— Inadmissible! Ça montre bien l’intérêt que tu portes à ton travail ! Maître Mazzolo est bien gentil de te garder … si ça ne tenait qu’à moi, je t’aurais foutu à la porte, va ! Viré, oui ! Petit merdeux !En tout cas, ce soir, tu restes rattraper ton retard … tu restes jusqu’à ce que tu aies classé et mis à jour les dossiers jusqu’à H… inclus. Je vérifierai moi-même demain matin.

Et après lui avoir jeté un regard mauvais, monsieur Messina, le premier clerc, claqua la porte derrière lui.

— Quelle peau de vache ! Tout ça pour un quart d’heure de retard !

Resté seul dans le réduit qui lui servait de bureau, Michelangelo prit le parti d’en sourire… Cela faisait peu de temps qu’il était entré dans l’étude, au service de Maître Mazzolo, mais cela lui avait été suffisant pour se rendre compte que Messina, ne pouvait pas le souffrir et celui-ci ne manquait pas une occasion de le lui faire sentir.

C’était Gina, la jolie secrétaire et aussi maîtresse occasionnelle de Maître Mazzolo, qui avait fait engager Michele [note= se prononce Mikélé)], ainsi que tout le monde l’appelait. Amie de sa mère, elle avait de suite pensé à lui quand elle avait su que le notaire cherchait un commis.

Elle lui en parla, le lui présenta, il fut embauché.

— Tu es content Michele ? Tu sais, il m’a dit qu’il te trouvait très gentil, et… très beau garçon !

Elle rit, alors qu’elle le voyait rosir sous le compliment.

— Serais-tu amoureux ?

Cette fois le garçon rougit violemment. Avec sa remarque malicieuse, la jolie fille avait touché juste : Maître Mazzolo, son futur patron avait fait forte impression sur le garçon, et si celui-ci pensait souvent à lui, c’était tout autrement qu’en termes professionnels.

La jeune femme voyant que ses propos avaient vexé Michele, lui fit un baiser sur la joue :

— Allons, je te taquine, voyons !

Ce qu’elle n’avait pas remarqué, la jolie secrétaire, c’est que son patron, de son côté, s’intéressait au joli garçon.

Même s’il s’en amusait, le notaire ne manquait jamais une occasion de l’épier, à brefs regards, comme s’il le surveillait … Il ne pouvait s’en empêcher, y trouvant même un véritable plaisir.

En fait, ça l’amusait, mais surtout, ça l’étonnait. Comment ? Lui, Mazzolo, l’homme à femmes, se sentirait attiré par un garçon…?

Cela avait beau l’étonner, il lui fallait bien admettre l’évidence: le simple fait de le voir dans son bureau ou même de penser à lui, le faisait bander.
 
                                                                                                        ***

A la fin de la journée, dans la grande bâtisse devenue silencieuse, après le départ des employés, Michele s’était mis, sans enthousiasme, au classement des dossiers. Il y en avait pour des heures… Ce serait Maître Mazzolo qui le libérerait lorsqu’il fermerait l’étude en partant. Le garçon pestait contre Messina qui lui avait infligé cette punition — tout ça pour un si léger retard… ce salaud !—

Pourtant, cette punition, il ne la devait pas à Messina. Non… il la devait à Mazzolo lui-même, qui avait vu dans ce stratagème, l’occasion de se trouver seul avec le môme, sans que, qui que ce fût, eût pu en concevoir le moindre soupçon.

Peu de temps après que Michele eût commencé son travail, la sonnerie, retentit, le faisant sursauter. Maître Mazzolo requérait sa présence… Sans perdre un instant, le cœur battant la chamade, le garçon toquait bientôt à la porte de son bureau.

La voix grave de Maître Mazzolo lui intima l’ordre d’entrer. Michele pénétra dans le luxueux bureau et s’attendant à se faire sermonner s’avança jusqu’au bureau du notaire. Celui-ci leva les yeux de sa tâche et considéra longuement son commis. Puis, avec un sourire cordial :

— Assieds-toi, mon jeune ami. Il est temps que nous fassions plus ample connaissance, toi et moi… ne crois- tu pas ?

— Euh ! Oui… Oui, Maître !

Balbutia le garçon complètement décontenancé, ce qui fit sourire le notaire.

— Voilà presque une semaine que tu es ici… te plais-tu parmi nous… ?

