Le soleil de juillet au zénith, implacable, courbe la Beauce sous sa loi.

Sur la sente empierrée qui partage l’immensité des blés, qu’un vent au sud fait ondoyer infiniment, une frêle silhouette se balance…la jolie Monique, en vacances depuis une semaine chez sa tante Perrine, brave le feu qui tombe du ciel et se promène en compagnie des deux chiens de Tonton Louis, qui les lui a confiés:

— Ça va les balader aussi et au moins avec eux, je peux te laisser aller tranquille. Sûr que personne viendra t’embêter… jolie comme t’es, j’aime mieux les savoir avec toi.

S’il savait, le Tonton, ce que sa jolie nièce a en tête, lui qui n’arrête pas de la lorgner…

                                                                                                  *

Après avoir roulé quelques kilomètres, elle a laissé la 4L à l’ombre d’un tilleul et ouvrant le hayon, libère Zeus et Apollon, les deux bas rouges de l’ oncle Louis qui les a nommés ainsi en référence à la nouvelle série diffusée le dimanche et dont il est absolument fanatique. Les deux chiens s’ébattent, batifolent et  entourent la jolie fille, quémandant son attention et ses caresses.

Excitée par l’idée folle qui lui est venue quand son oncle lui a annoncé qu’il lui confiait ses chiens, elle sent sa petite chatte enflée par un désir inouï et trempe son string de sa cyprine qui ruisselle sur ses cuisses.

A vingt-trois ans, la jolie Monique est une petite baiseuse qui n’a pas froid aux yeux, mais aujourd’hui c’est d’une expérience hors norme dont elle crève d’envie et de telles bouffées d’un désir impatient l’assaillent, qu’elle doit faire effort pour maîtriser son souffle. Cela fait longtemps que l’idée lui trotte dans la tête, mais cette fois, l’occasion est trop belle!

Est-ce que les chiens ont senti son état d’excitation? Toujours est il, que les deux bêtes serrent de près la belle et ne la quittent pas.

A plusieurs reprises déjà, elle s’est arrêtée, le souffle court et soulevant sa courte jupe à fleurs leur a fait flairer son petit con ruisselant, et a aussi caressé chacune d’elles, sa main curieuse pelotant leurs testicules et branlant leur fourreau.

Et si ses caresses n’ont pas eu l’effet qu’elle escomptait, elle a cependant pu se rendre compte que les deux chiens étaient sensibles à son odeur qui les a excités: ils ont commencé à se mettre en érection et cela l’a mise dans un état de fièvre intense.

Elle est sur les terres de son oncle, une propriété de deux cents hectares,  moyenne, selon ses dires, et connaît parfaitement l’endroit pour s’y être souvent promenée au cours des fréquentes vacances qu’elle est  venue passer dans le Loir-et-Cher.

Ses pas la conduisent vers un petit bosquet qu’elle connaît bien pour y avoir joué quand elle était petite et s’y être fait baiser, plus tard, par trois gars, lors d’une après-midi de fête foraine. Une expérience qui l’avait enchantée et qu’elle réitéra par la suite… ailleurs et avec d’autres.

Les deux molosses sur les talons, elle entre dans la fraîcheur bienfaisante du petit bois. Elle emprunte une sente qu’elle ne reconnaît pas: des buissons ont poussé ici et là, et le chemin qu’elle cherche semble avoir disparu…

— [i]Tout a tellement changé… la dernière fois c’était… voyons! Il y a quatre ans…déjà! —[/i]

Mais, pour la jolie perverse, le temps n'est pas à la nostalgie ...elle se retourne, avec un sourire vicieux sur ses futurs amants: 

— Allez, venez mes chéris, venez! Petits salauds, vous allez me baiser, hein…? Vous allez me faire jouir…Oh, j’ai tellement envie…!

La question qui la tracasse est de savoir si les chiens éprouveront pour elle, une attirance naturelle. Elle espère que pour eux, la pulsion sexuelle restera la même, qu’avec une femelle de leur espèce. Elle se rassure, se disant qu’elle trouvera bien un moyen pour parvenir à ses fins.

Gagnée par une excitation qu’elle ne peut maîtriser, elle s’est à nouveau arrêtée et s’appuie contre le tronc d’un arbre, relevant sa jupe elle écarte les jambes, tête rejetée en arrière, dans une jouissance qui monte déjà… Cette fois les deux chiens se bousculant devant elle, montrent un véritable intérêt pour les attraits de la mignonne, léchant ses cuisses et sa culotte. Ce sera peut-être plus facile qu’elle ne le pensait…

Avisant un massif de genêts, Monique se dit qu’elle a trouvé l’endroit idéal.

