You’re not the only one.
Je passai le reste de la journée avec Max.
Il m’arrivait souvent de passer de longs moments à jouer avec lui, à m’en occuper, à le toiletter mais maintenant, tout était différent.
Depuis ce matin, la nature même de notre relation avait basculé: je n’étais plus la maîtresse qui commandait et ordonnait mais celle qui maintenant n’aspirait plus qu’à se soumettre au désir de celui qui était devenu son seigneur et maître.
Allongée, nue sur mon drap de bain près de la piscine où j’allais de temps à autre me rafraîchir, je paressais au soleil, caressant celui qui avait fait de moi sa chose, lui parlais, l’embrassais… lui se laissait faire, pacha tranquille, me regardant parfois de ses doux yeux bruns, se levait pour s’étirer paresseusement et se recouchait.
Il allait de temps à autre faire un tour dans le jardin puis revenait s’étendre à mes côtés.
De folles images plein la tête, n’arrêtant pas de repenser à ce matin, je sentais la moiteur de ma chatte et n’avais qu’une hâte: qu’il me baise nouveau. J’essayais bien de le taquiner, guettant une réaction, mais je ne savais trop comment m’y prendre et je ne parvins pas à grand résultat. De plus, je n’avais aucune idée de la fréquence des saillies chez un chien, aussi, je m’armai de patience, guettant les signes qui m’avertiraient de ses bonnes dispositions à mon égard.
Ceux-ci se manifestèrent dans la soirée.
Je venais de sortir de la piscine et m’étendis à côté de lui, alors que je restais là, sans bouger, caressant d’une main sa fourrure me laissant sécher au soleil encore haut, je sentis sa langue sur mon visage.
Immédiatement, je me tournai vers lui et lui tendis mes lèvres, le suppliant:
— Oh! Embrasse moi Max… embrasse moi, chéri !
Quand je sentis sa langue pénétrer ma bouche, je ressentis un tel pic d’excitation que j’éjaculai plusieurs jets de cyprine. Il le sentit. Immédiatement, il se leva et fut sur moi, humant mon entrejambes avec insistance, alors que je voyais darder un bout de sexe rouge de son fourreau, changeant de comportement il se mit à s’agiter, me reniflant, tournant autour de moi en bondissant comme s’il voulait jouer…
— Oh! Max chéri…Oh! Mon amour…tu vas me baiser, hein? Tu vas me faire jouir comme tout à l’heure…Oh oui, chéri! Viens… Viens mon beau!
Je me levai, et gagnai le salon, folle de désir, la cyprine ruisselant sur mes cuisses, mon amant adoré bondissant d’impatience, sur mes talons.
Il me suivit dans la salle de bains du bas où j’allai chercher une serviette. Attrapant un coussin sur le sofa où je m’allongeai, je le calai sous mes reins après y avoir étalé la serviette, à gestes que l’impatience d’un désir irrépressible affolait. Je m’étais allongée sur le dos, jambes largement ouvertes, mes pieds reposant au sol pour que Max me baise en missionnaire. Je craignais que cette position n’étant pas naturelle pour lui, Max n’éprouve quelques difficultés à répondre facilement à mes attentes et m’armai de patience prête à toute les tentatives pour parvenir à mes fins.
Il n’en fut rien.
Dès que je lui ouvris mes jambes Max se mit à lécher mes cuisses remontant rapidement vers ma chatte offerte qu’il se mit à laper à longs coups de sa langue mouillée, mêlant sa salive à ma cyprine.
Je râlais de bonheur, cuisses écartées de mes mains pour m’ouvrir encore au divin baiser de mon bestial amant, emportée vers un orgasme qui ne tarda pas à éclater.
J’agrippais Max par son collier maintenant sa tête massive sur le baiser qui m’affolait, quand il s’arrêta brusquement et d’un bond, fut sur moi…
Je n’avais pas encore émergé de l’orgasme qui venait de me secouer, mais lui, cherchait déjà, impatient, à me pénétrer.
Avec des gémissements de fièvre, emportée par un désir fou, j’éjaculai, plusieurs jets de cyprine, alors que je parvenais à empoigner son mandrin dégoulinant de pré-sperme pour le guider en moi.
