Chapitre II
Rédemption.
Le soir, alors qu’elle vaquait à ses occupations de mère de famille, allant des devoirs des filles au fourneau , elle avait encore la tête pleine des folles images de sa journée de lubriques frasques animales, caressant de temps à autre son ventre arrondi sur l’impressionnante quantité de sperme que voyou y avait scellée. Avec quatre éjaculations , elle devait être remplie de plus d’un litre de semence…Elle se sentait incroyablement bien en même temps que terriblement excitée… à nouveau, elle dut s’éclipser trois fois dans la salle de bains et dans sa chambre pour s’y masturber violemment…
Le lendemain matin, les filles déposées à l’école, les tâches ménagères expédiées, Pernelle jubilant de plaisir anticipé se précipita, le cœur battant vers la grange, où selon son habitude, Voyou la précéda couinant, d’impatience. Pernelle avait idée, ce matin là, de se faire, prendre par Voyou, mais d’une façon qu’elle appréciait tout particulièrement, du temps de sa jeunesse folle : elle voulait qu’il la sodomise. Elle avait toujours adoré ça.
La porte de la grange refermée sur eux , dans la quiétude tiède et odorante du petit bâtiment, Pernelle se livra aux préparatifs qui la remplissaient de joie, elle tira la balle de foin au centre de la pièce baignée de pénombre, déplia la bâche, et le cœur battant se prépara à accueillir son amant, excitée au plus haut point par cette nouvelle expérience.
Elle se mit à quatre pattes sur la bâche, emplie d’une excitation croissante et tourna sa jolie croupe vers la bête. Celle-ci se porta de suite derrière elle , comme elle en avait maintenant l’habitude et se mit à la renifler, grognant, mordillant, ses talons ses mollets, mais revenant sans cesse à fesses, poussant encore l’ enfièvrement de la belle. Pernelle adorait ce qu’elle avait pris l’habitude d’appeler les préliminaires
Elle cambra les reins, croupe tendue, et la tapota, essayant d’attirer son attention. Il revint à son armille et sa chatte trempée, et cette fois ne les quitta pas, enfonçant son groin entre ses fesses, les mouillant de sa bave, poussant des grognements de plus en plus excités, qui faisaient gémir sa maîtresse d’impatience.
Quelques secondes s’écoulèrent pendant lesquelles, tendue à l’extrême, Pernelle ne savait pas ce qui se passait quand d’une détente si aisée pour une telle masse, il jeta ses antérieures sur ses épaules et ayant pris appui, faisant éprouver à Pernelle la rugosité de ses soies, le poids et la rudesse de son corps massif, sensations que Pernelle adorait ressentir ,maintenant, il se mit à chercher son orifice en dardant son long pénis tortu. Elle sentait son sexe humide et chaud toucher ses fesses, ses cuisses, son anneau, mais sans résultat.
Sa hure, énorme, oscillait au-dessus d’elle au rythme des coups de boutoir qu’il tentait de donner. De plus en plus excité, il émettait des grognements et des couinements stridents qui montraient l’ énergie de sa pulsion d’accouplement.
Il avait déjà commencé à émettre sa pré-semence qui giclait de son membre inondant ses fesses et son entrejambe, poussant son excitation à son comble. Elle haletait, le souffle court emporté par une ivresse grandissante.S’appuyant sur sa main droite, elle lança sa main gauche en arrière et tâtonnant, parvint à saisir le long vit tortu, qu’elle guida entre ses fesses. Instantanément, il la posséda, d’abord assez peu puis d’un seul coup, il fit jaillir le long sexe chaud de son étui et la pénétra jusqu’au tréfonds de son ventre. Elle poussa un coassement aigu qui se mua en plainte spasmodique. Elle venait de prendre plus de cinquante centimètres du phallus long et chaud du verrat aux tréfonds de son ventre. Le vit souple était remonté très loin, et elle le sentait effectuer ses mouvements de rotation, cherchant à trouver le point sensible; elle était folle de jouissance, emportée par ce maelstrom de sensations que seul, Voyou pouvait lui faire éprouver.
—Oh ! Ouiii ! Oui ! Oh ! Mon amour … ! Oh ! Baise moi …Encore… ! Encore ! Pernelle affolée de sensations lubriques balbutiait des mots d’amour à son terrible amant.
Elle geignait, gémissait pendant que la bête lui fouaillait le ventre de son long dard brûlant. Cela dura plusieurs minutes pendant lesquelles elle éprouva plusieurs orgasmes.