Contournant le buisson, elle découvre un petit carré de pelouse où elle étend, le cœur battant, la serviette qu’elle a prise dans son sac: c’est là que les chiens vont la baiser! 

Elle s’assied et ôte, dans un geste gracieux, sa petite culotte qu’elle pose dans l’herbe, se met en appui sur ses coudes et écarte ses jambes dans cette posture qui la surexcite… elle n’a pas à attendre: Zeus, immédiatement, fourre son museau entre ses jambes et commence à lécher ses cuisses. Monique gémit le ventre tordu par un  désir fou, alors qu’Apollon s’est mis à lui lécher le visage … elle ouvre sa bouche et l’offre à l’animal qui se met à la fouailler de sa langue, déclenchant chez la chérie, une violente jouissance qui lui fait éjaculer plusieurs jets de cyprine.

Dans une folle impatience, éperdue d’ un désir incoercible, elle se disloque et appelle dans un râle:

— Oh! Venez…!

Elle se retourne, creusant les reins, cambre ses petites fesses et s’offre aux deux bêtes en rut.

C’est Zeus, le dominant, qui s’impose et prend possession de leur tendre proie. Apollon attendra.

Le molosse fait montre d’un empressement attentif, tournant à mouvements prestes autour de la croupe que lui tend la belle en gémissant, la flairant avec de petits geignements plaintifs.

Il se met à la lécher, Monique, gémissant d’impatience écarte alors  largement ses jambes, lui permettant l’accès à sa petite chatte inondée de cyprine que l’animal se met à lécher de sa longue langue.

La surprise fait pousser à la mignonne une brusque exclamation, bientôt suivie par des gémissements de plaisir et de longs bruits de gorge.

Insatiable, l’animal continue pendant de longues minutes, plongeant sa langue agile au plus profond du vagin de la belle, déclenchant en elle un chaos de jouissance ininterrompue.

Ce n’est la première fois qu’elle reçoit un cunnilingus mais les sensations affolantes que l’animal lui fait éprouver la font râler de bonheur. Cambrée sur sa volupté, elle s’écartèle sur le mufle du chien, se tendant sur la bestiale et exquise caresse.

Soudain, le chien, s’arrête, marque un temps et d’un bond, s’affale de tout son poids sur ses reins et la couvre immédiatement. Avec un cri étouffé, Monique vacille sur ses bras. Les antérieures de la bête au niveau de sa taille l’enserrent, elle sent les fortes cuisses velues contre ses fesses, qu’elle lève, offrant sa petite chatte ruisselante, au gros mandrin congestionné.

Éperdue de désir et d’impatience, la belle se tend vers le pénis de l’animal, éructant des mots sans suite, alors que la bête excitée, donne des coups de reins désordonnés, cherchant à la pénétrer. Elle sent le sexe humide et chaud de l’animal battre contre ses cuisses, et ses fesses, les inondant de son sperme clair, mais il ne parvient pas la pénétrer.

Jetant une main en arrière, à tâtons elle parvient à se saisir alors du mandrin de l’animal et écartant ses nymphes turgides, ruisselantes de cyprine, l’abouche à l’entrée de son vagin.

Dès que l’animal le sent, d’un puissant coup de reins, il s’ enfonce dans le fourreau baigné de mouille. La pénétration par l’épieu de chair électrise la mignonne, provoquant en elle, une onde de sensations folles. Elle est tétanisée de jouissance. Croupe cambrée, reins creusés, visage plaqué au sol, bouche grande ouverte, cherchant son souffle, elle ploie sous les assauts de la bête qui pilonne son petit con avec une vigueur incroyable et à un rythme effréné, qui la fait crier…

Elle le maintient en position, criant et grimaçant, agrippant fermement ses pattes postérieures… alors qu’il la martèle avec une force phénoménale, elle sent son membre grossir démesurément, il lui fait mal, son bulbe pénien écartelant la petite chatte à chaque pénétration. Le chien halète, gueule ouverte, mouillant ses épaules de sa bave, et laisse parfois échapper un feulement dans un souffle sourd. Ses coups de boutoir puissants et rapides, le va-et-vient précipité de son gros mandrin visqueux et tiède déchargeant ses jets de sperme dans son fourreau vaginal déclenchent une frénésie lubrique qui explose en orgasmes incontrôlables.