Quand il me pénétra, j’eus un hoquet de surprise sous la violence de l’assaut…je n’eus pas le temps de m’en remettre que déjà il me martelait avec une telle force que je me mis de suite à crier.
Je m’accrochai à mon impétueux amant, secouée des pieds à la tête par la violence de l’assaut, les mains crispées sur ses pattes antérieures alors qu’il me pilonnait avec une force phénoménale je sentais son membre grossir, et le bulbe pénien, maintenant énorme m’écartelant la chatte à chaque pénétration, me faisait hurler.
— Oui…Oui! Oh! Max…! Oui! Encore ! Oh!Ooh ! C’est bon…! Oh oui, chéri! Encore…!
Max haletait, gueule ouverte, me mouillant de sa bave les seins et le visage, ce dont je ne m’aperçus qu’après tant ma jouissance m’accaparait. Ses coups de boutoir puissants et rapides, le va-et-vient précipité de l’énorme mandrin qui me labourait le ventre m’emportaient dans le tourbillon d’une jouissance frénétique qui explosait en orgasmes fous. J’éjaculai une invraisemblable quantité de cyprine, hurlant d’un plaisir inouï.
Cela dura un long moment pendant lequel, dans une fièvre amoureuse, les mains crispées sur ses antérieures, jambes croisées, enserrant son échine, je m’agrippai à mon terrible amant qui me nouait à lui dans une posture de totale appartenance.
Brusquement la folle tempête cessa. Je sentis Max se figer.
En un éclair, je me souvins de ce qui allait se passer, mais quand cela se produisit, je fus subjuguée par la puissance de la jouissance qu’il me fit ressentir et montai à l’apex d’un orgasme invraisemblable.
Son sperme, que pulsait son énorme mandrin jaillissait à longs traits brûlants, inondant mon ventre de lourdes nappes d’un bonheur tel que je n’avais jamais ressenti.
Cela dura longtemps… je jouissais sans arrêt, gémissais et râlais, éjaculant d’ invraisemblables quantités de cyprine.
Quand sa phénoménale éjaculation s’acheva, Max impavide se tenant au-dessus de moi, me nouait à lui par sa formidable bite dont il me faisait jouir à son plus imperceptible mouvement.
Femelle comblée, je jouissais dans l’extase de me sentir emplie par la semence de mon mâle dont le corps dur et lourd, la rudesse et la force animale me subjuguaient.
Dans un total abandon aux sensations auxquelles mon bestial amant me soumettait, je le suppliai, sanglotant de bonheur :
— Oh, Max Darling! Kiss me ! Fucking kiss me![note= Oh! Max chéri! Embrasse moi! Putain, embrasse moi!]
Immédiatement, il se mit à lécher ma bouche de sa longue langue douce et tiède, je lui ouvris mes lèvres et m’abandonnai à ce baiser contre nature qui fit exploser en moi un nouvel orgasme.
Il resta ainsi un long moment, plus d’une demie-heure, pendant laquelle, bougeant à peine, il me faisait jouir au moindre mouvement de sa merveilleuse bite, alors que de temps à autre, il me léchait, m’embrassait, fouaillant de sa longue langue ma bouche avide, me plongeant à chaque fois dans des abîmes de plaisirs.
Je ne pouvais m’en lasser.
Pourtant, à sa manière de bouger je sentis que Max en avait fini et m’apprêtai à subir l’envoûtante torture de la fin de l’attache. Commençant à se retirer le bulbe faisait saillir mon clitoris et je fus prise d’une irrésistible envie de me masturber. Du bout des doigts, je commençai à caresser mon bourgeon tumescent et prise d’une frénésie incontrôlable me mis à le triturer violemment déclenchant une montée de jouissance, à ce moment Max se mit à tirer fortement sur son nœud pénien, qui écartela mon vagin dont il commença à s’extraire. La douleur qu’il me causa en se retirant alliée aux sensations que me procurait mon petit bouton que je martyrisais déclencha un orgasme fantastique qui me laissa anéantie.
Alors que j’étais à la recherche de mon souffle, mon insatiable amant était déjà entre mes jambes et ainsi que le lui commandait son instinct ayant fourré son museau entre mes jambes, léchait ma chatte déhiscente, dégouttelante de sperme.
— Oh! Oui, chéri…! C’est bon…!
