énorme gland turgescent et violacé que je décalottais à gestes alanguis.

J’étais subjugué.

J’accentuai ma pression sur la hampe. L’enserrant, maintenant, fortement des deux mains, je me mis à la branler lentement, ensorcelé par la vision de l’impressionnant bourgeon de chair violâtre que je commençai à titiller de la pointe de la langue. Distendant mes lèvres humides, lentement je le fis pénétrer tout entier dans ma bouche, je répétai plusieurs fois le mouvement accentuant à chaque fois la succion que j’exerçai sur l’épais cabochon.

Je le gardais en bouche, tournant ma langue autour, alternant avec des mordillements puis lentement le ressortais, le faisant glisser entre mes lèvres.

De sa voix de stentor, il me jeta:

— Arrête !

Il me prit par les cheveux et me tira en arrière

— Arrête, je te dis!

Il me gifla:

— Va falloir que tu apprennes à obéir un peu plus vite, petite traînée!

C’est pour ça que je t’ai fait venir, hein? Est ce que c’est pour ça…? Réponds!

Je n’avais qu’une envie: lui balancer mon poing dans la gueule, au lieu de ça je m’entendis lui répondre:

— Non.

— Non, qui…?

— Non , Monsieur.

— Monsieur Pierre… quand tu t’adresses à moi, c’est Monsieur Pierre, t’as compris?

— Oui, Monsieur Pierre.

— Eh ben, tu vois quand tu veux… Tu n’as pas répondu à ma question! Pourquoi je t’ai fait venir, salope, hein? Pourquoi? Dis le ! Allez dis le…! Tu le sais pourquoi t’es là ?

Me prenant par le menton, il m’obligea à le regarder dans les yeux

— Oui…

Il me saisit à nouveau par les cheveux et grinça:

— Oui, quoi? Qu’est ce que ça veut dire ça, hein? Réponds correctement quand je te parle! Dis le pourquoi tu es là, petite pute… Dis le ! Tu veux quoi?

Je bredouillai:

— Je veux… que …tu me fistes.

— J’ai rien compris. Répète!

Presque en criant :

— Je veux que tu me mettes ta main dans le cul!

Il eut son rire.

— Ma petite salope! Viens!

Il me prit dans ses bras et m’embrassa.

J’étais son objet. Alternant selon son gré les moments tendres avec la plus grande brutalité, il me paumait complètement.

Je ne le compris que plus tard, mais cela faisait partie d’une stratégie bien définie, qu’il mettait en place avec une précision toute mécanique.

Il me prit la main, l’embrassa et la tenant haut comme pour une danse:

— Viens ma chérie, Viens avec ton maître!

Il m’ amena ainsi près d’un voltaire qu’il avait recouvert d’un plaid.

— Tourne toi! Mets toi à genoux sur le fauteuil. Dépêche-toi! Viens, mon giton…Viens ! Je vais te faire jouir…— il eut à nouveau son rire narquois — Tu vas voir comme je vais bien m’occuper de toi !

Il jouait avec moi.

Il s’était accroupi derrière moi et, avec des soupirs et des grognements de contentement caressait mes fesses, que je tendais sur sa caresse. Je sentis ses mains écarter mes lobes fessiers et il se mit à déposer de légers baisers sur mon œillet me faisant ressentir des frissons de plaisir. Je m’ écartelai sur son baiser appelant une caresse plus appuyée.

— Ah! Ma chérie, que t’as un joli cul … je voudrais que tu voies ça!

Et avec un grognement de plaisir il écarta encore mes fesses. Après une pause pendant laquelle je devinai qu’il se repaissait du spectacle de ma rosette, il l’embrassa passionnément, y dardant sa langue. Je me tordis gémissant de plaisir sous l’impudique baiser.

Mon maître m’enjoignit de bien écarter les jambes et de creuser les reins dévoilant mon armille à ses regards. Il se leva et après avoir ouvert un tiroir, revint avec un étui de carton bleu… de la vaseline.