La belle éjacule à longs jets, une invraisemblable quantité de cyprine, hurlant d’un plaisir fou, prête à défaillir.

Brusquement un changement se fait sentir. L’animal s’est immobilisé, et Monique sent sa chatte envahie par une grosseur énorme: le nœud pénien du chien a encore enflé, et enserré par l’entrée du vagin, verrouille à lui sa femelle. L’animal, immobile, comme statufié, dégorge, à lourdes giclées, une invraisemblable quantité de sperme dans son ventre.

Monique croit qu’elle va défaillir sous la violence de l’orgasme qui la secoue…tout en râlant son plaisir, elle éructe des mots incohérents;

— Oh ! Ooouuiii…! Ça… y est ! Oh! Mon  amour…oui! Tu …me… ! Oui… !Oh ! Chéri …Que c’est bon… Je… sens !Ooh ! Oouiii… !!

Jamais elle n’a ressenti une telle jouissance, dans un geste inconscient elle acquiesce, hochant la tête, [i]— Oh! Oui…! Oui…! Encore! [/i]— les yeux fermés, le visage toujours collé au sol, elle jouit, tétanisée de plaisir, sentant aux tréfonds de son ventre les longues saccades de semence brûlante dont la bête l’emplit.

A un orgasme succède un autre, noyée de plaisir et de stupre, la belle s’installe dans une longue jouissance dans laquelle son bestial amant la cloue; les yeux clos, à moité masqués par sa chevelure emmêlée, son beau visage illuminé par un sourire ineffable, elle caresse l’animal avec reconnaissance, lui murmurant des mots d’amour pleins de gratitude. Elle est toujours à quatre pattes, le chien la maintenant verrouillée à lui par son bulbe pénien, et la belle n’en finit pas de jouir, geignant doucement dans une plénitude érotique qu’elle n’ aurait jamais imaginé….Cela dure…longtemps, très longtemps.. Monique flotte dans un nirvana complet qui la comble, en témoigne l’expression de béatitude de son visage.

Au bout d’un long moment, alors que Monique jouit toujours, impatient, le chien commence à s’agiter et à tirer sur son nœud pénien, lui infligeant une douleur qui provoque gémissements et plaintes de la chérie, puis il se met à tirer de plus en plus fort, faisant râler la belle, qui se met à sangloter.

Alors, dans un effort plus appuyé, il tire brutalement sur son nœud, distendant démesurément, l’entrée de son vagin. Elle sanglote de douleur et ne peut retenir un hurlement quand d’un mouvement brusque avec un bruit mouillé de succion, l’animal se libère, écartelant la petite chatte. Se retournant, gémissante, Monique voit alors son bulbe pénien, il est énorme, plus gros que son poing.

Elle reste ainsi, secouée par ses derniers sanglots, tête ballante, épaules creusées, rompue par l’intensité du coït bestial. La bête l’a gratifiée d’une impressionnante quantité de sperme qui englue son petit con froissé, sa rosette et ses fesses, ruisselle le long de ses cuisses et trempe ses mollets, formant flaque sur le sol.

Alors saisie par une impulsion irrépressible, elle met sa main en coupe, la porte à son petit con béant et y recueillant le sperme qui en sourd en lourdes larmes, la porte à sa bouche où elle goûte, avec une dévotion lubrique, les yeux révulsés, l’offrande dont son bestial amant vient de la récompenser .

L’animal après avoir léché son petit con ruisselant de sperme, se met à lui lécher le visage, comme par gratitude.

Elle lui murmure des mots d’amour, des compliments enflammés, le caresse encore, et l’enserrant de ses bras graciles, l’embrasse de nouveau. Gémissante de plaisir et de reconnaissance, elle le laisse, de sa longue langue pénétrer sa bouche, et l’emplir des sensations érotiques folles que provoque le troublant baiser, prolongeant par ce point d’orgue, toute la folie érotique qu’il vient de lui faire vivre.

Tant que Zeus, le dominant s’est affairé autour de sa femelle, Apollon impatient mais respectueux s’est tenu à distance…  dès qu’il sent que le champ est libre, il se rue sur la mignonne, alors qu’elle tente de se redresser, encore secouée par les répliques de ses orgasmes,

Immédiatement, elle a compris qu’il va la saillir, et reprise par un désir bestial qui la fait gémir d’impatience, elle se cambre, s’offrant au mâle qui se jette sur sa proie. L’enserrant entre ses antérieures, l’animal cherche de suite à la pénétrer.