Soudain, le verrat s’arrêta et se tint immobile. Elle n’en pouvait plus…épuisée par la tension de toute cette jouissance , elle commençait à se laisser aller. Alors, la bête se mit à éjaculer. Elle émettait par saccades des flots de sperme brûlant qui se déversaient en elle, provoquant de nouveaux orgasmes, lui faisant encore éructer son plaisir à longues plaintes… Cela dura longtemps, très longtemps, le porc éjacula pendant de longues minutes, quinze… vingt ? Pendant lesquelles, alors qu’elle était tétanisée de jouissance, il déversa en elle, une quantité invraisemblable de sperme épais et chaud, qui s’échappait de son anneau, coulait en cataracte , entre ses fesses, le long de ses jambes . Chaque jet qu’il émettait lui faisait pousser des gémissements et des râles de contentement lubrique.
Au fur et à mesure que le monstre déversait en elle ses torrents de foutre, sa folie et son excitation s’estompaient graduellement, laissant place à un grand calme, une grande plénitude, un profond contentement. Elle ferma les yeux et laissai sa respiration, calmée, s’exhaler en longs soupirs.
Puis, elle sentit que le verrat se retirait, il sortit son long dard qui de suite rentra dans son étui pénien. La phénoménale quantité de sperme que la bête avait émise au cours de son interminable éjaculation continua de plus belle, à s’épancher; contrairement à ce qui se passait quand Voyou éjaculait dans son utérus où il y scellait son sperme avec le bouchon de substance gélatineuse, cette fois rien ne pouvait empêcher sa semence de s’écouler en épaisses rigoles et filets grumeleux inondant ses fesses, sa chatte et ses cuisses et se répandait en flaque sur la bâche à grands bruits liquides. Des amas de substance pâteuse, semblable à un gel, le bouchon, qui intriguait tant Pernelle, en interrompaient parfois l’écoulement qui reprenait de plus belle une fois ceux-ci expulsés.
Voyou revint renifler son derrière et de suite, recommença à montrer des signes d’excitation qui enflammèrent la belle, ne demandant qu’à se faire prendre de nouveau . Le verrat la couvrit de façon rapide , dardant son long sexe dans le vagin de Pernelle, cherchant le cervix de sa pointe vrillante, qu’il força sans ménagement la faisant hurler de douleur, puis lui déclenchant une série d’orgasmes d’une violence inouïe qui la firent hurler à défaillir. Alors, se calmant brusquement, selon un rituel maintenant établi, mais auquel Pernelle ne s’habituait pas, il déversa en elle, une fois encore, une invraisemblable quantité de sperme, faisant jouir sa femelle sans discontinuer pendant une vingtaine de minutes.
Alors que la belle gémissait son plaisir, le verrat retira son long dard qui glissa hors du ventre de sa femelle, la faisant jouir encore une fois.
Elle restait là, à quatre pattes, prostrée…elle se sentait fourbue. Le cochon vint lui renifler la croupe à plusieurs reprise et cette fois, s’en alla ; comme d’habitude après ces formidables séances de baise, elle se sentait sonnée, anéantie, mais parfaitement comblée…Tremblante, titubant sur ses jambes qui la portaient à peine , elle sortit de la grange à moitié nue, serrant contre elle le reste de ses vêtements, souriant aux anges avec béatitude, elle se dirigea vers la maison et gagna la salle de bains.
Le week-end arriva et Pernelle dut envisager de renoncer, à son grand regret, à retrouver Voyou dans la grange, pour s’occuper à remplir ses obligations familiales, elle dut faire effort pour surmonter sa frustration, et ne pas faire montre d’une mauvaise humeur excessive. Elle remarqua qu’elle était toujours aussi sexuellement excitée et dut multiplier les séances de masturbation compulsive qu’elle dénombra avec un sourire à une demi-douzaine dans la seule soirée du vendredi. Constatant que ses inquiétudes au sujet de l’efficacité des bouchons, dont elle connaissait maintenant l’aspect et la texture, avec lesquels Voyou scellait son sperme dans son utérus étaient infondées et une main sur le renflement qui arrondissait son ventre, elle se prit à sourire, pensant qu’il renfermait près de deux litres de sperme…Elle dut faire effort pour visualiser ce que cela représentait! Plus d’une bouteille d’eau minérale telle que celle qui était en face d’elle, posée sur l’îlot de la cuisine ! C’était incroyable !