Tout en m’embrassant les reins, le dos il se déplaça légèrement sur ma gauche, déposa une noisette du liniment au bout de son doigt, et écartant mes fesses, se mit à m’en masser délicatement l’anneau, c’était une sensation si agréable que j’en fermai les yeux, soupirant d’aise. Doucement, avec lenteur et délicatesse il l’enfonça dans ma bague mauve. Ce fut une sensation qui me foudroya de douceur chaude et lisse… je me tétanisai dans un étonnement délicieux.

— Oh! Oui! Oui…

— Tu aimes ça, hein ma chatte? …Tiens…tu vas t’en prendre deux!

Il se retira, puis enfonça doucement deux doigts, desquels il branla longuement ma rosette, alors que je le sentais les retirer:

— Encore chéri… Oh ! Encore… Remets-les! Encule moi avec tes doigts..!

— Mais, c’est pour ça que tu es là, mon amour !

Il riait.

— Demande le moi, salope!

—Mets-moi, chéri! Oh! Mets-moi…!

— J’ai pas compris ! Demande le encore! Allez, demande!

— Fourre moi tes doigts dans le cul!

— T’es vraiment une sacrée salope, toi…!

— Oui! Oui! Je suis ta salope. Oh, vas-y, chéri. je t’en prie . Fais-le ! Fais le chéri, j’en crève d’envie. Oui, fais moi jouir…fort!

— Demande le encore, mieux que ça! Supplie moi!

— Mets moi tes doigts dans le cul, chéri, je t’en prie!

À travers ses dents serrées, il grinça

— Petite tapette… Aah, tu m’excites, toi…! Oui, je vais te faire jouir ma chérie, tends ton cul, ouvre toi salope!

Et joignant le geste à la parole avec un gloussement il glissa à nouveau avec une lenteur calculée ses doigts dans ma rosette me faisant pousser des soupirs de délices…

— Oh! Oui! C’est bon…! Continue, chéri

Mon maître eut un rire de gorge…

— Oui! C’est bon, hein? Petite vicieuse… Tu aimes ça, hein? Eh bien! Tu vas être servie!

Et je l’entendis rire à nouveau alors qu’ il embrassait mes reins avec des petits bruits de gorge pendant qu’il branlait lascivement mon anneau de ses deux doigts…

Il se retira et écartant mes fesses, y déposa une noix de vaseline, il enfonça alors trois doigts, que je sentis plonger dans mon armille qui s’ouvrit avec une étonnante souplesse…

Oh! Je n’ai jamais éprouvé ça…! Encore! Oh, encore! —

Il commença alors de longs et lents mouvements de va et vient qui pulsaient des ondes de plaisir me faisant pousser de profonds soupirs… Depuis qu’il m’avait installé sur ce fauteuil, je ne touchais plus le sol. Je bandais à en avoir mal et m’entendis gémir:

— Oh! Encore chéri… Encore…!

Il murmura d’une voix rauque:

— Tu aimes ça, hein, petit pédé !

Il grinça alors entre ses dents:

— Attends, va… J’ai pas fini de te faire jouir, salope!

Je ne voulais plus qu’être la proie de mon bourreau, libéré de tout sentiment d’opprobre ou de culpabilité face à ces actes que j’avais mis si longtemps à assumer avant de me décider à enfin accepter je ne désirais plus que m’abandonner à son plaisir. La lubricité et le vice dans lesquels il me faisait me vautrer m’étaient un bienfait tel que je n’en avais jamais encore ressenti. Ce type odieux qui me traitait avec mépris et brutalité m’offrait une expérience à laquelle je m’étais trop longtemps refusé, expérience qui me faisait réaliser que rien ne m’avait jamais permis de vivre un moment aussi exaltant et libérateur que celui qu’il me faisait connaître.

Au bout d’un long moment pendant lequel il n’arrêta pas de me faire jouir, il se retira. Je me saisis de sa main et le suppliai:

— Oh! Encore! Reste , chéri, reste !