Cette fois, après quelques tentatives désordonnées, le chien  trouve l’entrée de son vagin

Dès qu’il l’a pénètrée, il se met à la marteler de son phallus à un rythme et une puissance telle qu’elle se met à crier, labourée par le vit de la bête qu ‘elle sent enfler, énorme, dans son ventre.

Monique, immédiatement se met à jouir, à sanglots répétés, alors que, l’animal la pilonne cherchant à s’enfoncer plus profondément en elle, tout en continuant à éjaculer son pré-sperme, qui inondant son petit con, trempe ses cuisses, son ventre et ses seins. Le chien martèle sa frêle proie, ses dures cuisses à la fourrure rêche collées aux petites fesses, et darde son mandrin au fond du vagin, écartelant la petite chatte à chaque pénétration de son bulbe pénien alors que de son membre qui a atteint une taille énorme, il fait jouir la belle à la faire hurler.

Le coït bestial, au rythme frénétique et puissant, la jette dans des orgasmes inouïs, elle se tend et se cambre, sur le pénis conquérant, pour qu’il s’enfonce, en elle, encore plus profondément alors qu’elle crie de plaisir .

Son visage exprime la tempête de sensations qui la secoue: ses yeux se révulsent derrière ses paupières closes, alors qu’ un sourire d’ une perversion voluptueuse découvre la nacre de ses dents, elle fronce les sourcils avec une expression de souffrance, exprimant par tous ses traits les manifestations du plaisir brutal qui l’étreint. La belle affolée par la volupté inouïe qu’elle ressent la manifeste sur tous les modes dans ses gémissements, ses râles et ses cris qu’elle retient, bouche fermée pour les atténuer.

L’animal, d’un seul coup s’immobilise et comme figé, se met à éjaculer. 

A longs traits, il déverse sa charge fertile dans l’utérus de sa femelle, anéantie de bonheur dans sa soumission au mâle qui la possède. Monique est submergée par un orgasme continu alors que l’assaut des liquides l’emplit encore. Sa main crispée devant sa bouche, d’où s’échappe un geignement continu, s’agite dans un tremblement convulsif pendant que ses yeux révulsés roulent derrière les paupières crispées.

Cela dure longtemps, très longtemps… la belle continue à jouir. Elle râle encore son incroyable jouissance quand elle sent que l’animal en a terminé. Attachée à son amant par le bulbe pénien qu’enferme son vagin, Monique continue de jouir… elle gémit une sorte de mélopée dolente qu’elle mêle de mots d’amour et de reconnaissance pour son amant qui vient de lui offrir des orgasmes sidérants tels qu’elle n’en avait jamais ressentis.

La mignonne que le chien noue toujours, émerge de la torpeur dans laquelle sa jouissance l’a plongée… tout près d’elle se tient Zeus dont le membre, encore turgescent pend sous son ventre C’est la première fois qu’elle voit le phallus d’un chien et cela l’impressionne. Il lui apparaît énorme et sa forme de massue, s’amincissant à sa base, pour se renfler vers le sommet lui confère une telle impression de puissance… il se termine par un gland aplati, que prolonge un bourgeon de chair. D’un gris rosâtre et nacré, il est parcouru par un dense réseau de veinules rouges et encore secoué de spasmes émet de courtes giclées de post-sperme clair.

Toute à son obscur désir, dès que celui-ci est à sa portée la belle, électrisée, gémissante s’en empare et engloutit le phallus turgide, giclant de pré-sperme qui ruisselant de sa bouche avide, trempe son cou et sa gorge.

La belle, en proie à une transe érotique suce avec avidité le chibre canin tout en le masturbant, avec des mouvements de tête lascifs comme pour se l’approprier davantage. Ses yeux fermés se crispent parfois dans une expression qui dit la violence de la tension qu’elle ressent, son souffle n’est que râles, halètements et bruits de gorge.

Le mandrin du chien a atteint un taille impressionnante, Monique, le visage, le cou, les seins, trempés du sperme qu’il émet en permanence doit distendre ses lèvres pour parvenir à le prendre, cela semble décupler ses ardeurs; frénétique elle monte et monte encore, râlant et feulant sous l’emprise d’un plaisir fou. Peu lui importe maintenant de prendre des précautions…

Elle fait tant et si bien que le chien se mettant à gémir s’immobilise, faisant exploser dans sa bouche une invraisemblable charge de sperme dont elle avale la plus grande partie avec des râles de bonheur, alors que l’excès sourd des commissures de ses lèvres en lourdes rigoles grumeleuses trempant son menton, son cou et ses seins. Quand la longue éjaculation prend fin, les yeux chavirés de bonheur, une expression extatique sur son beau visage, elle ramène les lourdes rigoles de sperme qui le maculent du plat du doigt vers sa bouche pour s’en délecter.

