Ce devait n’être qu’ une farce érotique. Seulement voilà! L’écriture n’en fait qu’à sa tête.

Chapitre I

La chute.

Bien malin celui qui pourrait dire ce qu’il se passe dans la tête d’une femme mariée. Quand certaines, en sont à se poser des questions… S’efforçant de s’imaginer, ce qu’elles éprouveraient si leur gentil voisin faisait tant et si bien qu’elles finiraient par se laisser baiser, pendant que leur gentil mari est au travail; d’autres ne se gênent pas pour le faire, dès que ça peut, sans se poser de problèmes.

Il est bien loin le temps, où, seul l’homme pouvait se permettre de mentir, et tricher, en toute sérénité et… normalité. De nos jours, les femmes se sont libérées et en font tout autant.

Et pour certaines, la transgression ne s’arrête pas au simple cocuage. Il en est qui la poussent, jusqu’à s’aventurer loin, très loin…

Et, pour certaines, c’est même, hors du genre humain.

La jolie Pernelle, même si elle avait déjà un passif assez chargé sur le plan sexuel, n’aurait certainement pas pensé à elle, dans ces termes, lorsqu’elle se maria, ni après qu’elle ait eu ses deux petites filles, tout aussi jolies que leur maman était belle.

Comme la plupart des femmes, elle jurait ses grands dieux, qu’elle n’avait eu qu’un petit ami, avant de rencontrer son mari, alors que la vérité, qu’elle cachait soigneusement, aurait été de dire, qu’elle n’avait pas pu, et ce, depuis de nombreuses années, tenir le compte exact de tous les types par qui elle s’était fait baiser, et pour cause: elle avait été call-girl dans ses plus jeunes années.

Elle avait maintenant trente neuf ans, mais dès l’âge de dix sept ans, belle comme le jour, elle savait déjà l’attirance qu’elle exerçait sur les hommes, et avait vite compris le profit qu’elle pouvait en tirer.

Elle avait, donc, commencé à tenter quelques expériences tarifées, dont certaines l’avaient enchantée. mais, ce qui l’avait enchantée bien plus encore, c’ était le pactole qu’elle en avait tiré.

Le développement de l’informatique, qu’elle maîtrisait très correctement, et de la téléphonie lui furent une aide précieuse et bientôt, elle arrêtait ses études, pour se lancer dans une carrière libertine, qui lui offrait un train de vie somptueux. Il lui arrivait, souvent, de baiser avec trois types différents dans la même journée, au cours de laquelle elle gagnait l’équivalent du salaire de certaines de ses copines.

Le carnet d’adresses qu’elle se constitua en peu de temps ne comptait que des noms de clients fortunés. Sa grande beauté, sa classe, son savoir faire, aucune pratique sexuelle n’ayant de secret pour elle, en faisait une escort-girl recherchée, dont les tarifs, qu’elle considérait comme parfaitement justifiés, étaient particulièrement sélectifs.

S’il y avait bien une chose, dont Pernelle était sûre, c’est qu’elle adorait baiser. Et ce style de vie étant pour elle un bonheur chaque jour renouvelé, elle avait coulé des jours heureux, sans se poser le moindre problème et sans aucun état d’âme.

Quand un jour, elle n’aurait su dire, précisément, à quel moment… peut être lorsque Valérie eut sa petite fille ; il lui prit l’envie subite, et impérieuse, de faire un enfant. Biologiquement parlant, c’était d’une totale normalité.

Elle se réveilla, un matin, avec un vague à l’âme qu’elle ne comprenait pas, qui ne lui ressemblait pas …Une véritable tristesse profonde et irraisonnée. Elle pleura. Puis, se ressaisit, et réagit, se lançant à corps perdu dans de ces séances de baise effrénée, qui d’habitude la réjouissaient tant… et se fit rattraper plusieurs fois, par ce blues incompréhensible, qui revint régulièrement la visiter à partir de ce moment étrange, barbouillant sa vie, sémillante et gaie, de tristesse et de grisaille. Elle pleurait souvent, avait perdu le sommeil, et n’avait plus goût à rien.

Cette envie devint une véritable obsession, au point de lui faire prendre la vie qu’elle menait en horreur, les séances de baise quotidiennes, auxquelles elle prenait, avant, tant de plaisir, étaient devenues un travail, au sens premier du terme : une torture.

Des larmes lui montaient aux yeux, quand elle voyait un bébé ou une simple photo d’enfant. Elle eut envie de se marier… Ce n’étaient pas les candidats qui manquaient.

Elle rencontra Marc, beau mec, très bonne situation…il fallait de l’argent à Pernelle, beaucoup d’argent. Il était sympa. Il se déclara. Elle l’épousa.

Dans un bonheur qui ronronnait, eut lieu la première naissance, comblant la jeune maman, puis la seconde. Pernelle ravie, en arrivait, parfois, à ne pas regretter sa vie d’avant.

Les années s’écoulaient, tièdes.

Marc, son mari, s’était tranquillement installé, depuis plusieurs années dans un mariage, dont on venait de fêter le dixième anniversaire.