— Oui, ma garce, attends…

Après avoir encore enduit sa main de liniment, réunissant quatre doigts en coupe mon bourreau les poussa dans mon orifice lentement comme à l’affût de mes réactions. Avec précautions, me faisant haleter sous le joug d’une jouissance inouïe il détendait progressivement ma rosette. M’infligeant une douleur que j’appelais, il fit pénétrer ses quatre doigts jusqu’au métacarpe. Je criais de jouissance. Lui poussait des exclamations rauques, éructait des mots obscènes et faisait longuement aller et venir ses doigts dans un lent mouvement qui me rendait fou de plaisir.

Je râlai secoué de spasmes de jouissance, alors qu’il continuait à fouailler mon anneau de sa main me grinçant insultes et obscénités qui ajoutaient à ma folie bacchique. Puis il se mit à puissamment, langoureusement enfoncer ses doigts en les tournant, s’appliquant à m’en faire sentir l’impérieuse intrusion. Il me faisait jouir sans discontinuer, mon sexe plaqué à mon ventre dans une érection presque douloureuse, les yeux fermés, je gémissais et râlais, imprimant à mon bassin de lents mouvements lascifs sur l’âpre caresse.

— Oh ! Que tu es douce, petite pute… Que c’est bon… !

Doigts en coupe il poussait fortement sa main avec de lents mouvements de rotation du poignet dans ma rosette distendue; il m’avait pénétré de ses doigts jusqu’au métacarpe, me faisant gémir d’un terrible plaisir. Je l’entendais pousser des soupirs rauques et murmurer des mots obscènes chauffés à blanc…

Ressortant lentement sa main mon baiseur l’oignit entièrement de vaseline remontant plus haut que le poignet joignit ses cinq doigts en coupe et en poussa les premières phalanges dans mon anneau.

— Tends toi! Écarte toi, petite pute !

Je me cambrai… quand je sentis la taille de son poing, je pris peur.

— Oh! Chéri… C’est trop… tu vas me faire mal !

— Mais non, ma petite chérie, fais moi confiance… si tu as trop mal, j’arrêterai, mon amour…

Au rire qu’il eut en disant ces mots, je sus qu’il n’en ferait rien…mais je savais aussi maintenant que quoiqu’il m’en eût coûté je serais allé jusqu’au bout.

Je le sentis pousser sur sa main, doigts tendus, qui s’enfonça, distendant mon anneau. Mon sang me battant aux tempes, j’étais dans un état second…

Il commença de lents mouvements de rotation de sa main, sur laquelle, ahanant, il se mit à forcer. Une douleur intense, pulsait maintenant en ondes de plus en plus puissantes, irradiant mon fondement, générant un plaisir brutal que j’ appelais en  geignant, poussant  encore davantage ma croupe vers  la main qui la violentait. Mon bourreau intensifia sa poussée effectuant de nouveau ses mouvements de rotation. Son souffle était devenu rauque et il se mit, sous l’excitation qui l’envahissait, à grincer des dents. Il continuait dans une obscène litanie à proférer un torrents d’insultes et de mots crus qui ajoutaient à ma folie

Dans la terrible torture de ce plaisir douloureux, je me sentais emporté par un tourbillon de luxure et éprouvais un vertige que je n’avais jamais ressenti. Un puissant désir m’empoignait et me secouait, impitoyable…dans un état second, je geignis et suppliai mon tortionnaire

— Oh ! Oui ! Chéri… Encore ! Encore ! Oui !

Entourant ma taille de son bras, me serrant contre lui, mon baiseur poussa plus fort encore sa main entre mes fesses que lui j’offrais, écartelées sur l’affolant supplice, et ahanant sous l’effort, me serrant contre lui avec force, il me jeta grinçant entre ses dents:

— Tu sens comme je te baise, traînée?

Mes sphincters distendus, pulsaient des ondes de douleur à chaque mouvement de mon bourreau. Je savais que cette douleur m’était un bonheur: c’était elle était la véritable génératrice du plaisir que j’éprouvais et l’acceptais, l’appelais.