— Oh ! Oui, Maître ! Je suis très content d’avoir eu l’opportunité…

Une conversation à bâtons rompus s’engagea alors, ce qui détendit complètement le jeune apprenti ravi de l’intérêt que voulait bien lui prêter son patron.

Mazzolo était un grand bel homme d’un peu plus de soixante ans il avait les cheveux très bruns et frisés, portés en arrière, pas un cheveu blanc… Sous le front haut, de grosses lunettes en écailles encadraient le regard mobile de ses yeux noirs. Le visage long, presque chevalin, était barré d’une épaisse moustache brune qui ombrait la large bouche, le menton volontaire s’ornait d’une d’une courte barbiche. Il émanait de sa personne une aura de calme et d’autorité.

— Je veux que tu saches à quel point je suis heureux de te compter parmi mes collaborateurs…

— Oh! Merci, Maître!

Avec une pointe de déception, Michele pensa alors qu’il s’agissait de la conclusion de leur entretien.

Mais après avoir laissé un long silence pendant lequel il fixa le garçon, Mazzolo reprit :

— Je tiens également à ce que tu saches que je te trouve très sympathique … tu me plais beaucoup…oui, beaucoup!

Évidemment, Gina n’avait pu s’empêcher de rapporter à son amant de patron, la réaction du gamin à sa réflexion le concernant.

Alors Mazzolo, assuré de l’ascendant qu’il avait sur lui :

— Et moi, est ce que je te plais…?

Michele, complètement abasourdi, se mit à rougir et ne put que balbutier:

— Je… euh!…ou…oui… Maître, mais…

il n’était pas au bout de ses surprises :

— Va devant le miroir!

Le notaire ne put s’empêcher d’un sourire en pensant à Lewis Carroll…

Et d’un signe de tête, il lui indiqua la grande glace dans son cadre doré sur le mur de droite.

Hésitant, le garçon se leva et se dirigea face au miroir. Alors qu’il interrogeait le notaire d’un regard perdu, l’ordre tomba :

— Déshabille toi !

                                                                                                                         ***

Abasourdi, Michele jeta un regard incrédule au notaire qui le fixait, sans un mot. Malgré l’émoi qui l’étreignait, le garçon ressentit une violente excitation : ce qu’il n’osait qu’à peine imaginer était entrain de se produire… Aussi, le souffle court, submergé par une émotion indicible, se hâta t-il, les doigts tremblants, de montrer à son patron, qu’il osait à peine regarder, qu’il obéissait à son ordre.

Mazzolo le regardait faire. Quand le garçon eut quitté presque tous ses vêtements, il s’approcha et se tenant derrière lui, le prit dans ses bras… ce fut pour Michele un moment d’intense ravissement, et un sourire de béatitude aux lèvres, il s’offrit sans plus de retenue au regard de son galant.

Le notaire, fasciné, contemplait dans le miroir celui qu’il enlaçait… Avec une grâce quasi féminine, celui-ci se laissait aller dans ses bras, lui dévoilant ses charmes. Le visage aux traits délicats qu’éclairait un sourire angélique, la délinéation pure de ses bras, la douceur de son grain de peau, celle du ventre de nacre, l’évasement émouvant de ses hanches, que mettait en valeur un nonchalant et naturel déhanché, lui étaient un enchantement.

Une des bretelles du maillot de corps, lâchée sur son épaule, dévoilait à son regard avide son sein droit dont le téton rose, gros comme ceux d’une fille le ravit… la vue de la petite bite à la couronne de fin duvet, à moitié cachée par le slip de coton que deux doigts timides commençaient à baisser finit de le plonger dans un état d’excitation sans pareil.

Mazzolo prit alors le bichon par les hanches et le serra contre lui, lui faisant éprouver la grosseur de sa bite turgescente à travers l’étoffe de son pantalon, faisant soupirer le giton lascivement. Il se mit à caresser sa poitrine, faisant rouler entre le pouce et l’index les jolies fraises des affriolants tétons roses, les pinçant fortement. Le mignon se tordait dans ses bras sous l’ âpre caresse en gémissant. Le notaire le fit alors se retourner.

Il l’embrassa.

Mazzolo ne s’y attendait pas. Il se sentit emporté par une tempête d’émotions et de sensations érotiques telles qu’il n’en avait jamais connue, Était-ce parce que c’était, pour lui, la première fois… ? Toujours est-il, qu’ empli de la présence de son jeune amant, il le serrait dans ses bras et embrassait, embrassait encore sa bouche de soie, empoigné par le désir de s’emparer de son merveilleux corps, de le dénuder, de le sentir nu, douceur de sa peau contre sa peau, et de le posséder avec la dernière sauvagerie.