Le retour à la terre étant dans l’air du temps, ils avaient acheté, trois ans auparavant, une fermette, qu’ils avaient fait rénover, et Marc, qui se consacrait corps et âme à son travail, et à son entreprise, avait délégué à Pernelle, le soin et la responsabilité de la gestion de la petite ferme, ainsi que l’éducation des deux petites.

Ce n’était pas une exploitation, loin de là. Tout juste une ferme d’agrément : trois hectares de prairies, bosquet et potager , suffisamment de place pour y élever quelques bêtes, et de quoi laisser s’ébattre les animaux de compagnie. Il était hors de question d’élever quelque animal pour l’abattage. On y laissait donc vivre en toute quiétude, trois chèvres naines, deux moutons, des lapins, quelques poules et poulets, et un cochon qu’un fermier, qui avait des vues sur Pernelle, et qui, voulant lui complaire, avait offert aux filles, quand il n’était qu’un porcelet. Il était tout mignon à l’époque, et les filles qui l’adoraient, avaient fini de l’élever au biberon. Mais celui-ci depuis, avait bien changé et était devenu un verrat énorme qui devait bien peser ses cent cinquante kilos. Elles l’avaient surnommé Voyou, à cause des nombreux larcins qu’il commettait dans le potager familial, qu’il avait fallu clore. Les filles , maintenant, préféraient les petites chèvres, et Voyou avait fini par devenir le gros copain de Pernelle.
La plus jeune des filles allant depuis cette année, à l’école, les journées de Pernelle avaient commencé à s’étirer en longueur, et il lui arrivait, parfois, désœuvrée, de s’ennuyer ferme. L’idée qu’elle se faisait de la maternité, et de la vie de famille n’était pas exactement, de finir par travailler, toute la journée, dans un jardin potager et de s’occuper d’animaux, qu’elle n’avait, d’ailleurs, pas choisis.

Voyou était ravi, et grognait de plaisir quand Pernelle lui grattait les oreilles mais, il fallait avouer, qu’en tant que source de divertissement, c’était assez limité.

Par une après-midi d’oisiveté forcée, les filles étant à l’école, et la pluie l’empêchant de travailler au jardin, elle s’était mise à l’ordinateur et, au hasard, cherchait des informations sur les cochons, voulant savoir, à quelle race appartenait Voyou.

Elle apprit que c’était un Landrace français, ce qui ne lui disait rien, mais sa curiosité en fut satisfaite. En poursuivant ses recherches, elle tomba sur un article, concernant leur reproduction, et fut frappée d’étonnement, quand elle vit des images de l’appareil reproducteur du verrat. Elle avait bien remarqué les testicules énormes de Voyou, qui n’était pas castré, mais n’avait jamais vu son pénis. On parlait toujours de la queue en tire-bouchon des cochons, c’est de leur pénis qu’il valait mieux le dire.

Pernelle avait grandi en ville, et rien de ce qui concernait les animaux ne lui était familier, mais ce qui l’intéressait, maintenant, était d’en apprendre davantage sur ce point bien particulier. Le site lui apprit, que le pénis d’un cochon, pouvait avoir un diamètre, de trois centimètres, et atteindre soixante centimètres de long, et qu’il était animé pendant l’acte, d’un mouvement en spirale à gauche..

Soixante centimètres, elle ne pouvait s’imaginer ce que cela pouvait représenter ! Une truie pouvait endurer cela ! Elle en eut un frisson…

Elle y apprit aussi que le verrat, lorsqu’il couvrait la truie, émettait en permanence un pré-sperme, lubrificateur et nourricier et qu’ensuite, il pouvait éjaculer pendant une demie heure, produisant jusqu’à trois cents millilitres de sperme. Le temps de convertir et d’imaginer ce que cela représentait … plus d’un quart de litre! Comparé à la cuillerée à dessert dont Marc la gratifiait… cela la laissait rêveuse !

Elle frissonna encore, mais cette fois-ci, différemment , s’imaginant quel effet cela lui ferait de recevoir une éjaculation d’un quart de litre de sperme… !

— Ooh ! Dans quel état ça me mettrait… ! 

Dit-elle, tout haut, dans un sourire.

Elle lut que la dernière partie de l’éjaculation, produisait une substance, qui avait la consistance d’un gel, et qui formait un bouchon, emprisonnant dans l’utérus de la truie, plus de cinq milliards de spermatozoïdes, pendant, pratiquement, trois jours. Selon les normes de l’éleveur, le sperme restait actif pendant plus de vingt quatre heures.

Ayant encore plusieurs heures devant elle, avant le retour des filles, elle continuait à chercher des détails sur ce point. Cela l’intéressait de plus en plus, de la simple curiosité , elle était passé à une réelle envie d’en apprendre davantage. Passant d’une page à une autre, elle tomba , à un moment sur une entrée en anglais, dont elle ne comprenait pas le titre, à part le mot « fucking ».

Elle cliqua sur l’onglet, et une vidéo s’afficha, montrant une jolie fille en lingerie fine, qui entrait dans un box, dans lequel se trouvait un cochon. Non … Ce n’était pas possible ! Elle n’allait pas… ?

