L’initiation de Cassie

                                                                                         Live Oak, Florida, 10/072015

Quelle idiote! Comment ai-je pu être d’une telle négligence…? Comment ai-je pu…?

Les questions et les plus noires pensées se bousculaient dans mon esprit que la panique bouleversait.

L’impensable, la catastrophe dont je n’avais jamais imaginé qu’elle se produirait un jour était arrivée: ma voisine m’avait vue alors que je faisais une fellation à Rosko au bord de la piscine. Rosko, c’est le nom de mon chien.

Oui, je suis une salope qui aime les chiens et ils me le rendent bien.

Qu’est ce que Cassie allait faire maintenant? Allait-elle me dénoncer ? Raconter cela à tout le monde? C’était un désastre !

Cela venait de se passer, ce samedi matin, j’avais fait l’impasse sur le déjeuner, incapable d’ avaler une bouchée et j’en étais là de mes pensées, quand vers deux heures, j’entendis frapper.

Qui cela pouvait-il bien être…?

J’allai ouvrir et mon cœur fit un bond quand, stupéfaite, je me trouvai face à Cassie.

Avec un grand sourire, elle me salua:

— Hi, honey ! (Salut, chérie! ) Ma chère voisine m’accueillerait-elle sur les bords de sa piscine pour une petite heure? La nôtre est en entretien et il fait si chaud cet après-midi…

— Bien sûr Cassie, avec grand plaisir…entre!

J’attendis la suite, me demandant ce qu’elle mijotait…

Elle portait un court peignoir à capuche en éponge bleu ciel et des sandales à hauts talons blanches… elle était à croquer.

Il y avait deux ans que les Olsen avaient emménagé dans la villa voisine et j’entretenais avec Cassie une relation « bonnes copines » teintée d’un zeste de coquinerie girlie… Nous étions parfois à la limite du flirt et les longs regards que nous échangions dans ces moments là, me laissaient penser qu’il n’avait manqué, jusqu’à lors, que l’occasion pour que nous tombions dans les bras l’une de l’autre.

Dès que j’eus refermé la porte, me regardant dans les yeux:

— Chérie, je suis venue te demander secours. C’est, en fait, tout autre chose que ta piscine que j’aimerais partager avec toi, si tu vois ce que je veux dire… Depuis que je vous ai vus ce matin, je ne pense qu’à ça et j’aimerais que tu me…

C’était direct… Je n’en croyais pas mes oreilles!

 Si j’étais surprise par sa demande, j’éprouvai en même temps un immense soulagement: Cassie partageant  avec moi le péché devenait ma complice et ne pouvait du coup de me causer désormais  de tort.

Tout en parlant, elle avait dénoué la ceinture du peignoir et l’avait ouvert en grand, offrant son corps splendide à mon regard.

Elle ne finit pas sa phrase… s’étant approchée, elle plaqua son corps contre le mien et m’offrit sa bouche. Dans un baiser passionné, je répondis à son appel, et me mis à caresser son corps sublime, ses beaux seins aux pointes dressées, sa peau de soie, sa petite chatte ruisselante de désir, alors que je sentais son souffle s’emballer…

Quand nos lèvres se séparèrent:

— Dis moi que tu acceptes, hein, chérie ?

Je l’embrassai, lui souris et prenant sa main:

— Viens, petite chienne, que je te présente à ton nouvel amant.

                                                                                      ***

Nous trouvâmes Rosko à son endroit favori, à l’ombre de la table basse au bord de la piscine. 
Cassie s’approcha et s’accroupit devant lui, dans un geste gracieux elle fit glisser le petit peignoir bleu de ses épaules et se montra dans sa splendide nudité. La voir ainsi agenouillée, jambes écartées devant mon chien fit monter une onde de chaleur du fond de mon ventre… je me mis instantanément à mouiller.

Dès qu’il vit Cassie nue, le chien comprit et se leva. De suite, il fourra sa truffe entre les jambes de la belle qui ne put retenir un cri, alors qu’il commençait à la lécher.

Elle s’était emparée de la grosse tête de l’animal et la bouche ouverte sur sa respiration haletante le maintenait sur l’incroyable caresse qu’il commençait à lui prodiguer.

Je savais qu’elle ne tarderait pas à jouir et décidai de les amener à l’intérieur pour qu’ils continuent à se livrer à leurs ébats en  toute quiétude.

Je m’approchai de Cassie et la caressant doucement, sans la brusquer, lui prit la main.

— Viens, chérie! Allons à l’intérieur… Vous y serez plus tranquilles.

Cassie eut l’air de s’éveiller d’un songe…

— Oui… oui, honey…tu as raison.

Rosko excité, sautait et tournait autour d’elle dans l’impatience de ce qu’il se savait désormais promis.

Je laissai les deux amants au salon et après avoir soigneusement fermé portes et fenêtres, allai chercher un coussin et une serviette.

Lorsque je revins au salon, je trouvai Cassie qui, assise sur le sofa gémissait de plaisir, penchée sur Rosko enlaçant son encolure, lui offrant sa bouche, qu’il fouillait de sa langue habile.