Aussi, quand le giton, caressant son gros chibre que gonflait une érection délicieusement douloureuse, se mit à chercher à ouvrir son pantalon le notaire se laissa faire et l’aida… son pantalon tomba sur ses chevilles et baissant son caleçon il produisit une bite dont la taille subjugua Michele…

Le garçon gémissait et haletait, tout comme lui haletait au comble de l’ excitation, et quand il se laissa tomber à genoux, et se mit avec un râle, à embrasser fiévreusement son lourd gourdin tressautant, à caresser ses couilles pesantes et son ventre que couvrait une toison drue, Mazzolo se laissa entraîner par le torrent de ses sensations, et se tendit vers la caresse qu’il appelait de tout son être.

Son jeune amant distendant ses lèvres, engloutit le gland congestionné, exhalant de longs bruits de gorge, gémissant de plaisir, branlant l’épaisse hampe des deux mains, avec des mouvements de tête et des bruits de gorge disant son avidité, alors que fou d’excitation, sentant qu’il allait éjaculer, son amant hoquetait ses deux mains crispées sur le charmant visage.

Ne pouvant plus se retenir, dans un rugissement, il laissa exploser un geyser de foutre qui emplit la bouche ravie du giton, alors qu’il crispait convulsivement ses mains sur ses cheveux…

— Aah! Aah! Oui…oui! Oh ! C’est bon…!

Alors qu’il achevait sa copieuse éjaculation et redevenait flaccide, le céladon, la bouche dégouttelante de sperme restait agenouillé à ses pieds, caressant sa grosse queue, malaxant ses belles couilles, embrassant ses cuisses, son ventre velu avec des ronronnements enamourés. Quand Mazzollo le fit se relever, il se pelotonna dans ses bras et levant la tête vers son maître avec un regard de gratitude, lui tendit sa bouche reconnaissante. Dans une ivresse renouvelée le notaire s’en empara.

Lorsque leurs bouches se séparèrent, le bichon, hors d’ haleine, d’une voix que l’excitation faisait trembler:

— Oh! Chéri… je n’y tiens plus! Prenez moi, mon amour!

Caressant à nouveau la grosse bite du notaire, le mignon le suppliait d’une voix plaintive et celui-ci, que la caresse ne laissait pas indifférent, recommençait à bander:

Devant le bureau se trouvaient deux fauteuils de cuir brun, Mazzolo y entraîna le mignon, s’assit dans l’un deux et le prenant dans ses bras, le fit asseoir sur lui. Immédiatement, ils s’enlacèrent et s’embrassèrent dans un de ces baisers passionnés qui les laissaient à bout de souffle. Pendant leur long baiser ardent qui mêlait leur langue et entrechoquait leurs dents, le notaire poussé par un désir fou, caressait son jeune amant, cherchant de ses doigts son œillet froncé.

— Viens que je te caresse là, chéri… là! Oui! Là! C’est bon!

Mazzolo caressait du bout de son médius la boutonnière du mignon.

— Oh! Oui, là… Vas-y! Mets moi ton doigt, chéri!

Mazzolo ne se le fit pas dire deux fois et se mit à titiller la petite rosette faisant soupirer le giton qui prit de sa salive sur le bout de ses doigts et la déposant sur son anneau, d’une voix que l’excitation faisait haleter:

— Fourre m’en… deux! Vas-y!

Le notaire était aux anges…il adorait ça. Sentant ses doigts trempés de salive écarter la petite armille souple et pénétrer avec douceur le fourreau tiède et soyeux de son jeune amant, il se dit, avec étonnement, que jamais il n’avait éprouvé de sensations érotiques aussi puissantes.

Il se redressa puis se leva, et tendit la main au giton:

— Viens…!

Il l’emmena près de l’autre fauteuil où il le fit s’agenouiller et s’appuyer au dossier, le fit se cambrer et écarter les fesses, et le mouilla de salive à nouveau. Tendant vers lui ses fesses, le giton exhiba sa rosette dans une invite sans équivoque:

— Encore chéri, encore… c’est trop bon…!

— Oui, mon mignon… oui, Tends bien ton cul… ouvre toi, ma chatte !