Elle fut abasourdie ! Les yeux écarquillés, elle regardait les images , littéralement hypnotisée. La jolie fille s’accouplait avec un énorme verrat !

Une excitation intense s’empara d’elle, lui tordant le ventre, la faisant instantanément mouiller, son souffle s’accourcit et, sans qu’elle s’en rende compte, elle haletait, et s’était mise à pousser de petits geignements, ses doigts crispés s’ agrippaient au bord du bureau, dans une tension, qu’elle ne pouvait maîtriser.

La vidéo était de bonne qualité , et on voyait clairement le pénis du porc pénétrer la jolie femme, avec son mouvement en spirale caractéristique, alors qu’on l’entendait gémir et râler, le verrat déversant en elle, des flots de sperme, qui dégoulinaient en cataracte, de sa chatte engluée, le long de ses cuisses .

Pernelle resta éberluée, à la fin de la vidéo, un moment prostrée, réalisant qu’elle s’était totalement identifiée à la fille, et prenant conscience qu’elle s’imaginait, déjà, passant à l’acte avec Voyou.

Elle se repassa la vidéo une dizaine de fois , ses doigts s’activant sur son clitoris , plongeant dans sa chatte, trempée de cyprine, l’amenant à des orgasmes de plus en plus violents, qui la laissèrent épuisée, au bord du vertige.

Mon dieu ! Elle était entrain de devenir folle …! La bonne mère de famille, l’épouse, presque modèle, elle n’avait trompé Marc, que… quelques fois ; elle avait, là, le sentiment profond de faire éclater tous les cadres, d’être précipitée dans des zones qui ne relevaient plus d’aucune norme, et que personne ne pouvait plus approcher. Elle était entrée en territoire tabou, et, était désormais, seule, avec son fantasme, qui la coupait, de tout…de tout ce qui avait, jusqu’alors, fait sens, structuré son monde, la jetant sur des rivages qui l’effrayaient, mais l’attiraient d’une manière irrépressible.

Le sentiment qu’elle avait d’être, maintenant, le dos au mur, la certitude qu’elle avait de savoir qu’elle ne pourrait plus reculer, commençait à s’imposer, s’insinuait, en elle, telle une évidence ; un processus qu’elle ne pouvait pas maîtriser s’était enclenché, et, désormais inféodée à ce désir fou, dans un vertige qui l’effrayait, elle se savait, avertie que, le pas franchi, il n’y aurait aucun retour…

Elle se rendit, soudain, compte que l’heure était venue, d’aller chercher les filles à l’école. Ce saut du monde de l’interdit, dans lequel elle venait de plonger, presque par hasard, au réel, lui fut difficile. Elle soupira, résignée, devinant que désormais, cette astreinte, lui serait une obligation permanente.

Nous étions vendredi après-midi, il y aurait beaucoup de monde à la sortie, et les places de parking seraient chères ! Il était là, le quotidien, dans ces préoccupations, qui semblent si normales, tant que le pas n’a pas été franchi !

Pernelle, elle, savait qu’elle avait déjà basculé de l’autre côté.

Elle sauta dans sa voiture et se rendit à la sortie de l’école, où elle rencontra la secrétaire du bureau des parents d’élèves, dont elle faisait partie, en maman responsable et concernée. Elles discutèrent un long moment, sur les événements récents de la petite communauté, et plus particulièrement de l’organisation et l’encadrement de la prochaine sortie de fin de trimestre. Pendant tout le temps qu’elles parlaient ensemble, Pernelle s’imaginait Marie-Pierre, en proie aux mêmes affres, que celles dans lesquelles elle se débattait, depuis cet après-midi.

Elle n’arrivait plus à savoir, si cela l’amusait, à la faire sourire, ou si cela la gênait, au point d’en avoir envie d’arrêter la conversation. La sonnerie retentit, et les filles arrivèrent, coupant court à ses interrogations.

Le retour à la maison, se fit avec les apaisantes questions rituelles, sur le déroulement de la journée et les anecdotes y relatant. Il fallait, à présent, s’astreindre à gérer efficacement le quotidien, comme elle savait, d’ordinaire, le faire.

Le week-end se passa correctement, Pernelle s’appliquant à mettre au loin, pour le moment, ses projets licencieux, même si, en filigrane les images obsédantes qui l’avaient bouleversée, surgissaient à tout moment, la déstabilisant et l’obligeant à faire effort, pour garder son calme, et faire montre d’une attitude normale.

Elle ne cessait de chercher Voyou des yeux, dans la cour de la fermette, et chaque fois qu’elle l’apercevait un curieux mélange d’intérêt, d’excitation et de culpabilité l’envahissait.

Il y eut le samedi soir, une passe d’armes avec Marc qui, sentant peut-être, chez sa femme, une excitation, pourtant soigneusement cachée, insista pour lui faire l’amour, et constatant son refus catégorique, se demanda ce qu’il avait bien pu faire pour l’énerver à ce point.

Du sexe, Pernelle en implorait, certes… mais pas ça.

