Au Locarno.

Show me the way to the next whisky bar… Ce soir là, j’avais voulu sortir seul en boîte, sans la cuadrilla rassurante de mes peones de copains en titre, et me prouver que j’étais beau, tout seul, matador improbable dans l’arène illusoire de mes dix-huit ans: « Dejad me solo! »* Travolta Lire la suite…