Ce soir là, Marc eut la surprise et le plaisir de sentir sa jolie femme se blottir contre lui et quémander un câlin qu’il se fit, tout heureux, un plaisir de lui prodiguer , après quoi il s’endormit comblé , alors que Pernelle, les yeux grands ouverts sur son lubrique secret, commençait à se masturber pour une nouvelle session de jouissance silencieuse.
Le lendemain matin, après le petit déjeuner, alors qu’elle regardait, le ventre noué, son Voyou, assoupi sous le poirier, Marc reçut un coup de fil de sa mère, qui leur proposait de passer avec les petites manger une glace.
Sachant combien Pernelle aimait passer du temps avec sa belle-mère, Mark eut la généreuse et diplomate idée de lui proposer d’y aller avec les filles pendant qu’elle resterait profiter d’un moment tranquille, à la maison
— C’est une très bonne idée, mon chéri, merci. Justement, j’ai de quoi faire…
Et comment…! Immédiatement, ses pensées revinrent à son Voyou adoré, et à ce qu’il allait pouvoir, à nouveau, lui faire subir; elle en éprouva une telle bouffée de bonheur qu’elle se précipita dans les bras de son mari, qui, tout surpris, reçut un baiser plein de reconnaissance enthousiaste, de sa belle épouse.
Pernelle le ventre tordu d’impatience, tremblante de désir lubrique prit une longue douche tiède pour se détendre et passa un long moment à se préparer et se faire belle pour son amant . Comme Marc lui en faisait la remarque lui demandant, en plaisantant, pour qui elle se préparait avec tant de soin, elle lui répondit
— Pour Voyou… !
Ce qui était tout sauf une plaisanterie dont elle seule pouvait goûter le sel… Marc sortit en souriant, secouant la tête.
Avant de partir, la petite futée, prétextant un besoin de faire des courses en ville, demanda à Marc de lui passer un coup de fil rapide pour la prévenir de leur retour, s’assurant ainsi d’avoir le coudées franches pour son intermède vicieux, de cet après-midi.
Après les bisous et les signes de la main en regardant la voiture s’éloigner, Pernelle rentra mettre une dernière touche à sa beauté. Alors que sa tension montait, et qu’elle ressentait des tremblements de désir impatient, elle différait avec délices le moment de se précipiter vers la petite grange, devenue le lieu secret de leurs débauches, le temple de leurs rituels orgiaques .
Le souffle déjà accourci par l’émotion, elle enfila des bas noirs et mit son joli porte jarretelles assorti sur lequel elle passa un string, emprisonnant sous le minuscule triangle de dentelles, sa jolie chatte déjà moite. Un dernier coup de brosse , un regard satisfait à son reflet dans la grande glace, le cœur battant, la jolie maman et épouse modèle s’en fut, tremblant d’impatience vers la bestiale bacchanale que lui offrait, providentiellement, sa belle-mère adorée.
Alors qu’elle se dirigeait, vibrante de désirs vers la remise, Voyou, qui semblait avoir pris l’habitude de ce qui devenait leurs rendez-vous quotidiens, se précipita à sa rencontre en couinant, excité par la perspective de ce qu’il savait l’attendre. A peine Pernelle avait elle refermé la porte de bois sur la pénombre tiède et odorante de la petite grange, que se portant derrière elle, il se mit à renifler ses fesses et son entrejambes, soulevant sa jupe de son groin humide ; attisant encore l’émoi de la belle.
—Ooh, mon Voyou… ! Oh Chéri… toi aussi, tu m’attends… Oui, mon amour , tu vas me baiser hein… ? Tu vas me baiser fort. Oh chéri, si tu savais comme j’ai envie de toi… Oh, Viens, viens… !
Elle s’était agenouillée et enserrait le verrat dans ses jolis bras cherchant à le caresser, le cajoler, à partager avec lui, son émoi…Mais celui-ci avait d’autres besoins à satisfaire, l’odeur de sa femelle ordonnait, et il cherchait à se positionner derrière elle, afin de la saillir. Pernelle en fut quitte pour caresser les soies rugueuses de son dos, de son ventre, ses énormes testicules gonflés de sperme dont il allait la remplir, elle en eut un frisson orgasmique, qui la fit gémir d’anticipation.
Elle ôta la jolie petite robe légère qu’elle avait revêtue ce matin, toute tremblante, ne gardant que ses bas, son porte jarretelles ainsi que ses escarpins, qui lui donnaient une silhouette d’ une grâce et d’un érotisme troublant et qu’elle offrait, éclatante de beauté, à son barbare amant.