Je me redressai sur les coudes encore embrumée de luxure. Alors que je voyais Max s’affairer à sa caresse, mon regard fut immédiatement attiré par son sexe encore turgide qui ballottait lourdement sous son ventre.
— [i]Oh! Ta bite, mon amour!—[/i]
D’un bond, j’étais sur le tapis et m’y allongeai me glissant sous le ventre de mon amant adoré, je me saisis de son merveilleux mandrin et dans un râle lubrique l’engloutis dans ma bouche avide…
Envoûtée par la vision de l’impressionnant gourdin que je suçais à pleine bouche, râlant de plaisir, je me délectais du goût âcre et salé des jets de sperme qu’il continuait à émettre et que j’aspirais avec délices attisant encore la folie luxurieuse que j’éprouvais… À longs mouvements lascifs, j’engloutissais la lourde bite en bouche, enroulant ma langue autour…j’alternais avec de longs mouvements de succion qui m’enfiévraient, et avec une lenteur lascive, ressortais le lourd vit , le laissant glisser avec un lubrique plaisir entre mes lèvres… sperme et salive mêlés s’échappant de ma bouche gouttaient de mon menton, inondant mon cou et mes seins.
J’étais dans une folie lubrique ne me laissant guider que par le seul plaisir de m’ adonner à l’idolâtrie que j’éprouvais pour la merveilleuse bite de mon magnifique amant.
Max me laissa faire pendant quelques minutes, mais ces gâteries ne sont pas naturelles pour les chiens et au bout d’un moment, il se détourna et partit s’allonger sans plus de façon dans un coin du salon: sa tâche de mâle accomplie, il s’en retournait à sa vie de chien.
Je souris et allai m’allonger près de lui, mon visage près de sa bonne grosse tête, le caressant, l’embrassant lui murmurant toute ma gratitude.
Cette fois encore il avait été extraordinaire et m’avait fait jouir comme jamais, bien que la position, pour lui, ne fût absolument pas naturelle.
Je me fis la réflexion, étonnée, qu’il s’y était incroyablement bien adapté, comme s’il en avait l’habitude, comme s’il y avait été dressé…. Pourtant, Max n’avait jamais quitté la maison… alors…?
Dans un flash la vérité éclata avec la sidérante simplicité de l ‘évidence:
— Mom!
Ce ne pouvait être que Mom…!
Mom se faisait baiser par Max, et ce, sûrement depuis un bon moment… c’était elle qui l’avait si bien éduqué! Voilà pourquoi, aussi bien ce matin que ce soir, il avait été tellement à l’aise dans son rôle d’amant d’exception!
J’avais du mal à accepter ce qui m’apparaissait pourtant, maintenant, comme une certitude.
Je regardai Max, qui allongé, les yeux fermés, semblait dormir, je le caressai:
— Alors, comme ça, mon chéri, tu baises Mom?
Au son de ma voix, il se redressa, ouvrit les yeux, et me regarda de ses beaux yeux bruns, tranquilles.
Ce fût comme si je l’eus entendu:
— [i]Mais, bien sûr que je la baise ! Croyais tu être la seule femelle sous ce toit…? Je baise ta mère et elle est folle de ma bite, tout comme tu l’es, toi aussi et tout comme toi, elle aussi, je la fais crier et me supplier… —[/i]
L’évidence posée, finalement acceptée, je me pris à sourire… de ma naïveté, du comique de la situation: mère et fille partageant le même amant, leur chien…
Je souriais d’une nouvelle tendresse complice que je ressentais pour Mom, de l’évidence que je n’avais pas su voir: Mom, milf de toute beauté, hyper sexuée, n’ avait pu qu’être attirée par ce genre d’expérience hors norme…
C’était, maintenant, d’une clarté limpide.
Je continuais à sourire mais pour une autre raison, amusée par le projet que je venais de former, j’avais décidé de la confondre, ma jolie Mom… je ne savais pas encore comment j’allais m’y prendre, je n’avais pas encore de plan, mais l’idée était bien arrêtée: j’allais la pincer…
C’était un peu comme si, dans ce que je considérais, maintenant, comme un jeu, j’avais eu une revanche à prendre.
Oui, j’allais la piéger…
Ce fut elle qui me piégea.
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