Le lundi, elle rongea son frein, car elle attendait une grosse livraison de nourriture pour les animaux. Le type n’arriva qu’en milieu d’après midi, gâchant une bonne partie de sa journée. Il essaya de la draguer et se fit, vite, renvoyer dans ses vingt -deux, par une Pernelle, mécontente d’avoir perdu, en partie, sa journée et qui, de plus, avait, sur ce plan là, d’autres idées dans sa jolie tête.

Ce jour là, après avoir amené les petites à l’école, et avoir vaqué, un peu plus rapidement que d’habitude, à ses tâches habituelles, pour tromper l’attente, après avoir visionné, encore cette folle vidéo, et s’être copieusement masturbée, elle avait repris ses recherches sur le net.

Elle y avait trouvé deux ou trois histoires de sexe avec des cochons, des fictions, qui ne l’avaient guère emballée, et deux témoignages de femmes qui prétendaient avoir eu des relations avec des cochons, qui lui semblèrent montés de toutes pièces.

Toutes sortes de pensées, qu’elle s’effrayait d’avoir, la traversaient, la laissant pantoise ; elle se demandait, notamment, si le cochon éprouverait pour elle, une attirance naturelle, espérant que, pour lui, la pulsion sexuelle resterait la même, qu’avec une femelle de son espèce ; se disant qu’elle arriverait bien à trouver un moyen, pour parvenir, à ce qu’il la baise. Elle avait décidé que cela aurait lieu demain matin, mardi.

La livraison effectuée, les sacs rangés, il était bientôt l’heure de la sortie de l’école. Elle sortit la voiture et alla chercher les filles.

Ce mardi matin arriva enfin. Après avoir amené les filles à l’école, elle revint à la maison, se maquilla et se coiffa, pour son rendez vous d’amour. Elle se voulait belle, et elle l’était.

Pernelle n’était pas de ces beautés de Tanagra fines et fragiles, elle était grande et élancée, avait un physique de Walkyrie, d’une beauté toute nordique , sa poitrine opulente et ferme s’ornait des petites aréoles roses et de leurs petits mamelons, qui lui gardaient un air de fraîcheur juvénile ; sous la taille bien prise, s’évasaient des hanches pleines, aux courbes suaves, elle avait de longues jambes, au galbe parfait, des attaches fines, et tout son corps dégageait une impression d’élégance épanouie et harmonieuse.

Quant à son visage, c’était un modèle de grâce féminine. Ses cheveux blonds, qu’elle portait mi-longs, ondulaient naturellement et encadraient un visage aux pommettes hautes, éclairé par de magnifiques yeux bleus, au regard intense et profond, dans lequel s’allumait souvent une lueur coquine, ajoutant encore à son charme ; elle avait un joli nez droit aux narines délicates , une bouche sensuelle , aux lèvres gracieusement ourlées, entrouvertes sur un sourire découvrant la nacre des dents.

L’image que lui renvoyait la grande glace la satisfaisait, et même la petite tache de café au lait ronde, qu’elle avait en haut du bras gauche, et qu’habituellement, elle n’aimait pas, la fit sourire. La maman de ses deux enfants était encore très jolie.

Le cœur battant la chamade, elle traversa la cour d’un pas décidé, et se dirigea vers la petite grange, dispersant poules et poulets, sur son passage, les chèvres l’ignorèrent superbement, mais Voyou lui, se mit à grogner son bonheur, dès qu’il reconnut son pas. Elle ouvrit la porte de la grange, et vit le cochon, se faufiler avant elle, comme s’il savait que quelque chose de spécial, l’y attendait, aujourd’hui. Pernelle lui gratta les oreilles et le tapota sur le dos.

Accompagnée par ses grognement de plaisir, le cœur battant, elle s’accroupit et tendant sa main sous lui, se mit à caresser son ventre, et son étui pénien, elle le pressa, et le masturba, à plusieurs reprises et se retrouva, bientôt, la pointe de son pénis tors, dardant dans sa main. Elle accentua son mouvement, et le pénis sortit encore un peu plus-

— Ce sera peut-être plus facile que je ne pensais !

Se dit Pernelle, en souriant.

Excitée, le souffle court, elle se dévêtit jusqu’à la taille, gardant l’épaisse chemise à carreaux rouge et gris, qui la protégerait des soies rugueuses de son rude amant.

Elle se mit à quatre pattes, le cœur battant la chamade. Voyou la surprit en allant se placer, de suite, derrière elle, pour se mettre à renifler son entre-jambes, elle écarta les cuisses, clouée par l’appréhension, lorsqu’elle sentit son groin humide, sur son petit con inondé de mouille , sur sa rosette et ses fesses, lui faisant pousser de petits gémissements d’excitation.

Alors qu’elle se demandait ce qu’elle devait faire maintenant, la réponse lui vint, immédiatement. Voyou se dressa sur ses pattes arrière, et plaça, les allongeant, ses pattes avant sur le dos de sa maîtresse. Le poids de l’animal la fit souffler, et vaciller sous l’effort, mais elle n’eut pas le loisir de s’y attarder, déjà , elle sentait le pénis du cochon vrillant , dans son mouvement à gauche, se mettre à tourner autour de l’entrée de son vagin, s’en approchant à plusieurs reprises, il le dardait, sur ses fesses, ses cuisses, les trempant du pré-sperme qu’il avait commencé à émettre, affolant sa maîtresse, qui geignait de tension salace, et d’impatience.