Une fois son invraisemblable éjaculation terminée, Zeus se détourne et s’éloigne.

Alors, Apollon qui noue toujours sa femelle commence, impatient, à s’agiter et à tirer sur son nœud pénien, ce qui provoque gémissements et plaintes de Monique puis il se met à tirer de plus en plus fort, faisant râler la belle, qui commence à sangloter de douleur. Dans un effort plus appuyé, l’animal tire brutalement sur son nœud, distendant démesurément, l’entrée de son vagin. Elle a un cri de douleur et ses yeux s’emplissent de larmes. Apollon alors, comme le font tous les mâles vient lécher la petite chatte endolorie procurant à la chérie un bien-être qui la soulage de la douleur qu’elle vient d’endurer.

Elle reste ainsi, secouée de sanglots, tête ballante, épaules creusées, rompue par l’intensité du coït bestial. La bête l’a gratifiée d’une impressionnante quantité de sperme qui englue son petit con froissé, sa rosette et ses fesses, ruisselle le long de ses cuisses et trempe ses mollets.

Alors que l’animal s’éloigne, Monique, épuisée par les deux saillies, reste affalée, gémissante le visage dans l’herbe.

Elle est là, pantelante, reprenant souffle, exténuée de jouissance.

Enfin, elle se redresse et c’est vers ses deux amants qui viennent de lui donner tant de plaisir qu’elle se tourne, elle les caresse et les embrasse, recevant leur langue à pleine bouche alors qu’elle gémit de volupté sous leurs baisers et leur murmure compliments et mots d’amour emplie d’un bonheur indicible.

Jamais elle n’aurait pu imaginer cela…jamais elle n’a joui avec une telle intensité.

Désormais elle sait qu’elle ne pourra plus jamais regarder un chien comme elle le faisait avant.

Dans la fraîcheur bienfaisante de la vaste cuisine, tous volets clos, Monique retrouve sa tante .

— Ma chérie,  on dirait que cette balade t’a fait un bien fou! Tu es resplendissante…

Tatie Perrine la regarde avec un rire dans les yeux.

— Tu sais quoi? Je jurerais presque que tu viens de faire l’amour!

Monique rougit violemment et tente un: 

— Oh! Tatie…!

Tatie qui continue à la fixer d’un air narquois. Puis, prenant un air faussement sévère et agitant son index sous son nez:

— Mademoiselle ma nièce, vous êtes une vilaine petite coquine!

Et, d’un air de malice:

— Alors dis moi…  ils t’ont bien baisée?

Monique, au comble de la confusion, rougissant encore:

— Mais… de…de qui parles-tu?

— De mes deux chiens, chérie, Apollon et Zeus… 

Monique est affolée, mais tente encore désespérément:

— Mais, Tatie…je te jure…

— Allons petite gourgandine… je t’ai vu les embrasser quand tu les a ramenés au chenil… vous vous êtes sacrément fait plaisir… hein? Et je ne te parle même pas de la serviette que tu as laissée dans la 4L…

Monique le rouge au front, bafouille, alors que des larmes lui montent aux yeux.

Tatie s’approche, la prend dans ses bras et caresse avec douceur son visage angélique.

—Allons, ma petite chérie…ne te mets pas dans ces états… allons…! J’ai seulement voulu te taquiner. Écoute ta Tatie qui t’aime… je suis la mieux  placée pour savoir qu’ils baisent bien et je ne t’en veux même pas de m’avoir « emprunté » mes deux amants sans me l’avoir demandé…

Monique, des larmes dans les yeux regarde sa tante, interloquée.

Alors, Perrine, les yeux pétillants:

— Surtout, pas un mot à Robin Masters …enfin, à Tonton, hein ?

Toutes deux éclatent de rire.

Puis, elles échangent un long regard…

Alors, Perrine, enlaçant sa jolie nièce:

— Maintenant, embrasse-moi, petite salope! Depuis le temps que j’en crève d’envie… 

                                                                                                  ***

Catégories : Red Zone.

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