Elle se hâta pour accomplir les préparatifs à leur nouvelle noce bestiale, tremblante d’excitation,alors que le verrat tournait autour d’elle couinant de plus en plus fort son impatience, tira la balle de foin au centre de la pièce, après y avoir installé la bâche, tachée du sperme des séances précédentes, et s’y agenouilla, laissant échapper de petits gémissements d’excitation.
A peine s’était elle appuyée sur le foin odorant dont elle adorait, maintenant, le picotement excitant sur ses jolis seins, que Voyou qui grognait déjà, reniflant bruyamment sa croupe de son groin humide, se jetait sur elle, s’affalant de tout son poids sur le petit corps gracile de sa jolie femelle, l’emprisonnant dans l’étau de ses pattes avant. Elle reçut l’assaut avec un ahanement, expirant tout son air, la poitrine comprimée par le poids considérable de la bête, dont le pénis tendu vrillait déjà, à la recherche de l’orifice convoité. Alors que le verrat grognait, couinait en proie à l’empire de sa pulsion reproductrice , Pernelle jouissait déjà alors même que son amant ne l’avait pas encore pénétrée, la sensation du fardeau écrasant, sur son doux corps fragile, la rugosité du corps massif, sa chaleur, la mâle puissance bestiale que dégageait l’animal l’emportait déjà dans un tourbillon d’émotions lubriques qui la faisait gémir. Écrasée de bonheur, elle hurla quand d’un mouvement long et puissant, le pénis vrillant, après qu’il eut trouvé l’entrée de son vagin noyé de cyprine, s’enfonça au tréfonds de son ventre, l’inondant du pré-sperme qu’il émettait déjà. A compter de ce moment, la suite fut pour Pernelle une longue suite d’orgasmes de plus en plus violents qui la secouèrent, lui coupant le souffle, jusqu’au moment où, atteignant un paroxysme insoutenable, n’en pouvant plus de jouissance, dans un hurlement encore plus intense, elle défaillit, s’affalant sur la botte de foin, sur laquelle elle s’affaissa, sans réactions pendant quelques secondes. Lorsqu’elle revint à elle ce fut pour s’enfoncer à nouveau dans une volupté aussi profonde que paisible, son amant déchargeait, au fond de son utérus ses torrents de foutre chaud à longs traits, la noyant dans une ineffable jouissance qui la fit gémir, geindre et sangloter d’extase pendant une vingtaine de minutes.Quand Voyou se retira, Pernelle ressentit encore une fois, cette dernière sensation de volupté qui finit de la combler.
Elle redescendait doucement, agenouillée , la poitrine posée sur la balle,bras écartés, sa joue dans l’odeur suave du foin, engourdie dans une sensation de plénitude d’assouvissement absolus. Sa respiration alentie et profonde s’entrecoupait parfois de profonds soupirs d’ineffable bonheur.
Comme d’habitude, Voyou, sa tâche accomplie était venu se rendre compte du résultat de son œuvre : il avait reniflé en grognant le joli petit derrière de sa maîtresse, puis s’était éloigné.
Pernelle se rendit compte que depuis un moment elle ne l’entendait plus, la grange étant fermée, il était pourtant là… En se retournant , elle l’aperçut, couché dans un coin ,le long d’un mur.
— Oh ! Mon voyou… Tu es là… !
Elle se leva et se dirigea vers lui… Doucement, tout doucement, de manière à ne pas le perturber, elle s’approcha et toujours avec d’infinies précautions s’allongea aux cotés de l’animal.
Nue, blottissant son corps fragile contre celui de son rude amant, Pernelle était heureuse, elle l’entourait de ses bras caressants, frottait sa jambe sur son flanc puissant, se collait à sa peau velue, éprouvant la rugosité de ses soies, elle l’embrassait avec dévotion, lui murmurant toute sa gratitude et son amour.
Voyou se laissait faire,tranquille, clignant des yeux de temps à autre, sa respiration puissante et profonde à laquelle se mêlaient parfois de petits grognements courts et incroyablement doux berçait Pernelle qui baignait dans un ineffable bonheur. Dans une longue litanie , elle égrenait en lui murmurant des mots d’amour et des mots crus, et regardant voyou dans les yeux elle se dit qu’il la comprenait.