Les grognements et couinements de Voyou, s’étaient intensifiés indiquant la puissance de sa pulsion d’accouplement. Et lorsque la pointe tortue de son pénis trouva, enfin, l’ouverture du vagin de Pernelle et qu’elle le sentit commencer à s’y enfoncer vrillant toujours , elle poussa un long cri rauque, de jouissance qui se transforma en hurlement, quand d’une poussée rapide, l’animal triomphant, la pénétra de son long membre ferme et brûlant.

Pernelle se mit à jouir, à sanglots répétés, alors que, le verrat cherchait à s’enfoncer plus profondément en elle, tout en continuant à éjaculer son pré-sperme, inondant son petit con et trempant ses cuisses. Voyou poussait, sa panse velue collée aux jolies fesses, il vrillait son mandrin, replié dans le vagin, qui palpitait, à la recherche d’un passage pour pénétrer son utérus. Son membre vrillait lentement, alors qu’il continuait à décharger son sperme au plus profond du ventre de sa femelle implorante ; il la faisait jouir comme elle n’avait jamais joui, gémissant et râlant , sans discontinuer.

Le coït bestial, au rythme lent et puissant, elle était pénétrée par la bête, plus intensément et plus profondément, qu’elle ne l’avait jamais été, par aucun homme, la jetait dans des contrées inconnues. Éperdue de sensations et de volupté, telles qu’elle n’en avait jamais éprouvées, il la laissait interdite, happée par un maelstrom qu’elle ne pouvait appréhender, et qui l’amenait au bord d’un abîme de jouissance vertigineux. Inconsciemment, elle se tendait et se cambrait, sur le pénis conquérant, pour qu’il s’enfonce, en elle, encore plus profondément.

Elle ruisselait de sperme…

Un léger tressaillement au fond de son ventre… comme un pincement. Elle sentit nettement que le bout du pénis de la bête avait capté la minuscule ouverture de son cervix, elle eut juste une brève contraction, puis le mouvement de torsion du pénis du verrat s’accentua , il la pénétra un peu plus lui causant un élancement, qui…

— Ooh ! Oh ! Ça…ça fait mal ! 

La bête avait enfoncé son mandrin dans l’entrée du col de l’utérus et cherchait à pénétrer plus profondément sa maîtresse. Pernelle se sentait tremblante et faible mais c’était une sensation sauvage, terrible et excitante. Elle se sentait dominée comme elle ne l’avait jamais été, réalisant que la mentule de l’animal était entrain de la pénétrer plus que tout homme ne l’avait jamais fait. Le bout du pénis, tournant et vrillant doucement, travaillant le col de son utérus, la faisant hurler, en proie à des sensations inconnues et terribles. Elle sentit la pointe traverser l’étroite ouverture, dilatant le col. Quelques centimètres du long mandrin avaient commencé à pénétrer, vrillant toujours en elle.

Tournant, vrillant, le verrat, en bougeant doucement, finit par pénétrer entièrement son utérus, du bout de son long pénis tortu, la faisant jouir constamment, à la faire hurler.

Voyou , alors, ralentit ses mouvements et marqua une pause. Pernelle avait joui à quatre reprises, alors que la bête pénétrait son utérus. Il tenait, maintenant, enfoncé en elle, plus de la moitié de son mandrin. La belle était affolée de jouissance qu’elle manifestait par des gémissements, des râles et cris, de toute sorte.

C’est à ce moment que Voyou se mit à éjaculer, émettant sa charge fertile. A longs traits, il déversait son sperme dans l’utérus de sa femelle, anéantie dans sa soumission au mâle qui la possédait comme elle ne l’avait jamais été. Pernelle était submergée par un orgasme continu alors que l’assaut des liquides l’emplissait encore. Sa main crispée devant sa bouche, d’où s’échappait un geignement continu, s’agitait dans un tremblement convulsif pendant que ses yeux révulsés roulaient derrière les paupières crispées.

Cela dura longtemps, très longtemps… la belle avait perdu toute notion du temps, tant l’orgasme qui l’accaparait était puissant. Alors qu’elle sanglotait encore son incroyable jouissance elle sentit que l’animal en avait terminé. Son mandrin, dont elle avait cru qu’ il allait lui arracher le col de l’utérus, glissa doucement à travers ce qui avait été une si petite ouverture. La sensation du long pénis quittant son ventre lui causa, à nouveau, une onde de jouissance. Voyou vint renifler, en grognant, son travail et, satisfait, s’en fut vaquer à ses affaires de cochon.

Pernelle , abasourdie de sensations lubriques broyée par une tension érotique qui l’avait fait jouir pratiquement sans discontinuer pendant plus d ‘une demie heure, restait là, à genoux, le visage enfoui dans ses bras repliés, prostrée, cherchant à retrouver son souffle et ses esprits ; il lui fallait se reposer un moment pour parvenir à se reprendre.