Malgré la souffrance que j’endurais, le bras en arrière je le caressais, l’attirant, l’invitant à venir en moi, plus encore. Ses assauts se firent plus rudes et plus douloureux. J’entendais ses ahanements de plus en plus violents auxquels je mêlais mes gémissements qui allaient crescendo.

La douleur qu’il m’infligeait monta encore d’un cran supplémentaire et mes gémissements devinrent des râles. Mon tortionnaire pesait maintenant de toutes ses forces sur sa main. C’était un véritable supplice et je haletai sous l’effort que je devais faire pour parvenir à l’endurer.

Je crispais mes mains sur le plaid que j’avais empoigné. Les yeux écarquillés par la souffrance, je hoquetais appelant mon bourreau en l’implorant:

— Encore ! Oh! Encore..

La tête rejetée en arrière, tétanisé sur ma douloureuse volupté, je sentis mes yeux s’emplir de larmes qui coulèrent sur mes tempes.

Sur une nouvelle poussée, plus forte, plus terrible encore, qui me fit mugir, mes sphincters cédèrent et avec un bruit de succion, sa main s’enfonça d’un coup au tréfonds de mon ventre.

L’orgasme explosa en un flash éblouissant d’une telle violence que j’éjaculai, alors que mes yeux se révulsaient. Croyant défaillir, je m’écroulai sur le dossier du fauteuil.

Émergeant de ma torpeur j’entendais mon baiseur me murmurer des mots tendres alors qu’il embrassait mes reins avec douceur, il recommençait à imperceptiblement bouger sa main en moi doucement, à lents et délicats mouvements, éveillant le subtil réseau, de mes sensations exacerbées, je me mis à soupirer profondément et à produire de petits râles qui lui disaient la volupté qu’il me faisait ressentir. Par vagues, au gré de ses mouvements, elle montait, enflait comme une houle, me faisant gémir et soupirer.

Il se mit à imprimer à son poignet une série de petits coups brefs, mes gémissements se muèrent alors en râles après quoi, ramenant sa main avec une lenteur, il la retira presque entièrement pour l’enfoncer encore dans un long mouvement lascif alors que je me cambrais, me tordais, dans des orgasmes qui se répétaient, au gré de la main que mon amant, faisait lascivement fluer et refluer en moi.

Voyant à quel point il me faisait jouir, mon baiseur se mit à intensifier ses mouvements, qui, s’ils demeuraient lents et mesurés, n’en gagnaient pas moins en puissance, gagné par une excitation farouche, il retirait maintenant entièrement sa main, pour l’y replonger, quelques secondes après me faisant crier de jouissance.

Pendant de longues minutes il me fit ainsi crier, soumis sous sa férule.

Vaincu par une jouissance que je hurlai et m’effondrai, sanglotant, sur le dossier du fauteuil.

Alors, lentement, avec douceur, embrassant mes reins, me murmurant de tendres mots obscènes, il se retira.

Pantelant, comblé de stupre et de volupté, j’étais affalé sur le dossier du voltaire, pendant qu’il se relevait.

Je restai prostré mon front reposant sur mes bras appuyés au dossier du fauteuil, haletant à la recherche de mon souffle, secoué autant moralement que physiquement par ce que je venais de vivre, endolori et bouleversé par cette extraordinaire expérience, le retour au réel était confus .

Je me retrouvais seul avec moi-même, face à ce que je venais de « commettre ». Loin de m’en sentir coupable ou honteux j’étais fier d’avoir osé transgresser une morale qui me rangeait au rang des « dévoyés », et d’avoir assouvi et assumé mon fantasme…je ne brûlais que d’une chose: recommencer.

L’attitude de mon baiseur et surtout mes réactions face à celle-ci me désorientaient. Tout se bousculait dans un chaos total…C’était trop, trop vite.

il revint, tenant un rouleau de papier ménage, dont il détacha quelques feuillets et s’en essuya les mains.

S’approchant à pas lents, il me toisait d’un regard rogue, et vint se placer près du fauteuil légèrement à gauche, jambes écartées, sa grosse queue ballottant tout près de mon visage; alors que tendais la main pour m’en emparer il me prit par les cheveux et me forçant à le regarder dans les yeux, il ricana et d’un air faussement enjoué:

— Et maintenant, je vais t’apprendre à jouer à « Pas touche ! », hein, petite tapette ?