— Ooh ! Mon Voyou d’amour… je vais te sucer… chéri… ne bouge pas, s’il te plaît… ! …J’en ai tellement envie…Je t’en prie, laisse toi faire !
C’était pour Pernelle l’occasion de tenter ce à quoi elle avait renoncé, lorsqu’elle s’était rendu compte du comportement de l’animal :faire une fellation à Voyou. Cela faisait longtemps qu’elle en crevait d’envie , mais jusque là, cela c’était avéré impossible…
Voyou était couché sur le flanc droit et son étui pénien était bien apparent , elle se redressa et s’assit, le caressant longuement, flanc, poitrine, ventre, l’animal semblait apprécier et se laissait faire.
Pernelle s’allongea et le souffle court, se mit à doucement caresser l’étui pénien, puis ses caresses se firent plus appuyées et au bout d’un moment elle se mit à le branler et le malaxer ; son entre-jambes se trouvait à la hauteur du groin de Voyou et elle avait écarté les jambes, laissant son tendre petit con à sa vue et ses odeurs à portée… Voyou grognait et couinait doucement, comme excité.
Pernelle , le cœur battant la chamade, sentit un mouvement sous ses doigts et le bout torsadé de la verge de Voyou, d’un brun violacé, commença à poindre hors du fourreau, il l’impressionnait…! Elle accentua son mouvement et ce furent vingt centimètres du mandrin qui sortirent,gouttant déjà de liquide spermatique… Alors dans une fièvre lubrique que l’attention ne bridait plus, elle se jeta sur le chibre et se mit à le sucer avec avidité aspirant les longs jets de semence au goût puissant, dont elle se délectait, avec des feulements de lascivité. Le vit du verrat se déploya encore et tout en le branlant elle continuait à le sucer de plus belle avalant tout le sperme que Voyou maintenant émettait d’abondance.
Voyou était maintenant très excité, et au bout de quelques instants il se se releva et se mit à tourner autour de Pernelle en grognant. Celle ci prit la hure énorme de son rude amant à pleins bras et y appuyant son joli visage, enamourée, lui murmura :.
—Mon amour… ! Ooh ,mon amour… ! Que tu me fais du bien … ! Ooh ! Chéri… Je t’aime… Je t’aime, mon Voyou… ! Tu vas me baiser encore, mon beau, hein ? Oh, j’ai envie de ta belle bite !… !… Tu vas me baiser, dis? Viens, Viens…Ooh… Baise moi, chéri… !
Elle se redressa enserrant et embrassant son Voyou et toujours le caressant , se dirigea vers le lieu du rite sacrificiel, où le verrat la baisa encore, lui faisant éprouver, à nouveau, des jouissances paradisiaques, et des summums de volupté ineffables.
Épuisée par leurs prouesses amoureuses, gavée d’orgasmes, Pernelle ouvrit la porte du petit bâtiment et Voyou s’en fut explorer la cour, alors que Pernelle, éreintée, allait se délasser et se débarrasser de l’odeur puissante de la bête sous une douche tiède.
Elle se sécha et s’allongea, nue sur le grand lit de la chambre…Les yeux au plafond, souriant, elle caressait son ventre se demandant si cela n’allait pas finir par se remarquer…Elle resta là un long moment jouant et rejouant le film des moments de pur bonheur qu’elle venait de vivre.
Puis elle s’étira, se leva, enfila un short et un sweater et sortit au jardin r quelques légumes, qu’elle comptait préparer pour le repas du soir. Lorsqu’elle sortit du potager son panier à la main, elle eut la surprise de voir Voyou accourir vers elle en poussant des couinements qu’elle reconnut immédiatement.. Son cœur s’emballa…
— Ooh… ! Mon Voyou ! Tu veux encore… ? Tu veux me baiser, chéri…
Elle réfléchit : il était encore tôt… et elle avait demandé à Marc de téléphoner avant d’arriver… Il serait toujours temps si… Sa décision était prise.
Elle déposa le panier dans la cuisine et se dirigea le cœur battant vers la grange.
Quand Marc rentra avec les filles, le soir, il trouva sa jolie épouse douchée de frais, radieuse, le repas prêt et après avoir échangé les nouvelles de la journée, ils partagèrent une douce soirée familiale pendant laquelle une Pernelle, un peu rêveuse, passa de grands moments à doucement caresser son ventre songeant avec délices aux presque trois litres de sperme que son Voyou d’amour y avait scellés.
La vie se poursuivit à un agréable rythme de croisière, tranquille, chacun installé dans ses occupations, Pernelle quant à elle n’avait jamais été aussi épanouie, depuis le début de son mariage.