A mon entrée, tenant toujours le chien par le collier, elle s’interrompit, confuse:

— Oh, chérie…je …

— Ne t’excuse pas chérie! Je comprends, tu sais…

Et se penchant à nouveau vers l’animal:

— Oh! Oui! Oui, mon beau …Viens…embrasse moi encore!

Alors que le chien reprenait son impudique baiser, haletante, elle se mit, à caresser son clitoris, plongeant ses doigts dans son antre soyeux d’où giclaient des gouttes de cyprine.

La voir ainsi nue, se faire embrasser par mon chien, imaginer qu’il allait la baiser là, devant moi, me fit monter une nouvelle vague de chaleur au fond du ventre, m’obligeant à me caresser, les doigts dans l’échancrure de mon short.

Je posai le coussin sur le sofa et le couvris de la serviette, puis, avec douceur interrompis momentanément les deux amants dans leur étreinte passionnée.

Je caressai le visage de Cassie.

— Viens, chérie…Il va te baiser, maintenant.

Hébétée, elle se laissa faire… je la fis s’allonger, les fesses sur le coussin au bord du sofa, jambes largement écartées ses pieds au sol. Je voulais que Rosko la prenne en missionnaire afin qu’elle profite au mieux de sa toute première fois. J’avais eu toutes les peines à l’éloigner, impatient, pendant les préparatifs… dès que je me fus un peu éloignée, il se rua sur elle. Elle me regarda l’air implorant:

— Reste…! Oh reste, chérie!

Elle me tendit la main. Je m’en saisis et l’embrassai.

— Je suis là, darling!

Le chien excité se mit à tourner et virer autour d’elle, je le saisis par le collier et dirigeai son museau entre les jambes de la belle.

Après avoir commencé à lécher la cyprine qui avait coulé sur ses cuisses, l’animal se mit à lécher le petit con enflé de désir.

Alors, je vis, dans une tension de tout son corps, la belle s’arquer toute entière sous la lubrique caresse, ses yeux se révulsèrent et sa tête partit en arrière. Je la sentis balayée par un ouragan de sensations. L’animal la léchait à grands bruits mouillés la plongeant dans des orgasmes qui la faisaient crier. Tout à l’ heure, au bord de la piscine, Cassie était agenouillée devant lui et le chien ne pouvait avoir pleinement accès à sa chatte, maintenant, il pouvait de sa longue langue agile atteindre les profondeurs de son intimité et la rapidité de ses coups de langue, leur puissance et leur profondeur, atteignant le fond de son vagin lui faisaient ressentir des sensations d’une puissance inconnue. Elle s’était mise à crier, à gémir et à râler, à éructer des mots sans suite, implorant son amant de ne pas s’arrêter, submergée par l’incroyable jouissance qu’il lui offrait.

Insatiable, Rosko continua pendant de longues minutes, la plongeant dans un tourbillon de volupté qui la faisait crier… J’avais bien fait de fermer les fenêtres!. Je la voyais se tordre sur le sofa en proie à une transe folle. Les yeux fermés, paupières crispées par la jouissance, elle avait saisi le collier de l’animal et le maintenait sur son petit con inondé de cyprine et de bave qu’elle écartelait sur son mufle, tendue sur la bestiale et exquise caresse.

Bouche grande ouverte sur ses râles de plaisir, Cassie suppliait son rude amant de ne pas arrêter son baiser.

Je laissai Rosko prodiguer à la belle  sa lubrique caresse afin que celle-ci en ait tout son soûl. J’étais fascinée par le spectacle de ma belle voisine se livrant à mon chien. La puissance érotique de cette scène me bouleversait et je ne cessais de me masturber…

Au bout d’un moment, je vis Rosko s’interrompre à plusieurs reprises: Il voulait sa femelle.

Je le tirai en arrière et le maintins par le collier. Cassie se redressa, l’air hébétée, ne comprenant pas ..

— Allonge toi, baby…Il va te baiser maintenant.

Je la laissai redescendre et reprendre ses esprits, soûle de jouissance. Je caressai ses fesses et embrassai sa main.

— Tu es prête chérie?

Fermant les yeux, elle hocha la tête en signe d’acquiescement. Elle s’était mise à gémir sous l’emprise de la tension érotique qui l’étreignait.

Je lâchai Rosko qui fut immédiatement sur elle. Les antérieures au niveau de ses épaules, le chien chercha immédiatement à coups de reins désordonnés à la pénétrer de son mandrin duquel giclait des jets de pré-sperme. Cassie s’était mise à râler, je savais se qui se passait: le poids du corps de l’animal sur elle, la rude caresse de son poil, sa force brute l’entraînait déjà vers un début de jouissance. A gestes hésitants elle posait ses mains sur la fourrure du molosse dans des tentatives maladroites de caresses.

Je me penchai, me saisis du pénis de Rosko et le dirigeai sur l’entrée du vagin de Cassie. Pendant une fraction de seconde elle se tut, tétanisée. Rosko d’un coup de reins la pénétra de son chibre brûlant lui arrachant un cri de surprise. Il se mit alors à la baratter frénétiquement de son lourd mandrin à bruits mouillés, la faisant hurler.