Au bout d’un moment , elle toucha son petit con , elle le sentit mouillé des multiples orgasmes qu’elle avait éprouvés, mais le flot de sperme dont Voyou l’avait gratifiée était bien encore en elle. Elle pensa, alors au bouchon de substance gélatineuse dont parlait le site web. Il avait emprisonné l’impressionnante quantité de sperme en elle et semblait tenir.

Elle se dressa enfin sur ses jambes tremblantes… pas de fuite. Elle sentait son utérus engorgé par la charge de semence animale. Regardant son ventre elle constata que l’éjaculation phénoménale de Voyou y avait fait gonfler une légère bosse. Lorsqu’elle fit un pas, elle sentit le sperme bouger en elle, avec un bruit liquide. Elle sourit, éprouvant une sensation de bien être étrange.

Elle s’était un peu ressaisie et se tenait nue au milieu de la grange, immobile les mains en coupe sur sa jolie bouche…elle souriait, se mordant la lèvre inférieure dans une mimique d’incrédulité. Puis elle caressa son ventre gonflé… est ce que ce bouchon allait tenir ? Sa chatte n’était toujours pas inondée de sperme, comme cela aurait dû. Elle pensa à ce qui se produirait si le bouchon lâchait ce soir, devant son mari ou à l’école. Elle eut une bouffée de panique. Puis se reprit… Non, il n’y avait pas de raison !

Voyou était revenu vers elle.

— Oh ! Te voilà, mon chéri ! Tu es un amour, mon Voyou… Si tu pouvais savoir comme tu m’as fait du bien. Regarde mon ventre comme tu l’as fait gonfler, chéri ! Ooh ! je t’aime…

Elle se baissa pour le caresser, et vit l’animal venir se placer derrière elle et se mettre renifler, en grognant, ses fesses et son entrejambes.

— Oh ! Mon Voyou…tu …tu veux encore ? Tu veux me baiser… ?

N’y croyant pas, le cœur battant, Pernelle tira un ballot de foin au centre de la stalle et pas vraiment sûre des intentions de l’animal, étala sa chemise sur la balle et posa ses seins contre le tissu. Espérant que le cochon allait à nouveau la prendre, déjà bousculée par une frénésie lubrique, elle s’aplatit sur la balle de foin cambra ses reins, se tendit vers son bestial amant , geignant des appels enamourés:

— Oh ! Oui… ! Viens… ! Viens, mon amour … Prends moi …encore…

En un instant , alors qu’elle suppliait encore, l’animal jeta ses antérieures de chaque côté de ses épaules nues, écrasant de tout son poids le fragile petit corps de sa femelle implorante. Tétanisée, elle ne bougeait plus. Le battement du mandrin entre ses cuisses, lui fit comprendre, alors qu’elle libérait son soulagement en un long feulement rauque, que l’animal allait, à nouveau la posséder.

Cette fois, le long pénis tortu trouva immédiatement l’entrée de son vagin et s’enfonça au tréfonds de son ventre lui arrachant un hurlement de bonheur. Vrillant et tournant, le vit de l’animal trouva l’ouverture du col et commença à le pénétrer, propulsant Pernelle dans un climax de jouissance affolante.

Elle ne le sentit pas ,mais le mandrin en torsion dut pousser le bouchon de gel spongieux dans son utérus, continuant à vriller. Pernelle jouissait sans discontinuer,râlant, feulant, éructant des mots d’amour à son bestial vainqueur.

Puis l’animal se tint immobile, et se mit à décharger en une longue éjaculation, son invraisemblable quantité de semence dans le ventre de Pernelle qui défaillait de jouissance… Encore une fois cela dura longtemps et lorsque Voyou eut fini de vider son sperme dans sa femelle, satisfait, il la laissa totalement épuisée, éreintée, affalée sur le ballot de paille, haletante.

Comme la première fois, elle mit un grand moment à récupérer ses esprits, embrumée qu’elle était, de stupre et de sensations lubriques. Cela lui prit, cette fois, encore, du temps pour reprendre pied dans le réel.

Quand elle se releva titubante , elle sentit le sperme de Voyou bouger en elle avec des bruits liquides.Elle pensa que l’animal avait scellé au fond de son ventre plus d’un demi litre de semence et quelques dix milliards de spermatozoïdes. Elle en éprouva un vertige de contentement, et souriant, se redressa et s’essaya à faire quelques pas , mais dut s’appuyer au rebord d’un box, chancelante… Épuisée.

Elle se tenait, nue, au milieu de la petite grange, une main sur son ventre, qui, elle put le constater, s’était encore un peu plus arrondi. Un bien être,l’envahissait, qui laissait un sourire sur ses jolies lèvres. Elle ramassa ses affaires et à pas lents, fourbue, tremblant sur ses jambes qui la portaient à peine, perdue dans ses pensées luxurieuses, obnubilée par les sensations que lui dictait son ventre,et se dirigea vers la maison. Une douche s’imposait, pour se débarrasser de la forte odeur de son rude galant.