En temps normal, son mari au travail et les enfants à l’école, une fois expédiée les tâches ménagères, elle pouvait se consacrer corps et âme à ce qui la réjouissait le plus au monde : se faire baiser par son infatigable amant. Elle acceptait deux fois par semaine que Marc lui fasse l’amour et se permettait quelques extra avec des amants occasionnels, comme avec ce livreur noir qui lui avait fait apprécier les joies d’être prise par un mandrin hors normes… Tout allait donc pour le mieux et même si la belle de temps en temps, ressentait quelque culpabilité lors de fêtes familiales ou cérémonie religieuses, la sensation de son ventre rempli du sperme de son incomparable amant chassait bien vite ces idées et il lui venait souvent en tête, dans ces moment-là, le vieil adage : « Pas vue, pas prise » qui résumait bien son état d’esprit.
Elle ne pouvait plus cacher à son mari, son ventre arrondi maintenant en permanence. Ce changement était dû à ses deux maternités et elle devait l’accepter… Marc quant à lui, trouvait ça sexy. Pernelle avait remarqué que, outre le fait que son ventre avait changé, ses seins aussi : ils avaient pris davantage de volume, tout en gardant leur jolie forme, de 95 C elle était passée au 95 D. Ses fesses aussi , s’étaient comme arrondies, paraissaient encore plus suaves et douces, et comme sa taille n’avait pas changé, restant toujours aussi mince, sa silhouette avait encore gagné en féminité. Elle, qui était déjà la coqueluche de tous les mâles du quartier, suscita encore davantage leur convoitise, enflant un peu plus, les jalousies et les bruits qui couraient à son sujet
Les périodes de vacances lui causèrent pendant pendant longtemps, de longs moments de frustration : elle devait s’occuper des filles et il était hors de question de pouvoir s’isoler dans la petite grange, ne fût-ce que quelques instants. Aussi, rongeait elle son frein, prenant son mal en patience , quand un samedi matin du mois d’août, après une très longue période d’abstinence, alors que le manque la taraudait, survint un événement inattendu qui lui offrit la clé du problème.
De gros orages s’étaient abattus sur la région, pendant toute la semaine, et ce matin là , un soleil radieux illuminait la campagne. Pernelle, après le petit déjeuner, proposa à toute la famille d’aller faire une balade aux champignons, la saison et les conditions propices leur permettraient sûrement de trouver quelques cèpes…
Marc lui déclara que ç’aurait été avec grand plaisir mais il devait impérativement régler le problème de la chaudière qui ne produisait presque plus d’eau chaude… il devait regarder ça. Quant aux petites, elles avaient projeté de jouer à l’école, et ne faisaient qu’en parler, depuis déjà hier soir. Il était hors de question de les faire renoncer. Pernelle eut dans l’idée d’abandonner son projet de promenade, mais se dit que s’échapper un moment de la maison ne pourrait lui faire que du bien. Elle enfila une paire de bottes, prit un panier, direction, le petit bois.
Elle traversa la cour, contourna le potager, et s’engagea sur le petit chemin qui traversait l’herbage. A ce moment là, les couinements de Voyou se firent entendre de loin, du côté de la grange : il n’avait pas vu sa maîtresse mais venait de la sentir grâce à une saute de vent, il accourait vers elle. Le cœur de Pernelle fit un bond, et se mit à battre la chamade : Voyou allait la baiser dans le bois ! Des larmes d’émotion mouillèrent ses yeux, cette providentielle sortie aux champignons serait sa délivrance et une véritable bénédiction .
Le verrat se précipita sur elle excité, la bousculant, couinant et grognant d’une façon qu’elle reconnut de suite. Elle s’agenouilla pour le caresser le gratter, l’embrasser, lui murmurant des mots d’amour enfiévrés, balbutiant des obscénités alors qu’il la chahutait dans une impatience fiévreuse. Elle était bouleversée. L’émotion nouait sa gorge, embuait ses beaux yeux…Enfin ! Enfin, son Voyou allait pouvoir la combler comme elle ne l’avait été depuis des semaines, enfin il allait la faire jouir comme elle aimait tant qu’ il le fasse…une joie lubrique tordait son ventre, la faisant gémir de bonheur, alors qu’elle se laissait bousculer par son magnifique amant.