M’empoignant toujours par les cheveux, il se mit à se masturber à gestes lents, maugréant des mots crus .

Il m’avait fait me tourner vers lui. Assis sur mes talons, j’étais juste à la hauteur de sa taille, sa magnifique bite qu’il branlait à quelques centimètres de mon visage.

— Regarde! Regarde la… elle te fait envie, hein? T’as envie de la sucer, hein, traînée ? Tu la voudrais la prendre dans ta bouche… ou dans ton cul, petit pédé! Aah! Oui! Mate moi, salope!

La voix hachée par l’excitation, il montait, à courts râles précipités, haletait; ce qu’il venait de me faire subir, pour mon plus grand bonheur, l’avait mis dans un tel état que je sentais qu’il allait bientôt jouir.

M’agrippant par les cheveux, il me faisait mal mais fasciné par le spectacle de sa belle bite turgide sur laquelle se crispait sa main bénie j’éprouvais un attrait hypnotique qui effaçait toute autre sensation.

En un éclair, il m’apparut que les codes qui s’étaient mis en place entre lui et moi nous unissaient par des liens bien plus subtils qu’une simple relation de dominant à dominé… je l’appelais, conscient de me rendre à lui et d’accepter tout ce qu’il me ferait subir.

Je le vis se baisser , jambes crispées, comme s’il allait s’asseoir , puis se relever, tout en continuant à se masturber de plus en plus fort, et recommencer, et alors que son corps se tendait, il rejeta sa tête en arrière, il se relâcha brusquement et dans un cri rauque cracha un épais jet de sperme qui m’englua le visage. Dans un râle, il me jeta:

— Ouvre ta bouche, salope!

Il enfonça alors son gland dans ma bouche que docile, je lui offrais et en lourdes giclées il continua à se vider à longs traits convulsifs de son âpre liqueur dont j’avalai une partie alors que l’excès coulait en lourdes larmes de mes lèvres distendues.

Le visage dégoulinant de son épais jet de sperme , je levai mon regard vers lui. Les yeux fermés sur son vertige, respirant pesamment, il revenait lentement de son ivresse, me maintenant sur le lourd pénis que je sentais mollir et devenir flaccide, amoureusement, je le suçai encore… Il essuya de sa main mon visage de son sperme, me la fis lécher puis me prit dans ses bras, son visage à toucher le mien.

— Petite salope! Je… Embrasse moi!

Il disparut à nouveau vers la cuisine où j’entendis un bruit d’eau…

Sa silhouette s’encadra dans le chambranle, il s’essuyait les mains avec une serviette qu’il jeta sur le dossier d’une chaise. Revenant vers moi, il me contourna à pas lents tout en me caressant:

— Alors, petite vicieuse…? T’as aimé comment je t’ai baisée? En tout cas je t’ai bien fait jouir !

Je me redressai lentement et descendis du fauteuil, la tête bourdonnante embrumé de stupre.

— Oh oui! Oui, Chéri…ça a été…

—A la bonne heure! Je suis content que tu aies aimé. Dis moi, serais tu prêt à recommencer ?

— Oh, oui, chéri! Quand vous voulez!

Il eut son rire narquois, me caressant, négligemment.

— Vanessa…! Ma chérie… j’ai été bien inspiré de répondre à ton annonce! Écoute …j’ai quelques copains qui seraient sûrement intéressés par tes talents… Tu aimerais que je te le présente?

— Oui, chéri… Oui! Demandez moi tout ce que vous voudrez !

Il rit encore.

— Ah, ma gonzesse ! Je t’adore…Allez viens ! On va arroser ton dépucelage:un petit whisky pour fêter ça!

Et avec un sourire vicieux, empoignant sa grosse mentule.

— Mais, je te préviens, tu n’es pas quitte pour autant. Je n’en ai pas fini avec toi. »

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