Je pouvais voir son bulbe écarteler sa chatte à chaque pénétration alors qu’elle ruisselait en cataractes de pré-sperme et de cyprine mêlés. C’était incroyable! Plus il la martelait plus Cassie criait et j’en savais la cause: le mandrin et le bulbe du chien grossissait et labouraient son vagin lui causant une douleur qui n’avaient d égale que la jouissance inouïe qu’elle provoquait et qui la faisait crier.

A ses cris se mêlaient des mots d’amour qu’elle bégayait à son amant, enserrant maintenant son encolure à plein bras:

— Oui… ! Baise moi! Encore ! Oh! Oui…Ta bite! Encore mon amour…!

Je savais que son mandrin grossissait encore l’emplissant, de sa force impérieuse. Maintenant, le bulbe énorme de Rosko ne pouvait plus ressortir du son vagin de sa femelle: il l’avait attachée. Je n’ignorais rien de la façon dont se déroulait un coït avec un chien et je savais que Cassie ressentait maintenant le pic de jouissance le plus intense: le phallus énorme, à sa taille maximale distendait son vagin et le bulbe qui la nouait à son amant stimulait son clitoris et son point G. Il continuait à la pilonner ainsi la faisant crier.

Puis, je vis Rosko s’immobiliser, bougeant une dernière fois son arrière train comme pour s’enfoncer plus profondément en elle… Cassie s’arrêta de crier , et après un silence, eut un long râle… Rosko éjaculait, faisant jaillir au fond de son ventre les jets de son sperme. Je sentis la belle noyée par une jouissance intense alors que le sperme de Rosko continuait à l’emplir à longues giclées. Ses lèvres d’où s’échappait un geignement continu, étaient agitées d’un tremblement convulsif alors que ses yeux révulsés roulaient derrière ses paupières crispées.

Par expérience, je savais que Cassie éprouvait cette jouissance de plénitude que provoquait l’éjaculation et me gardai bien de gâcher ce moment de grâce…elle gémissait doucement un ineffable sourire sur son beau visage apaisé et serein.

Rosko qui se tenait toujours au dessus d’elle, lui lécha le visage, elle sourit et prenant sa tête massive dans ses mains se mit à le caresser. Le chien réitéra , mais cette fois lécha aussi ses lèvres, Cassie avec un « Oh! » surpris, lui ouvrit sa bouche gémissant de plaisir sous la bestiale intrusion. Râlant de plaisir, elle déglutissait avec volupté sa salive laissant l’animal fouiller  sa bouche  de sa langue infatigable.

Puis, je vis que Rosko en avait assez…il s’interrompit et après un moment de calme, se mit à bouger, tirant sur son bulbe pour essayer de se dégager, faisant gémir Cassie. Je pouvais voir le gros éteuf nacré distendre les parois de la petite chatte. Cassie geignait de plus en plus, mais le chien qui sentait que son bulbe commençait à sortir accentua son effort, et je vis alors le gros nœud distendre le petit con et s’en extraire dans une cataracte de sperme qui englua sa rosette et ses fesses.

Cassie n’avait pas crié une seule fois et même si ses traits étaient encore un peu crispés, elle eut la force de me sourire.

Rosko selon son habitude lécha le petit con tuméfié de sa femelle et son travail de mâle rempli, alla se coucher sur un coin du tapis…

Je caressai le visage de la belle qui prit ma main et l’embrassa. Le regard encore égaré, elle murmura:

— J’ai envie que tu m’embrasses…

Ce fut un moment exquis.

Alors que je la caressais, elle me dit à voix basse:

— Merci ma chérie… Ton petit  salaud m’a fait jouir comme je n’avais jamais joui… ça a été un moment merveilleux! Et cela, grâce à toi… je t’adore!

Nous nous embrassâmes encore.

— Tu te sens bien,  chérie? Ça va?

— Super! Je n’ai qu’une envie, c’est de recommencer…

Me dit-elle en riant.

— Quand ça te fait plaisir ma belle, j’ai adoré te regarder te faire baiser… ça m’a toute remuée.

— C’est vrai? Quand je veux? Oh! Je t’adore!

Nous échangeâmes un nouveau baiser passionné.

Lui prenant la main, j’entraînai ma belle voisine sous la douche où nos caresses et nos baiserset nos caresses reprirent de plus belle, après quoi, elle repassa le petit peignoir bleu et après les derniers baisers qu’elle échangea avec Rosko qu’elle caressa longuement, lui murmurant des mots tendres, elle m’embrassa et s’en fut , se retournant une dernière fois pour m’envoyer un baiser du bout des doigts.

Je retournai au salon où Rosko couché sur le tapis ouvrant un œil pour me voir entrer, me salua en remuant son bout de queue.

— Alors, mon bonhomme! Content de ta nouvelle conquête? Tu pourrais me remercier quand même! Tu sais, des fois, je me dis que je t’ai vraiment très mal élevé.

En souriant, je repensai à cette journée qui avait si mal commencé et qui pour finir, ne m’avait apporté que du bonheur… ma chère voisine était vraiment délicieuse!

Catégories : Red Zone.

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