Elle se délassa sous les jets tièdes, retrouvant un peu de calme, et en même temps une certaine inquiétude : est ce que ce bouchon allait tenir, Marc s’apercevrait il d’un changement ?…Il n’avait jamais rien remarqué les autres fois, avec…les hommes. Alors, il n’y avait pas de raison. Quant au bouchon, même si cela arrivait, elle trouverait bien une explication. Elle toucha sa chatte et y introduisit deux doigts… Pas de fuite.

Elle se sécha et s’allongea,nue sur le lit, caressant doucement son ventre, prolongeant les sensations et images lubriques qui la traversaient encore, transportée par la puissance des incroyables orgasmes qu’elle avait ressentis, s’étonnant encore, à longs soupirs d’avoir été plongée dans ce maelstrom d’affolant bonheur.

L’étrange vertige que l’invraisemblable aventure dans laquelle elle se trouvait précipitée, la ravissait et l’effrayait tout à la fois, lui faisait prendre conscience du grand écart qu’elle devait pratiquer entre sa vie de mère et d’épouse, et celle de la femelle lubrique qu’elle était devenue, soumise à une loi dont elle ignorait tout, seulement quelques heures auparavant.

Elle dut fermer les yeux et s’endormir. Et rêva. Couchée, nue, sur le ventre, sur la souche d’un arbre coupé, au milieu d’une prairie, entourée par des dizaines de cochons en rut, qui la prenaient et se vidaient en elle, à tour de rôle, elle hurlait de jouissance. Une foule de curieux se tenaient tout autour, et regardaient la scène avec grand intérêt, échangeant commentaires et regards faussement réprobateurs. C’est l’arrivée de Marc , courant partout en hurlant, essayant de disperser les cochons, qui la réveilla en sursaut, le cœur battant la chamade.

Elle se frotta les yeux, soulagée, s’étira et se leva, sentant dans son giron le contenu des deux éjaculations phénoménales, bouger avec les mêmes bruits liquides. Elle toucha son ventre et sourit. Un demi-litre de sperme! Se dirigeant vers la fenêtre, elle vit voyou, se reposant, à sa place habituelle, sous le poirier. Elle le considéra, subjuguée et pensa, avec tendresse, que c’était, lui, l’impérieuse sale bête qui en était responsable. Son regard se tourna vers la petite grange et fixant la porte , elle se dit que c’était derrière celle-ci, dans ce petit bâtiment que venait d’avoir lieu, la baise de sa vie.

L’âme de Pernelle était en feu. Elle ne rêvait que d’une chose : retourner à la remise, et se faire encore posséder par le verrat.

Deux heures…Plus que deux heures et il faudrait aller chercher les petites à la sortie de l’école. Allons ! Ce ne serait pas raisonnable. Il valait mieux attendre jusqu’à demain.

Le retour de l’école avec les deux filles se passa tranquillement, comme d’habitude, Pernelle se sentant étrangement apaisée et disponible, même si, curieusement, elle se sentait incroyablement excitée. A telle enseigne que, à peine rentrée, n’y tenant plus, prétextant aller chercher un outil à la remise, à peine la porte refermée, elle s’y appuya et relevant sa robe, se masturba sauvagement, aspergeant ses doigts de cyprine, dans un orgasme qui la laissa tremblante sur ses jambes.

Quand Marc rentra ,après sa journée de travail , se délassant dans le canapé, il regarda sa jolie épouse et la trouva particulièrement séduisante.

— Que tu es jolie, ma chérie ! Je te trouve…pétillante !

— Oh, c’est gentil, Marc! Oui, j’ai passé une petite journée sympa…!

Très sympa, même, quand elle repensait à l’invraisemblable quantité d’orgasmes ahurissants que son bestial amant lui avait offerts, ainsi que les abondantes éjaculations dont il l’avait gratifiée et qu’elle sentait bouger dans son ventre à chacun de ses mouvements.

Elle se sentait toujours aussi excitée et avait décidé que ce soir elle laisserait Marc la baiser autant qu’il voudrait, pensant qu’il ne devrait pas y avoir de problème avec le bouchon qui scellait un demi litre de sperme dans son ventre.

Quand ils se mirent au lit, Pernelle n’eut qu’à écarter les jambes pour que Marc, ne résistant pas à l’invite, s’empresse de satisfaire les envies de sa jolie femme. Il la fit jouir très fort, ne devinant pas à quoi elle pensait pendant qu’il la besognait.

Elle se leva pour aller se laver, vérifiant une fois de plus l’efficacité du bouchon. Quand elle revint, son mari ronflait déjà. Elle s’étendit à gestes mesurés dans le lit nuptial, et les yeux grands ouverts sur les images lubriques qui continuaient à l’assaillir, posant ses doigts sur son petit con à nouveau tumescent, elle se masturba, se faisant jouir, crispée sur un orgasme silencieux.

Le lendemain, la trouva toute aussi excitée que la veille, si ce n’est davantage, mais ne pouvant rejoindre son amant, c’était mercredi, elle dut avoir recours , une fois de plus à plusieurs séances furtives de masturbation … une dizaine au moins, qui la laissèrent à chaque fois tremblante, des cloches plein la tête, bourrelée de confusion et de honte.