Elle se remit en route, la tête bourdonnante, les jambes chancelantes tremblante d’un désir fou. Vite ! Vite ! Un bosquet, un buisson où cacher leur amour, leurs édéniques ébats lubriques. Vite, qu’enfin, il la baise !
Pernelle avançait maintenant sur une sente à peine tracée… Quelque animal, sans doute. Voyou la suivait comme un petit chien en émettant un grognement de temps à autre, plus calme depuis l’entrée dans le bosquet.
Personne ne venait jamais dans le petit bois, si ce n’étaient les filles et elle, une ou deux fois l’an, c’était une petite oasis de calme et de verdure dans laquelle elle devait trouver leur abri d’amour. La nécessité aiguisant son œil et sa sagacité, elle avisa sur sa droite un fossé, au bout duquel se trouvait un massif de fougères de presque deux mètres de haut. C’était là !
Elle emprunta le fossé et entra dans le massif de fougères, les écartant sur son passage, essayant de ne pas les écraser, alors que voyou avec un sens animal qui l’étonna s’y faufilait avec aisance. Lorsqu’elle eut parcouru ainsi plusieurs mètres, elle se mit à casser et piétiner les fougères, formant un cercle libre de plus d’un mètre de diamètre, ainsi qu’un frais matelas, dégageant une exquise odeur verte, qui allait la marquer à jamais. Pendant ce temps, l’animal continuait à la harceler, aiguillonné par son instinct ainsi que par les senteurs de sa femelle…l’entre-jambes de son pantalon de toile était trempé depuis qu’il l’avait rejointe.
Pernelle s’immobilisa, tendit l’oreille et écouta, aux aguets… Rien! Aucun bruit suspect ne venait troubler le calme naturel du petit bois , quelques pépiements d’oiseaux, le souffle du vent, le bruissement des feuilles…Un calme apaisant, une sérénité toute neuve, la faisait baigner dans une étrange atmosphère, qui l’égarait et la ravissait. La nature, qu’elle connaissait si peu, l’accueillait et lui offrait une bulle qui l’environnait de vibrations inconnues, intenses et bienfaisantes, elle baignait dans une étrange musique qui l’accordait avec le monde, avec son amour, avec elle-même. Quelque chose d’inconnu montait en elle, qu’elle n’avait pas envie de refréner . Alors , lentement, enlevant un à un ses vêtements, qu’elle lança en boule sous les fougères, disant à son Voyou, qui s’affairait toujours dans ses jambes, son bonheur d’être là, avec lui, elle se mit nue, éprouvant sur sa peau de soie, la caresse du vent, sa fraîcheur vivifiante, qui fit se dresser ses tétons et la fit soupirer d’un bonheur qui l’écrasait de douceur. En quelques moments , dans ce qu’elle percevait être un miracle, tout s’ accordait pour lui offrir la plénitude, celle qu’elle n’était jamais vraiment parvenue à atteindre, et qu’elle touchait, là, du bout des doigts…Ici, elle ne trichait pas. Ses yeux s’emplirent de larmes et sa gorge se serra, alors qu’elle se jetait sur Voyou, l’embrassant avec passion …Comme elle, il était part du monde.
Elle tomba sur ses genoux et se cambrant, reins creusés, appela son amant.
— Viens, amour… ! Viens, mon beau… ! Je t’aime ! Ooh !…Je t’aime… ! Baise moi, chéri…Ooh ! Baise moi fort mon amour…Fais moi vivre … !
Voyou, sevré d’amour depuis plusieurs semaines, se jeta sur le fragile petit corps qui s’offrait, implorant.
Il écrasa Pernelle d’un poids qu’elle elle n’avait pas l’habitude de supporter. Dans la grange,il prenait appui sur la balle de foin, se plaçant plus en hauteur; là, il reposait sur elle de tout son poids, la faisant ahaner sous l’effort, l’emprisonnant sous sa masse colossale; la sensation de puissance rugueuse et âpre, sa chaleur et sa force bestiale la soumettaient, et suppliante,elle acceptait le joug de son impérieux seigneur et maître.
Enivrée de stupre, vaincue par la puissance de son amant, elle s’abandonnait à son délicieux supplice. Lorsqu’elle sentit le mandrin du verrat la pénétrer elle se libéra dans un cri rauque qui se prolongea en un vagissement incoercible. Se poussant à coup furieux sur le long dard qui la fouaillait, elle éructait une obscène prière idolâtre à son merveilleux amant qui vrillant son long pénis dans le corps splendide qui s’offrait, y déclenchait des ondes de jouissance qui l’emportaient, une fois encore, sur les sommets de volupté qu’elle retrouvait avec un bonheur sans pareil.
Le verrat la fouaillait se son long mandrin brûlant cherchant l’entrée de son utérus et quand il l’eut trouvé il marqua un temps d’arrêt que Pernelle ressentit, immédiatement après, elle ressentit une brûlure qui lui arracha un cri: il était en elle et vrillait son vit qui progressait dans son giron. Il la possédait. Elle explosa dans une extase sans pareille. Elle proférait des cris inarticulés, mêlés de feulements et de gémissements, entrecoupés de sanglots, elle replongeait dans des abîmes de stupre et se sentait projetée vers des apex de jouissance telles qu’elle croyait en perdre la raison.
Alors , le verrat brusquement s’apaisa et commença à éjaculer à longs traits, dans sa fragile femelle asservie et suppliante, la semence tant attendue et désirée.
Pernelle s’installait dans une longue jouissance qui lui faisait psalmodier de longs et doux cris, roulements de gorge et proférer des sanglots de bonheur, noyée dans un flot de volupté lente et puissante comme un fleuve. Quand elle se rendit compte que quelque chose autour d’eux avait changé:il pleuvait. Une grosse averse d’été avait éclaté et déversait les cataractes de ses larges gouttes sur la forêt . Sa surprise passée, le cochon toujours solidement planté au fond de son ventre, continuant à y déverser ses flots de foutre chaud, la sensation du ruissellement de la pluie tiède unissant le corps de son bel amant au sien, la sensation des gouttes caressant son visage, plaquant ses cheveux à son front, baignant tout son corps, firent de ce moment béni, une fête inoubliable. Elle jouissait de toutes les fibres de son être. ***
L’averse se calma alors que Voyou continuait à déverser sa semence en elle. Elle n’était que jouissance, calme et plénitude. Le verrat achevait sa formidable éjaculation et retira , la faisant jouir une dernière fois comme il savait le faire, et vint inspecter son travail, lui fourrant son groin entre les fesses et sur son petit con, comme il le faisait d’habitude.
Murmurant des mots d’amour à son amant elle achevait de redescendre, laissant les répliques de ses orgasmes la faire frissonner…Non, ce n’était pas de froid, elle se sentait étrangement bien, comme lavée de pluie, neuve et fraîche. Elle regarda le ciel à nouveau clair, où couraient des nuages. Alors, il lui vint, en cet instant de grâce, l’idée que Mère Nature, dans son infinie sagesse lui avait fait le cadeau de la guider dans cet endroit à ce moment là, dans le but qu’elle découvre qui elle était vraiment : non pas une mère, ni une épouse, encore moins une ex-call-girl, mais un être vivant, environné d’un monde merveilleux.
Elle embrassa longuement son voyou, le caressa, lui murmrant des mots tendres… Il était sagement resté avec elle dans leur merveilleux écrin de verdure. Elle ramassa ses vêtements, qu’elle avait eu l’heureuse idée de cacher sous les fougères, ils étaient à peine mouillés, et se rhabilla. Il était onze heures, il fallait rentrer. Tant pis pour les champignons! Ce qu’elle avait découvert dans la petit bois lui parlait encore…Son fidèle amant sur les talons, elle se mit en chemin.
Pernelle et Voyou continuèrent à s’adonner avec volupté à leurs ardents ébats jusqu’au printemps suivant, quand un après-midi après une torride séance de baise, Pernelle alla voir Voyou, qui restait bien longtemps sous son poirier… Il était mort.
Marc loua une mini pelleteuse et l’enterra à l’ombre de son arbre préféré.
Pernelle eut beaucoup de chagrin et traversa une longue période de blues.
Elle déprimait, se demandant, comment elle allait survivre sans ces merveilleuses séances de baise quotidiennes, sans que son ventre ne reçoive sa généreuse mesure de sperme journalière.
Le samedi suivant, Marc arriva dans la cour, une remorque attelée à sa voiture, dans la remorque, un cochon.
—Je te présente ton nouveau copain , ma chérie ! Il est un peu plus jeune que l’autre..
— J’espère que tu pourras en faire aussi bon usage que Voyou…
Se pouvait-il qu’il se fût douté de quelque chose ?
Pernelle fondit en larmes et embrassa longuement son Marc chéri, avec gratitude…
Pensant déjà, que dès lundi, elle testerait les aptitudes du petit nouveau.
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