Le notaire s’exécuta, hypnotisé par la vision de ses doigts pénétrant le petit cul moelleux, les sentant glisser dans l’armille lisse, il éprouvait une quasi jouissance. Il avait arrêté de se masturber craignant éjaculer. prématurément.

Le giton lançant sa main en arrière saisit la sienne.

— Tes doigts … donne!

Le notaire obéit et lui tendant sa main vit le mignon s’en emparer et sucer et lécher ses doigts avec avidité. Il eut à peine le temps de réaliser la salacité du geste qui le ravissait que Michele lui rendant sa main, et se cambrant, il ordonna:

— Encore…! Branle moi…fort! Oh! Oui! Oui, chéri, comme ça!

Mazzolo travaillait la petite armille avec des soupirs de plaisir, faisant gémir le bichon, quand:

— Oh! Tu me fais jouir! Oh! Que c’est bon! Mouille moi… avec ta bouche! Oui! Comme ça !Oui ! Tes doigts…Encore! … mets m’en trois!

Tout à sa fièvre érotique, dans le chaos des sensations qui se bousculaient en lui, l’éclair d’une pensée traversa Mazzolo: comment un si jeune garçon pouvait être aussi expert dans la pratique du sexe et lui en remontrer au point de le guider. Il n’eut guère le temps de s’y attarder, déjà son jeune amant le pressait:

— Oh! oui, comme ça, chéri…Oui ! Fort! Oh! Fais moi jouir! Encore…!

Le notaire enfonçant lascivement ses trois doigts dans la jolie rosette, jouissait autant de ce qu’il voyait que des sensations qu’il éprouvait, il bandait de plomb et crevait d’envie d’enfoncer son gourdin entre les petites fesses que ses doigts écartelaient.

Ce fut une fois de plus Michele qui prit l’initiative, creusant les reins , il cambra son joli derrière et écartant ses fesses des deux mains, il se mit à en onduler lascivement exhibant son hostie mauve dont la vue envoûtait le notaire.

— Embrasse moi, mon amour… Oh! Embrasse moi!

Le notaire se mit à caresser la taille et les rondeurs veloutées de son bichon les picorant de petits baisers mouillés, effleurant de ses lèvres la mignonne rosette nacrée qui le fascinait. D’une main, il écartait les lobes fessiers du bichon et les yeux rivés à l’armille qu’il voyait se contracter commença à l’agacer de son index, les contractions s’intensifièrent et de sa bouche qu’il y posa, il la sentit, ravi, se mettre à palpiter… alors, amoureusement, avec de longs râles de plaisir, il darda sa langue dans le fourreau de soie dans un baiser qui le bouleversa, sentant son giton dont il caressait la taille se cambrer entre ses mains, gémissant sous l’ineffable caresse.

— Oh! Oui…! Encore!

Mazzolo semblait ne jamais pouvoir se lasser de l’impudique baiser, d’une main, il masturbait à gestes lents le sexe délicat du giton, alors qu’il caressait de ses lèvres, exhalant des soupirs rauques, les suaves petites fesses où se nichait l’adorable œillet de nacre qui le rendait fou de désir.

Cela dura un long moment après quoi, le mignon se redressant vint se lover dans les bras de son amant et l’embrassa d’un de ses affolants baisers. Puis, du geste, le tirant à lui tandis qu’il s’agenouillait, le regard implorant, il enjoignit le notaire de s’allonger sur le tapis entre les fauteuils et blottit contre lui son corps nu. Son baiseur se remit à le caresser, lui balbutiant des mots crus d’une voix que le désir étranglait.

Puis, dans une reptation lascive, caressant son amant, embrassant sa poitrine que couvrait toujours le gilet de son costume, il se laissa glisser jusqu’au ventre velu, qu’il embrassa longuement avec fièvre alors qu’il branlait voluptueusement sa lourde mentule, la fixant, envoûté par son étrange et puissante beauté. Forçant sur l’épaisse hampe il faisait saillir le volumineux cabochon du gland turgide, fermant les yeux, il étira largement sa bouche et y enfouit le gros éteuf congestionné, faisant râler de plaisir son amant.

Tout en continuant à pomper et caresser sa beau mandrin il se tourna, s’agenouilla et écartant largement les jambes, vint se positionner au-dessus du visage de son amant, et se cambrant dans une posture d’une indécence qui ravit le notaire, il exhiba à son regard comblé son hostie mauve dans un appel sans ambages auquel celui-ci s’empressa d’obéir.

Alors que le notaire se jetait de sa bouche sur l’objet de ses délices, fouaillant la petite armille de sa langue avide, le giton dans sa fièvre amoureuse se lovait en se trémoussant sur le ventre de son amant pétrissant ses lourdes couilles, alors qu’il pompait avec frénésie le cabochon de soie de son gland qui emplissait sa bouche.

Leurs gémissements, râles et cris disaient à quel point les deux amants étaient dans leur fureur amoureuse. Celle-ci atteignit son paroxysme quand le notaire enlaçant la taille du garçon enfouit sa bouche pour un ultime baiser effréné, langue dardée dans la mignonne boutonnière. A ce moment, s’arquant dans un rugissement il laissa exploser toute sa semence dans la bouche du giton, celui-ci ne put en avaler toute la copieuse décharge dont une partie s’écoula en épaisses larmes sur son menton, trempant son cou et sa poitrine.

Comblé, Mazzolo caressait et embrassait son ganymède subjugué par sa beauté et sa délicatesse, il souriait, s’extasiant devant l’harmonie des courbes de son beau corps que ses mains ne se lassaient pas de parcourir. Ce merveilleux corps qui lui donnait tant de plaisir… jamais encore, il n’avait connu une telle plénitude.

— Que tu es beau !

— Oh! Mon chéri! Comme vous me faites jouir…Je vous aime! Embrassez-moi…

— Oui! Mon petit amour… oui, petite salope…!

Et joignant le geste à la parle, il embrassait passionnément la bouche délicate que lui offrait son tendre amant.

— N’as-tu pas froid, mon chéri? Tu es nu…

— Non, chéri, je suis bien là, contre vous ! Il fait bon… Oh! J’aime votre ventre, chéri— Il le caressait — J’ai envie de l’embrasser…

Il descendit jusqu’au ventre de Mazzolo et se remit à en caresser et embrasser les poils et à les lécher avec de longs — Mmh! — de satisfaction, son autre main caressait l’entrejambe du notable pelotant les grosses couilles velues, effleurant la belle bite… il ne fut pas long à y mettre la bouche, les embrassant et les léchant avec délices. Mazzolo caressait son dos dont il regardait avec ravissement la musculature fine jouer sous la peau au grain soyeux.

Il bandait à nouveau… Le gamin prit le gland charnu en bouche, se mit à le sucer, l’agaçant de la langue et des dents il fut bientôt turgide, plein de sève, la hampe noueuse se contractant par spasmes dans ses mains. Il continuait à le caresser remontant jusqu’à sa bouche, et lui tendit la sienne que prit le notaire avec la même fièvre… Pensant que jamais il ne pourrait se lasser de ses baisers de soie.

Avec un regard dolent que le désir voilait, Michele prit appui sur les épaules de son baiseur, le souffle court, il l’enjamba, se retrouvant assis à califourchon sur son ventre, sur lequel il caressa avec délices ses petites fesses puis les reculant leur fit éprouver la puissance du gros gourdin qu’il sentait palpiter. Les yeux fermés, le sentant rouler entre ses fesses, il anticipait le plaisir qu’il allait prendre à s’y empaler.

— Oh! Chéri…j’ai tant envie que tu me baises.

Ses paroles exacerbaient le désir de Mazzolo dont le souffle haché disait l’excitation, il caressait, fébrile, la taille, le dos , la poitrine de son giton avec des gestes d’amour.

Celui-ci s’était redressé, au comble d’une excitation intense et gémissant se caressait en même temps, effleurant sur sa peau les mains de son amant. Ce faisant, il lui présentait son sexe délicat, que le notaire prit entre ses doigts et l’amenant à sa bouche se mit à le suçoter, intensifiant les soupirs du mignon, qui cependant ne le laissa pas continuer sa caresse l’interrompant d’ un baiser passionné avant même de jouir.

— Oh! Encule moi…encule moi, maintenant… je n’y tiens plus!

— Oui, mon amour. Oui, ma salope ! Je vais te prendre, maintenant !

Alors que le notaire commençait à se redresser, le céladon qui voulait être pris en Andromaque, le supplia:

— Non! Reste comme, ça je t’en prie…Je vais me baiser sur ta queue, chéri… Laisse moi faire!

Dans un râle Mazzolo souffla souffla:

— Oui, ma petite salope…!

Une fois de plus Mazzolo se demanda: « Comment diable, se faisait il que ce gamin soit si au fait des choses du sexe…? »

De deux doigts en anneau il branlait maintenant le mignon sexe de son giton à gestes lents… alors qu’il continuait à le caresser celui-ci se penchant sur lui se remit à l’embrasser langoureusement et lança sa main droite dans son dos. A tâtons en soupirant, il caressa d’abord les lourdes couilles et s’empara de son mandrin qu’il se mit à branler lentement…

— Oh, baise moi chéri…!

— Oui! Oui, chéri! Donne ton joli cul! Je vais te le baiser!

Haletant, dans un vertige, le tourtereau se mit à genoux, et chevauchant Mazzolo, il saisit son énorme pal, le dirigea entre ses fesses pour l’aboucher à son armille. Puis plaçant ses mains sur les épaules de son amant, il se cambra et se laissa ensuite lentement descendre, arqué sur le lourd mandrin qui distendait anneau par anneau ses sphincters, envahissant les profondeurs de ses entrailles. Écartant largement ses cuisses, avec le gémissement que provoquait l’exquise et douloureuse pénétration, il s’enfonça totalement sur le pal, sentant les poils pubiens crisser sur ses fesses, tétanisé sur l’imposante massue qui emplissait son ventre, alors qu’il suffoquait de jouissance.

Il restait là, empalé sur le magnifique gourdin et semblait ne plus pouvoir bouger. Ce fut Mazzolo qui bougeant imperceptiblement son bassin lui fit éprouver encore la puissance de sa queue. Le mignon ouvrit les yeux avec un regard que troublait l’ orgasme qui l’empoignait.

S’extasiant encore sur les merveilleuses sensations qu’il lui faisait éprouver, le notaire le contemplait d’un long regard , puis il se mit à lui caresser le visage et tournant la tête embrassa ses bras.

Il le prit par la taille et bougea imperceptiblement les hanches, le faisant gémir, puis caressant ses reins et ses fesses, accentua ses mouvements le faisant râler de bonheur

Puis, le prenant par le cou et le penchant sur lui, il prit sa bouche dans un long baiser tendre. Submergé de plaisir, de joie et de gratitude, le giton balbutiait :

— — Oh! Mon amour! Je vous aime…Baisez moi…encule moi fort, chéri…

Dans la griserie de sa jouissance, il s’entendit répondre:

— Tu jouis, hein, petite salope?!

Le giton eut alors un sourire ineffable, alors que Mazzolo l’embrassait encore.

Doucement le faisant rouler de côté, sa belle queue conquérante toujours plantée au fond de son ventre, le notaire se retrouva sur lui.

Il se redressa sur les avant-bras, le tenant par les épaules. Lui faisant écarter les jambes il l’attira de toutes ses forces. Sur un long coup de reins, il s’enfonça complètement en lui. Les yeux écarquillés, la bouche béante, figée sur un cri muet, le bichon eut un geste d’acquiescement, hochant la tête, et lui jetant un regard fou, alors que son baiseur bougeait à peine en lui, émerveillé par ce qu’il lui faisait ressentir, il le supplia:

— Oh! Encore mon amour…continue! Oui Encore! Comme ça…!

De gémissements en râles, sa voix montait, allait crescendo et termina dans un cri rauque. Sentant son souffle sur lui, le notaire voulut sa bouche… il voulait l’embrasser comme il voulait qu’il l’embrasse, il voulait se fondre à lui, comme il voulait qu’il se fonde à lui, alors, il le souleva, l’enserra de ses bras les noua autour de son cou, sa bouche venant se souder à la sienne, ils restèrent, tous deux immobiles, dialoguant de gémissements, de soupirs et de râles.

Puis lentement, lascivement, Mazzolo reprit ses lents mouvements de hanches, emmenant son jeune amant en une transe extatique, dans une houle de jouissance, il le baisa ainsi pendant plusieurs minutes, variant les rythmes et l’intensité de ses coups de boutoir pendant lesquelles, il le fit passer par tous les états, gémissant, râlant, hurlant sa volupté,le giton tremblait, agité de spasmes et de convulsions comme un patin désarticulé entre ses mains, emporté par un maelstrom de sensations lubriques auquel il ne pouvait résister

Alors, le mignon sentit chez son amant, un changement, un raidissement de tout son corps, les pénétrations se firent plus lentes, plus crispées, seulement accompagnées par des feulements rauques, de plus en plus prolongés. A un moment, il se retira presque entièrement, puis dans une étreinte brutale, l’attira à lui avec force, l’enfonçant jusqu’aux couilles sur son mandrin avec un long râle.

A cet instant Michele atteignit le point culminant de sa jouissance et fut balayé par une déferlante à l’apex de son plaisir. Au même moment, dans un gloussement de triomphe, le plaisir de Mazzolo explosa. Il éjacula.

La sensation des jets de sperme, qui jaillissaient en lui, causa au giton une telle jouissance, que dans un paroxysme orgasmique, lui aussi éjacula.

Mazzolo au comble d’une félicité sans pareille caressait le ventre de son chéri que striaient les gouttes de sperme de son éjaculation, il l’embrassait ardemment, et gardant sa grosse queue en lui, avec de lents mouvements achevait sa jouissance, le faisant encore soupirer.

Lorsque le giton chassa le gros vit redevenu flaccide de son fourreau, l’abondante charge de sperme, dont son amant l’avait gratifié s’écoula, engluant ses fesses, sourdant en lourdes rigoles, et en larges gouttes visqueuses, épaisses comme une crème. Le giton y portant la main, la ramena à sa bouche et les yeux révulsés, goûta, dans un râle, l’âpre offrande amoureuse.

Conforté dans ses interrogations par la salacité du geste qu’il venait d’accomplir sous ses yeux, Mazzolo n’en était pas moins en extase, littéralement ensorcelé par son jeune amant, l’embrassant, lui murmurant mots d’amour et mots crus enflammés. Lové contre lui, Michele s’abandonnait à ses caresses, au comble de la félicité.

L’accalmie fut cependant de courte durée… les deux amants, de caresses en baisers, furent bientôt repris par leur fièvre érotique et ne tardèrent pas à reprendre leurs ébats brûlants qui les entraînèrent jusqu’à une heure avancée de la nuit.

Ce n’est que lorsqu’ enfin, ils entendirent l’horloge de l’église sonner qu’ils se rendirent compte que le temps avait filé… onze heures !
                                                                                       ***

[i]Madame Mazzolo allait sûrement poser des questions…! Bah…! il trouverait bien un bobard quelconque à lui servir… ce ne serait pas la première fois. Il sourit … et sûrement pas la dernière… la soirée qu’il venait de s’offrir avec le joli giton ne resterait sûrement pas sans suite ! La pensée lui revint…Un expert pour la baise, ce petit vicieux… ! Et même si « la valeur n’attend pas le nombre des années »,  je trouve ça vraiment étonnant…mais je finirai bien par en avoir le cœur net![/i]

Mazzolo finissait de reboutonner son pantalon et regardait le bichon qui se rhabillait… il ne put s’empêcher de le trouver très beau avec cet air d’ingénuité qui l’avait de suite séduit et qui cachait si bien ses insoupçonnables talents. Alors qu’il enfilait une des bretelles de son maillot de corps, dévoilant un de ses émoustillants tétons, le notaire s’approcha et le fixant dans les yeux, saisit entre ses doigts le fragile mamelon qu’il se mit à violemment triturer…

Le mignon se tordit, jouissant sous l’âpre caresse.

— Oh! Oui…Oui…!

Les yeux fermés, ses longs cils ombrant ses joues délicates, son sourire douloureux… le notaire sous le charme, ne put s’empêcher de l’embrasser. Quand ils achevèrent leur baiser passionné, Mazzolo fixa longuement Michele.

— Avant de te laisser aller, je dois te dire que j’ai pris beaucoup de plaisir avec toi…

— Oh! Merci ! Moi aussi, Maître!

— C’est bien, je vois que tu as compris…!

Écoute, je vais te confier une clé, c’est la clé d’une porte qui donne sur la Via [note = Rue ] Pavona. C’est par là que tu sortiras.Tu la feras refaire et tu garderas toujours le double sur toi… — et, pinçant sa joue avec un sourire — M’est avis que tu risques d’être souvent puni, le soir.

— Merci! Oh, merci Maître!

— Ne me remercie pas et viens plutôt m’embrasser avant de partir… mais dis toi, cependant, que nous n’en avons pas fini tous les deux et que je finirai bien par découvrir … — Il pinça à nouveau sa joue en souriant — ce que tu crois si bien me cacher.

Catégories : Entre hommes.

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