Aussi, le surlendemain matin, les petites déposées à l’école, après une conversation , qu’elle écourta , avec Aude, une de ses bonnes copines, elle se dépêcha vers la maison où elle prit une douche et se fit belle pour son second rendez- vous d’amour. D’une main que l’émotion faisait trembler et lui tordait le ventre, elle maquilla ses yeux, posa son somptueux rouge sur ses jolies lèvres, qu’elle étira avec la mignonne mimique habituelle. Elle enfila un léger chemisier blanc, une courte jupe en jeans et chaussa ses hauts escarpins … elle était magnifique.

Sur le chemin de la grange, le désir la faisait trembler, et le ventre crispé, elle pouvait sentir sa petite chatte inondée de mouille, détremper le léger string.

Dès que Voyou reconnut son pas, il se précipita, en couinant, et comme la veille, la précéda dans la petite grange, dès que la porte fut ouverte.

Pernelle lui chuchotait des mots enfiévrés, agençant avec précipitation la balle de foin, sur laquelle elle jeta une vieille bâche, au milieu de la pièce sombre. Voyou couinait d’impatience, déjà derrière elle, reniflant ses jambes et ses fesses, mordillant ses talons et ses mollets, augmentant encore sa hâte et son émoi ; elle savait, maintenant qu’il la baiserait, elle déboutonna son chemisier, mais le garda, et, haletant des mots sans suite à son terrible amant, elle s’agenouilla face à la balle de foin, y posa ses seins nus, se cambra, et remontant sa courte jupe sur ses reins, écarta la ficelle du string offrant sa magnifique croupe à son vainqueur.

Voyou se jeta sur son dos , mais cette fois-ci, sa patte gauche, mal repliée, vint, d’un de ses doigts cornés, déchirer le chemisier de Pernelle, lui causant, en même temps, une profonde éraflure qui en temps normal, l’aurait fait hurler. Mais son excitation était telle, qu’elle le remarqua à peine.

Le cochon trouva vite l’entrée du vagin et pénétra d’un coup Pernelle de son long membre, lui faisant pousser un hurlement de jouissance effrénée. Il avait, depuis le début, commencé à émettre son pré-sperme clair, dont il l’inondait déjà, la jetant dans des transes, vrillant son pénis cherchant l’entrée de l’utérus de sa femelle.

A nouveau, Voyou la fit crier de douleur en pénétrant son cervix et cette fois encore elle en fut récompensée par un intense pic de jouissance quand elle sentit le cochon y vriller son long membre. Cette fois, son col n’avait pas beaucoup résisté et Voyou était facilement entré. Alors, s’immobilisant, l’animal commença à déverser ses flots de semence en elle. Les tremblements de Pernelle se transformèrent en une chaîne d’orgasmes instantanés, chacun augmentant en intensité jusqu’à ce qu’elle pense qu’elle allait en perdre la tête. Voyou se tenait fermement planté en elle et continuait à décharger son sperme dans sa femelle, l’enivrant de jouissance.

Elle tremblait de tous ses membres quand, au bout d’une vingtaine de minutes, le verrat, d’un long glissement de son pénis, se retira,lui faisant éprouver ne nouvelle secousse de volupté .

A genoux devant la balle de foin, en appui sur ses coudes elle était effondrée, tentait de revenir à la réalité, embrumée de stupre, secouée par les répliques de ses orgasmes. Cette fois encore Voyou l’avait épuisée mais elle ressentait un tel sentiment de plénitude et de satisfaction charnelles qu’elle éprouvait pour son incomparable amant un sentiment de gratitude éperdue.

Elle se redressa , toujours agenouillée, et ce faisant, sentit le sperme bouger à bruits liquides dans son utérus. Elle constata que la bosse qu’il formait était plus proéminente, ce qui la fit sourire d’aise. Le bouchon de Voyou était efficace. Elle tira sa jupe et s’assit sur la balle de paille. Commençant à reboutonner son chemisier ,elle ressentit, alors, une douleur à l’épaule gauche y passa la main et sentit une blessure dont la douleur se réveilla instantanément. Elle déboutonna son chemisier et l’enleva. Non seulement ,il s’y trouvait une belle déchirure, mais également une belle tache de sang.

— Ah ! Le petit salaud !

Il n’y avait aucune colère dans sa voix, peut-être même, une certaine tendresse amusée. Elle se leva, encore groggy et sortit de la grange, se dirigeant vers la maison.

Dès qu’il l’aperçut, Voyou accourut et sa manière de tourner autour de sa belle maîtresse ne lui lassa aucun doute : il voulait sa femelle…

Le temps de désinfecter la blessure, d’y appliquer un pansement, Pernelle était de retour, tremblant à nouveau d’excitation et désir. Elle n’eut pas à chercher Voyou, qui dès qu’il la vit, pénétra dans la grange, dont la porte était restée ouverte. Pernelle entra à sa suite, jeta un coup d’œil au dehors, comme pour s’assurer qu’ils ne seraient pas dérangés et referma la porte sur eux.


0 commentaire

Laisser un commentaire

Emplacement de l’avatar

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *