Le sexe n’a pas de genre.

Seule, la reproduction exige de s’en préoccuper. Et je soupçonne que cela soit, uniquement, par nécessité. Si la loi naturelle avait pu nous baiser autrement, il y a belle lurette que ce serait fait.

Pas de genre…

Les Prêtresses du Culte de Mendès vous le confirmeront!

Il est rapporté que les femmes, prétresse du culte, copulaient avec des boucs tandis que les hommes copulaient avec des chèvres. L’exemple le plus fameux en est le bouc de Mendès supposé être l’incarnation d’une déité de fertilité. Dans le temple de Mendès, de nombreux hommes et femmes étaient engagés dans une adoration bestiale avec des boucs spécialement entraînés dans ce but (Bagley, 1968 ; Bloch, 1933 ; Davis, 1954 ; Love, 1992 ; Masters, 1962 ; Mantegazza, 1932 ; Maybury, 1968 ; Niemoeller, 1946b ; Rosenfeld, 1967). Souvent la semence du bouc qui était hautement convoitée était récoltée par fellation – une manière simple de le collecter sans en perdre (The Wild Animal Revue, 1992).

Si Mère Nature nous a soigneusement gardés différemment sexués, elle s’est montrée plus généreuse (ou retorse) pour d’autres espèces…

Avoir le QI d’une huître… Pas flatteur ! Il n’empêche que ces délicieuses bestioles semblent avoir tout compris. L’huître est, tour à tour, mâle et femelle au cours de sa vie et elle change même plusieurs fois de sexe au cours d’un même été. Ainsi, à la fin de l’hiver et jusqu’en juillet, certaines huîtres adultes rejettent dans l’eau des gamètes mâles au moment où d’autres rejettent des gamètes femelles.

Parmi les mérous, le mérou bossu, aussi appelé mérou de Grace Kelly(!) , est un joli poisson coloré pouvant atteindre 70 cm de long. Cette espèce est hermaphrodite protogyne, c’est-à-dire que l’animal est d’abord femelle à la maturité sexuelle puis, selon son âge ou sa taille, devient mâle et le restera au cours de son existence.

Le jeu de la séduction exige de se jouer à deux.

Sur le vieux lit de la remise.

M’enjoignit de quitter ma chemise

Aux antiques barreaux de fer

Mon Maître barbare, et mon Roi

De son sceptre d’or me cloua

M’emportant dans ce doux enfer

Qui fit de moi un autre Roi

Two wonderful chicks in love.

Pas de genre! C’est clair?

Under the mango tree.

« Under the mango tree », en voilà une chanson, qu’elle est belle… ! 

Estampillée bon goût, depuis sa reprise dans le très prisé « James Bond contre Dr No »( le méchant ne choisit pas son nom! « Yes », c’est réservé), où le très enculé assassin, au service de sa très enculée « majesté », baise une très… superbe sirène tropicale…Ursula (prononcer à l’allemande, c’est plus drôle.). Cette niaiserie, que je classe « Seveso » pour les gens, Bhopal ( 25000 morts…à la louche), pour moi, dans l’échelle du toxique, continue de bercer l’imaginaire du beauf’ de base, depuis des décennies, le confortant dans son racisme de bon aloi.

Car quoi ! Dit la flèche,

La très…superbe sirène tropicale, Ursula.

— Elle est toute mignonne cette chanson, c’est joli, elle te berce… ! Non ?

Oui ! Elle te berce…dans la connerie dans laquelle tu ronchies depuis toujours:

— Mais non… ! Le racisme, ça n’existe pas ! Les choses sont naturelles… ils sont comme ça les indigènes… « Le malgache est gentil… l’arabe, plutôt sournois » mais, les gens d’ici sont, dans l’ensemble, assez sympa…cools. « Comme cette mélodie! »

Chante, l’autre crétin bêlant!.

— Et fainéants, mais fainéants …t’as pas idée !…Et baiseurs!…tu t’imagines même pas… ! Sous le manguier, si parfumé, tu crois qu’ils y viennent qu’une seule fois au clair de lune…? Et pas que la main dans la main, hein, les négros ? « Nine children, all in a row » Tu sais ce que ça veut dire? Non? …Je traduis: neuf gosses en rafale !… Enculés ! Et les allocs, qui c’est qui les paye ! Nahdin mouk !

Marine ! Au secours !!!

Voilà ce que j’écrivais il y a quelque temps, me souvenant d’une de ces « Booms », à laquelle , j’avais été, par hasard et fort heureusement invité, et de ce que j’avais ressenti, alors que je regardais les jolies filles danser:

« Sur les rythmes syncopés des hits des « Them », des « Who » et autres « Zombies », les danseurs, un peu plus d’une centaine, dans un brouillard de fumée de cigarettes déjà à couper au couteau, se déchaînèrent, sur la piste, en Jerks endiablés; je les observais, me faisant la réflexion que cette danse ne seyait qu’au corps féminin: les garçons avaient l’air de pantins désarticulés, vaguement grotesques, alors que les filles, enroulant les saccades de cette gestuelle bizarre, dans une grâce qui n’appartient qu’à elles, les magnifiaient par la douceur des courbes suaves de leur corps, les arabesques de leurs chevelures et de leurs adorables petites robes courtes et légères.

J’ai encore en mémoire, l’image de cette magnifique fille brune, à la robe en corolle, ondulant sur la magie mobile de son corps sublime, le regard tout intérieur, tendue sur l’équation que la grammaire du rythme et de son corps lui imposait . Mouvement à jamais gravé, souvenir remontant, sans même que je l’appelle; il suffit que j’entende, où, seulement, que je pense à cette chanson de Tommy Roe sur laquelle elle dansait.

Je ne dansais, pas. Je ne suis pas danseur.

Sans trop jouer les voyeurs et paraître goujat, je me repaissais et m’émerveillais du spectacle de la grâce de ces émouvantes beautés. Je les voulais toutes. »

https://youtu.be/Hom0fYd5uX4?t=1
Et voilà que je tombe sur cette vidéo des sixties montrant des mignonnes d’alors, dansant sur le tube « Let’s work together » de « Canned heat », et qui illustre parfaitement mes impressions du moment.

Une petite « ressucée  » extraite d’une vidéo vue hier… ça parle!

Certaines personnes sont la preuve que la réincarnation existe : on ne peut pas devenir aussi con en une seule vie.

Je voulais mettre une photo, pour faire joli, mais il y a trop d’exemples.

Voici ce que j’écrivais en décembre dernier, alors que je venais de commencer la rédaction de « Ode à un petit maillot rouge.« 

« Savez vous, trop belles , que vous êtes la perfection des perfections ? Vous l’a t-on dit, une fois ? Avez vous, une fois, réalisé le miracle que vous représentez , ce mot, ne vient pas par hasard : pointe des pointes, du summum de l’évolution du vivant, vous vous permettez l’insolence de nous offrir la grâce de vos courbes, la perfection du galbe de vos hanches, l’émotion du dessin d’une fesse, la délinéation parfaite d’un sein, celle que je viens d’entrevoir sur un écran capturé, piraté au coin d’une errance, quête hasardeuse sur la toile mercantile où j’essaie de traquer votre essence.

Vous m’émerveillez.

J’essaie de garder dans mes mots, une cohérence, dans l’émotion qui m’étreint. Vous devez être, au moins pour certaines, l’incarnation du sublime. »

Et voici ce sur quoi je tombe, hier soir en cherchant des détails sur l’art pariétal.

« Chaque femme possède un corps magnifique, admirable aboutissement d’une évolution de millions d’années. Il regorge d’adaptations stupéfiants et de subtiles améliorations, qui en font l’organisme vivant le plus remarquable de la planète.« 

Desmond Morris.

Une info intéressante.
La Vénus de Willendorf.

Cet artefact vieux de 25000 ans, chef d’œuvre des artistes du paléolithique, un joyau du patrimoine de l’humanité, a été censuré par « Facebook »… J’en pleure de rire!

Ces américains…Aussi prudes que cons!

Michel Onfray parle d’un retour à la barbarie…

Ce mec ne comprend rien à la notion de progrès!

J’ajoute une remarque, en passant, histoire de faire ma langue de pute: c’est, aussi, dans ce pays que se produisent les films les plus « trash » de l’industrie du porno…

Les cheveux.

Simone, il y a un grand mystère

Dans la forêt de tes cheveux.

Tu sens le foin, tu sens la pierre

Où des bêtes se sont posées ;

Tu sens le cuir, tu sens le blé,

Quand il vient d’être vanné ;

Tu sens le bois, tu sens le pain

Qu’on apporte le matin ;

Tu sens les fleurs qui ont poussé

Le long d’un mur abandonné ;

Tu sens la ronce, tu sens le lierre

Qui a été lavé par la pluie ;

Tu sens le jonc et la fougère

Qu’on fauche à la tombée de la nuit ;

Tu sens la ronce, tu sens la mousse,

Tu sens l’herbe mourante et rousse

Qui s’égrène à l’ombre des haies ;

Tu sens l’ortie et le genêt,

Tu sens le trèfle, tu sens le lait ;

Tu sens le fenouil et l’anis ;

Tu sens les noix, tu sens les fruits

Qui sont bien mûrs et que l’on cueille ;

Tu sens le saule et le tilleul

Quand ils ont des fleurs plein les feuilles ;

Tu sens le miel, tu sens la vie

Qui se promène dans les prairies ;

Tu sens la terre et la rivière ; Tu sens l’amour, tu sens le feu.

Simone, il y a un grand mystère

Dans la forêt de tes cheveux.

Rémy de Gourmont.

Je voulais t’avoir à moi, Très Belle…tu vois?… Tu me faisais tant fait rêver…! On a failli…hein? A pas grand’ chose…tu vois? Dommage! Louper le coche, c’est ça qui est moche!Tu vois…?

Et maintenant, je ne sais même plus où tu es…Tu vois?… Petite conne!

Ça c’est pour l’image.

Le son, c’est en-dessous, tu vois…?

Some kind of magic

Magali! Magali! Qu’est ce qui t’as pris de t’en aller…

Gradisca for ever.

Tant de beauté!

Oh! Woman…Woman…!

For the other half of the sky

Woman
I can hardly express
My mixed emotions at my thoughtlessness
After all, I’m forever in your debtAnd woman
I will try to express
My inner feelings and thankfulness
For showing me the meaning of success

Look at that cute kinky redhead babe! She’s a real one...She drives me crazy!

All that cum on my face he shot…!

It makes me fun and horny!…

I can feel it all tracking downn on my chest!…And all down my stomach…!

I feel so leaky … aha…!

Ooh! I can feel it!

« Walking the dog… Just walking the dog...

No, no…Not just walking...

Probablement le premier film de fisting de l’histoire du porno

Le monsieur en djellaba et tarbouche, ( implicite cinématographique: c’est pas chez nous qu’ on ferait ça!) rase la chérie, au sourire gêné mais consentant, alors qu’elle se caresse les seins et se trémousse à gestes lascifs, puis, prévenant, il la talque, avant d’ enfoncer sa main dans son petit con, ainsi préparé, non sans avoir pris la précaution de garder son bracelet-montre.

Mouvements désordonnés de la femme, marquant la souffrance, sa main , à droite qui se crispe sur le coussin dans un geste de tension, douleur et plaisir mêlés….

Special thanks to: Koideneuf.

Les incultes branchés s’expriment

Cueilli au détour d’une page, un coin d’oreille sur une radio, une pancarte, petit florilège, non exhaustif, de bêtise quotidienne.

  • Le tri sélectif.
  • Une mise en service prévisionnelle. Tram Bordeaux
  • Un jour prévisionnel de livraison.
  • Un assortiment chocolatier. (Cémoi, Noël 2021)
  • Le vivre ensemble.
  • Une salle festive.
  • Nous sommes impactés par les grèves.
  • Il a candidaté pour ce poste.
  • Un créateur de solutions de stationnement. Le mec construit des garages.
  • Pub: «Le plus important, c’est ce qu’on partage ensemble…»
  • Devenir parraineur (Parrainer qqu’un).
  • Journaliste F- Inter:« Les États Unis ont claqué la porte de l’accord de 2015.»
  • Importante promotion sur les pommes gustatives. (Intermarché)
  • Je reviens à ma première question initiale. (Léa Salamé)
  • Investiguer.
  • 200 000 euros, un devis jugé trop excessif par le procureur. (journaliste BFMTV)
  • Un féminicide.
  • Nous avons bien réceptionné vos documents (courrier de banque CNEP)
  • Il y a une forme d’ habituation qui met les français en danger.
  • Tous les rendez-vous ont été agendés.
  • Nos masques sont logotés comme il se doit.
  • Une cheffe cuisinière.
  • Une auteure …ou une autrice.
  • Les seniors se digitalisent. (Ça ne m’étonne pas d’eux… vieux salingues!)
  • la larve, une fois éclose, s’extirpe de sa couveuse(une fourmi) en lui décapitant la tête ! Le blog s’intitule «De l’ignorance générale» (sic)!
  • Pourquoi ne pas vous être positionné sur une offre similaire ?
  • La bravitude…bien sûr! Mais là, je pense qu’il s’agit de connerie/tricherie en barre, comme ces « politiques » savent si bien le faire… Ça pue le con…seiller en communication.
  • Qu’est ce qui me motive quand je magasine un thème?
  • Déclaration nutritionnelle ( composition d’un aliment)

,

Le Cantique des Cantiques .

Cantique IV

4.3 Tes lèvres sont comme un fil cramoisi, Et ta bouche est charmante; Ta joue est comme une moitié de grenade, Derrière ton voile.

4.4 Ton cou est comme la tour de David, Bâtie pour être un arsenal; Mille boucliers y sont suspendus, Tous les boucliers des héros

4.6 Avant que le jour se rafraîchisse, Et que les ombres fuient, J’irai à la montagne de la myrrhe Et à la colline de l’encens.

. 4.5 Tes deux seins sont comme deux faons, Comme les jumeaux d’une gazelle, Qui paissent au milieu des lis.

4.7 Tu es toute belle, mon amie, Et il n’y a point en toi de défaut.

4.8 Viens avec moi du Liban, ma fiancée, Viens avec moi du Liban! Regarde du sommet de l’Amana, Du sommet du Senir et de l’Hermon, Des tanières des lions, Des montagnes des léopards.

4.9 Tu me ravis le coeur, ma soeur, ma fiancée, Tu me ravis le coeur par l’un de tes regards, Par l’un des colliers de ton cou.

4.10 Que de charmes dans ton amour, ma soeur, ma fiancée! Comme ton amour vaut mieux que le vin, Et combien tes parfums sont plus suaves que tous les aromates!

4.11 Tes lèvres distillent le miel, ma fiancée; Il y a sous ta langue du miel et du lait, Et l’odeur de tes vêtements est comme l’odeur du Liban.

4.12 Tu es un jardin fermé, ma soeur, ma fiancée, Une source fermée, une fontaine scellée.

Il y a bien longtemps que l’on s’intéresse à vous, Très Belles! Et que l’on vous célèbre… Et pas seulement les raconteurs d’histoires de cul.

A propos d’histoire de cul, je suis tombé tout à l’heure sur le carnet de chasse d’un type qui s’était spécialisé dans l’enculage, et uniquement l’enculage des prostituées( peut -être pas que, d’ailleurs) qu’ils recherchait: le carnet s’intitule, avec originalité, « Les enculées. » et l’enculeur n’est autre que Pierre Loüys, le célèbre poète. ( J’ai appris qu’il était l’auteur du roman « La femme et le pantin » dont on a tiré le célèbre film(j. Duvivier), ainsi que « Cet obscur objet du désir  » (L.Bunuel). Il est aussi le créateur du personnage de la poètesse antique Bilitis dont on a tiré tant d’oeuvres…J’ai voulu faire figurer un extrait de ce carnet dans mon Journal.

Pauvre petite SusanCertains chagrins vous laissent inconsolables.

J’aime intensément la pluie, son friselis, murmure, murmure, plus beau que murmures , caresse, appelée des feuilles, mots intimes qu’elle chuchote et gronde à la terre. Elle est femme, la terre est femme. Elles viennent, s’approchent , se touchent, se pénètrent, se mêlent et se fécondent. Amours femelles qui nient le genre. La pluie…la pluie…la pluie …

« Pitter, patter… » , disent, émus, les anglais, copiant, avec cette singularité qu’ils ont à si curieusement restituer les sons , la familiarité du bruit qu’elle fait à leurs oreilles sourdes… Elle parvient, quand même, même eux, à les rendre poètes…La pluie… La pluie…la pluie…la pluie…

En fouillant dans mon ordi, vieux dossiers, trucs, Bric à Brac…(Tiens!) , je tombe sur cette merveille.

La belle Stella Stevens.

Arrêtez d’être belles comme ça…tout le temps…On crève!

L’adorable Wanda, alias Lio, jolie coquine âgée de seize ans, à l’époque où elle enregistre le titre qui va lancer sa carrière, le show-biz ne faisant pas de chichis avec des histoires d’âge ( tout fait ventre, pourvu que ça rentre…dans le tiroir caisse.) la mignonne et sulfureuse (pour l’époque…) ado, va nous proposer un titre dont la métaphore érotique, qui en choquera bon nombre, semble aujourd’hui, bien anodine en comparaison de ce que l’on peut entendre sur les ondes à longueur de journée.

« Ça fait…vieux con… » me susurre une petite voix dans le coin , au fond, à droite…

T’as raison…! Tiens! Regarde plutôt ça …et écoute.

Cest mignon, non? Tiens, je te mets les paroles du premier couplet… elle chante tellement bien qu’on ne comprend pas tout… ce serait dommage.

Je laisse les fautes d’orthographe…Style!

Soulèves-moi les jambes comme un antillais
Si t’as les critères boy, oui fais mois crier
Avec ta langue astique ma pussy mouillée
Si tu veux m’la mettre oui donnes moi un billet
Même si y’a du monde dans la pièce tu verras ma chatte comme un piège
Sur OnlyFans elle mets sa chatte aux enchères
Je suce des queues ça ne date pas d’hier
Han

Ma pussy beaucoup trop savage yeah

Cette…artiste (dans le genre, c’en est une!) s’appelle Liza Monet. Tu retiens, ok?

Prêtresse et centre du rituel…Elle!

Extrait du très sérieux « Journal des femmes », magazine en ligne dépendant du très conservateur »Figaro ».

No comment…! chantait l’ami Serge.

Masturbation anale : peut-on parler d’auto-sodomie ?

Avec un doigt et sans partenaire, la stimulation anale a toute sa place durant la masturbation. Pour certaines femmes, elle est même incontournable. Nos conseils pour pratiquer la sodomie… en solo !

La masturbation, c’est « l’excitation manuelle de ses propres organes génitaux », selon le Larousse. Une définition qui nous va bien mais tout de même, objectons : l’excitation n’est pas toujours manuelle et les organes génitaux ne comprennent pas la zone anale. Parfois, on utilise un sextoy direction l’anus (et on prend du plaisir). Une introduction légèrement triviale (dans tous les sens du terme) pour rappeler que l’auto-érotisme n’a pour seules limites que celles que l’on s’impose. En la matière, c’est chacun son truc. Certaines personnes découvrent le plaisir anal avant même de pratiquer la sodomie avec un partenaire. Un moyen comme un autre de découvrir son corps ou d’assouvir sa curiosité. Pour d’autres, c’est plutôt le plaisir d’une pratique déjà connue qui est convoqué pendant la masturbation. L’avantage ? On maîtrise ses gestes, on choisit son rythme, on se fait du bien. Avec un plug, un doigt ou autre (mais pas n’importe quoi), tout est possible. On en parle.

S’il est tentant de parler d’auto-sodomie quand on évoque la stimulation anale durant la masturbation, gare aux faux amis : même si le terme d’auto-sodomie fait sens, il est fréquemment usité dans le porno (et en anglais, soit le self fucking) et on y voit (véridique) des hommes qui insèrent leur pénis dans leur anus. Attention donc, âmes sensibles s’abstenir. Cette pratique dans la même veine que l’auto-fellation fait également couler beaucoup d’encre digitale dans les forums, puisque certains hommes recherchent des conseils pour parvenir à effectuer cette torsion pénienne. Ainsi, stimuler soi-même son anus lors de masturbation nous mènera davantage à parler de masturbation anale ou d’auto-stimulation anale.

La vidéo ne figure pas dans l’article( Allons! Coquins… mais pas trop!) Il s’agit d’un ajout de votre serviteur… cette gourgandine a si si joli petit derrière que je ne pouvais que vous en faire profiter.

Éviter les légumes et penser au lubrifiant

La masturbation anale peut être réalisée avec un doigt (ou plusieurs), ou bien avec un plug anal, un jouet spécialement conçu pour stimuler l’anus. Si les plugs anaux existent et sont à privilégier par rapport à une carotte ou une allumette (chacun son niveau), c’est parce qu’ils disposent d’un « coude », c’est-à-dire qu’ils forment un angle, et cet angle est précieux. Il faut savoir que le muscle du sphincter anal travaille à l’absorption : ce qui rentre dans l’anus peut potentiellement être « aspiré » (c’est d’ailleurs pour cette raison que l’on parvient à se retenir quand on a envie d’aller aux toilettes). Donc il est préférable d’éviter les petits objets ou les objets cylindriques, et en cas de doute, on commence par un doigt, car promis, votre corps ne finira pas dans votre anus.

A côté de ça, on mise sur le lubrifiant, puisque l’anus, contrairement au vagin, ne lubrifie pas naturellement. Le lubrifiant offre donc un maximum de confort.

Un plaisir entier, un orgasme plus fou ?

Les deux tendres amies, figurent déjà, dans un article du « Journal », mais je ne m’en lasse pas, aussi ai-je voulu, à nouveau, les mettre à l’honneur, dans cette page.

(Musique; Iovàn.)

Mon commentaire sur l’article « La masturbation anale » du très lu « Journal des femmes » fut « No comment. » Je ne dis rien, mais n’en pense pas moins…

Là, je vais quand même me permettre.

En feuilletant virtuellement les riches pages de ce magazine féminin( ça me rappelle quelque chose et quelqu’un : Jacqueline Caurat…) je suis tombé sur certaines, qui m’ont fait me demander si cet « excellent » canard, ne serait pas entrain de faire concurrence aux blogueurs dans mon genre. Témoin, la page que je livre à vos jugements sagaces:

(Cliquez sur le titre si vous voulez lire l’article)

Pas mal, pour un journal « sérieux »… Très parlant en tout cas, pour ce qui est de l’évolution du profil de la ménagère de moins de 50ans.

Je passerai sur les questions con qui fourmillent dans ce genre de publication: Comment savoir (!) si l’on a eu un orgasme? Comment prendre son pied dans un lit? Où faire l’amour en été? Comment prendre son pied avec un inconnu? Et j’en passe….

Ce ramassis de conneries est d’une hypocrisie consternante !

Suffisamment salace, pour faire mouiller la bourgeoise qui s’ennuie dans son ghetto doré ( Auteuil, Neuilly ,Passy… c’est pas du gâteau!), mais on se doigts de rester ( presque) corrects tout de même…Même combat que ci-dessous…

Elle est là, l’indécence, la vraie…La quintessence de vulgarité. Qu’importe, pourvu que le « cash »tombe!…On n’est pas loin du porno, qui, au moins, joue franc-jeu.

De la vulgarité à la cucucherie totale, il n’y a qu’un pas… Franchissons le avec Bjork et son fameux titre, « Like someone in love », qui en a fait se pâmer plus d’un et d’une… N’est ce pas Mme Pascale Clarke?… Ce « tube » est, pour moi, un concentré de niaiserie et de sentimentalisme bêtifiant.

Des larmes de harpe dégoulinant de chaque mesure… feulements et miaulements, faussement retenus, une vraie émotion totalement feinte… Quelque chose d’une Mary Poppins un lendemain de cuite…

Toujours à critiquer, ce mec là… Il aime rien!

Il tombait, sur le trottoir, devant ce « club libertin », image hypocrite pour désigner la boîte à partouze, au tiroir caisse garni, une pluie moite, dont il émanait un je ne sais quoi, de torve. Je m’enfuis.

« L’orache!! »… Bonsoir, Piarré…!

Dans la volonté, fort louable, de s’inscrire dans une certaine idée de la parité hommes/femmes, et souhaitant par ce biais , vous rendre hommage, Très Belles, un de mes fidèles lecteurs m’envoie cette photo, que je m’empresse, de vous dédier…

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Tom Poulton était un illustrateur médical et de magazines britannique qui a fourni des illustrations pour une gamme de publications dont le British Journal of Surgery et The Radio Times.

Date/Lieu de naissance : 3 février 1897, Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’IrlandeDate de décès : 1 avril 1963, Royaume-Uni

A la disparition du très sérieux et respecté gentleman, on découvrit son jardin secret: des centaines de dessins érotiques qui lui ont apportés la notoriété.

Marie-Pierre Pruvot, dite Bambi…

Il était une fois…

Je suis né(e) Jean-Pierre Pruvot le 11 novembre 1935 dans le village d’Isser, département de Grande Kabylie, en Algérie. Mon enfance, bien que globalement heureuse, est en partie gâchée, du plus loin qu’il me souvienne, par l’opposition entre, d’une part, ma volonté d’être une fille, et même la certitude que je le suis et le resterai, et d’autre part, les regards, les paroles de mon entourage, tous les obstacles de la réalité qu’on oppose à ma vérité intérieure. Au fur et à mesure que le temps passe, je sens peser une condamnation extérieure qui m’oblige à une constante contention (voix, coiffure, vêtements, gestes, démarche…) pour éviter le scandale, surtout après la mort de mon père, qui me fragilise (j’ai alors 14 ans).

Une enfance, une attente…

Pendant tout le temps passé au collège, à Ménerville (en arabe : Thénia) je passe ma vie à lire dans ma chambre (je réussis donc très bien à l’école) et à attendre un miracle qui fera de moi la femme que je suis. Après la classe de 3ème, je vais au grand lycée de garçons d’Alger. Je souffre alors du dérisoire de ma situation. Je ne peux plus étudier. Avant d’abandonner (j’ai 16 ans 1/2) je découvre au casino tout proche une tournée du Carrousel, avec Coccinelle, qui en est à ses débuts. Mon sort est fixé.

Mon émancipation, le cabaret…

Je débute chez Madame Arthur à 18 ans (âge légal). La police est alors tatillonne, interdit le port du vêtement féminin. Il faut lutter, tenir tête, ne pas lâcher. En septembre 1954, je rentre au Carrousel. Je travaille et j’habite avec mon amie Coccinelle qui fait tout pour m’aider. L’année suivante, Coccinelle part en tournée, je suis vedette au Carrousel. Un an plus tard, c’est moi qui pars en tournée.

Se réaliser…

La belle Coccinelle.

Coccinelle a découvert les oestrogènes, elle découvre à Casablanca le docteur Burou. Elle se fait aussitôt opérer, alors que j’attends deux ans avant d’en faire autant. Cela brouille mes amours avec mon ami. Le Carrousel change d’adresse et devient contigu à Elle et Lui, club « féminin » où je fais la connaissance d’une « garçonne », Ute, qui prend le nom d’Eric et devient mon inoubliable partenaire. Nous présentons ensemble des numéros saphiques tant chez Elle et Lui qu’au Carrousel et dans les tournées.

La Guerre d’Algérie…

Lorsque Coccinelle se marie, je n’ai pas encore obtenu mon état civil féminin. La guerre d’Algérie, suivie de la sécession, me plonge dans l’embarras. J’attends qu’on rapatrie mon état civil. En désespoir de cause, je me rends à Alger où les autorités Algériennes m’accordent aussitôt le changement : Jean-Pierre devient Marie-Pierre, née de sexe féminin. Ce jugement s’applique en France automatiquement, sans procédure d’exequatur.

Une nouvelle vie à l’Éducation Nationale…

Tout en travaillant au Carrousel, je me remets aux études. Je passe mon bac à 33 ans. Je rentre à la Sorbonne. Licence 1972. Maîtrise 1973. Capes 1974. C’est cette même année que je suis nommée professeur de lettres à Cherbourg. C’est pour moi un grand succès, mais ma séparation d’avec le Carrousel me fait beaucoup souffrir. Je rentre après deux ans en région parisienne dans un collège de réputation très moyenne, « Pablo Picasso » à Garges-lès-Gonesse. Je m’y attache et j’y reste 25 ans. On me décore des Palmes Académiques. Jamais mon
passé de « travesti » n’a transpiré tout au long de ma carrière à l’Education Nationale.

Épilogue…

J’avoue, en faisant le bilan, avoir l’impression de ne pas avoir accompli tout ce que je pouvais faire dans ma vie : je me suis tenue à l’écart de la grande querelle de la guerre d’Algérie. C’est que la complexité de mes difficultés m’accaparait entièrement. En ce qui concerne les grandes orientations de ma vie personnelle, j’ai la certitude d’avoir pris les bonnes décisions au bon moment.

Au détour d’un feuilletage virtuel de magazines en ligne, je tombe sur cet article… Il ne s’agit pas d’un magazine gay, je le précise

Avez-vous entendu parler du cruising ? Le cruising est un type de relation sexuelle avec des inconnus qui se pratique dans des lieux publics. Bien que ce type de relation sexuelle peut sembler très nouvelle, cette pratique est née avec la révolution sexuelle des années soixante-dix et maintenant, grâce au développement d’internet, cette pratique s’est étendue aux hétérosexuels et a pris un nouveau nom : le dogging.

Sorti en 1980, ce film de Friedkin, mettant en vedette Al Pacino, dans ce rôle maudit de flic tombant dans la mécanique d’une déchéance que lui-même ne comprend pas m’a toujours fait froid dans le dos.

Qu’est-ce que le cruising?

Vous avez certainement entendu plus d’une fois parler du cruising mais saviez-vous en quoi consiste exactement cette pratique ? Le cruising est une relation sexuelle entre personnes qui ne se connaissent pas du tout. Ces personnes se rencontrent dans un lieu public ou dans un endroit très sombre pour connaitre une expérience sexuelle érotique unique. Ce type de relation sexuelle a d’abord été pratiqué par des homosexuels, mais c’est aujourd’hui une pratique qui fait ses adeptes chez certains hétérosexuels que l’on connait dorénavant sous le nom de dogging.

Bien que ce terme semble désormais relativement nouveau, cette pratique remonte aux années 70. Pendant ces années, une grande révolution sexuelle a eu lieu dans la plupart des pays du monde. À cette occasion, ces relations sexuelles sporadiques et occasionnelles avec des personnes inconnues ne reposant que sur l’attirance sexuelle se sont développée.

Comment pratiquer le cruising?

Maintenant que vous savez ce qu’est le cruising, nous allons vous donner des conseils sur la façon de pratiquer le cruising pour expérimenter de nouvelles formes de plaisir. Ce type de relation sexuelle se déroulait auparavant dans certaines zones ou dans des parcs en ville. C’est dans ce type de lieu que certains hommes se rendent pour trouver d’autres personnes partageant leur passion. Les parcs, les parkings, les toilettes publiques, etc., étaient les endroits où se pratiquent le plus plus fréquemment le cruising.

Toutefois, étant donné la révolution technologique que nous vivons aujourd’hui avec Internet, il est actuellement beaucoup plus facile de pratiquer le cruising car il existe de nombreux sites Web, d’applications ou de communautés conçues pour partager cette passion. Vous pouvez donc pratiquer le cruising (sexe entre homosexuels) et le dogging (pour les hétérosexuels) dans de nombreux lieux de rencontre conçus pour organiser des orgies, plans à trois ou tout autre type de rencontre érotique.

Cependant, les grandes villes restent les endroits favoris pour ce type de rencontre et donc, il est possible qu’une nuit, en marchant à côté d’un parc, vous aperceviez un homme ou un couple en pleine affaire. Dans tous les cas, il y a sûrement un lieu où se pratique le dogging près de chez vous. Pour connaître quels sont ces endroits, vous pouvez contacter des forums ou des tchats spécialisés pour que vous puissiez commencer à vous lancer dans cette pratique sexuelle.

Le cruising encourage également le voyeurisme : il est possible qu’en plus des deux personnes ayant des relations sexuelles, deux ou trois personnes assistent aux ébats et viennent même s’y joindre si l’envie leur en prend. Il est possible alors de vivre une expérience unique.

Les risques du cruising:

Cependant, bien que le cruising soit amusant, excitant et très érotique, vous devez vous montrer très prudents lors des rapports sexuels car vous allez partager ce moment avec des personnes inconnues. À cela, il faut aussi ajouter les risques liés aux rapports sexuels réalisés dans les lieux publics dont l’hygiène laisse à désirer : il est donc important d’être très prudent et de vous tenir au courant des risques auxquels vous vous exposez.

L’anonymat

Pour éviter de vous faire peur ou tout autre type d’incident, nous vous recommandons de rester anonyme à tout moment. Cette passion si particulière n’a pas à être connue de certaines personnes, par conséquent, utilisez un pseudonyme, inventez-vous une personnalité et vous éviterez ainsi que les gens savent qui vous êtes.

Ne portez aucun objet de valeur

Il ne faut pas oublier que, au fond, vous voyez un personne inconnue dans un endroit isolé et presque toujours dans l’obscurité, par conséquent, faites attention à ne pas vous faire voler ou d’avoir peur en ne prenant aucun objet de valeur sur vous.

Utilisez des préservatifs.

Toujours ! Vous ne savez pas à qui vous avez affaire et compte tenu de la situation dans laquelle vous vous trouvez, cette personne est tout à fait susceptible d’être sexuellement actif avec d’autres personnes : ne jouez pas avec le feu ! Rappelez-vous que le préservatif est, jusqu’à présent, la seule méthode efficace pour prévenir des MST. Sortez couverts

Une certaine façon de s’envoyer en l’air!

Rolla, ou le suicide pour une courtisane.

Henri Gervex,

En 1878, le peintre Henri Gervex, ancien médailliste du Salon, voit son œuvre Rolla brutalement retirée de l’exposition par l’administration des Beaux-Arts un mois avant la manifestation. Henri Gervex est pourtant un peintre qui jouit d’une certaine renommée et normalement dispensé de subir le verdict du jury.

Il s’est inspiré, pour peindre sa toile, d’un poème composé par Alfred de Musset en 1833 : celui de l’histoire tragique d’un jeune bourgeois, Jacques Rolla, épris de Marion, une prostituée issue de la misère. L’homme, ruiné, pense en finir et contemple la femme avec laquelle il vient de passer la nuit :

Rolla considérait d’un œil mélancolique
La belle Marion dormant dans son grand lit ;
Je ne sais quoi d’horrible et presque diabolique
Le faisait jusqu’aux os frissonner malgré lui.
Marion coûtait cher. – Pour lui payer sa nuit
Il avait dépensé sa dernière pistole.

A rose from Ireland.

*

Yon two crows

 Vieux bureaucrate, mon camarade ici présent, nul jamais ne t’a fait évader et tu n’en es point responsable. Tu as construit ta paix à force d’aveugler de ciment, comme le font les termites, toutes les échappées vers la lumière. Tu t’es roulé en boule dans ta sécurité bourgeoise, tes routines, les rites étouffants de ta vie provinciale, tu as élevé cet humble rempart contre les vents et les marées et les étoiles. Tu ne veux point t’inquiéter des grands problèmes, tu as eu bien assez de mal à oublier ta condition d’homme. Tu n’es point l’habitant d’une planète errante, tu ne te poses point de questions sans réponse : tu es un petit bourgeois de Toulouse. Nul ne t’a saisi par les épaules quand il était temps encore. Maintenant, la glaise dont tu es formé a séché, et s’est durcie, et nul en toi ne saurait désormais réveiller le musicien endormi ou le poète, ou l’astronome qui peut-être t’habitait d’abord. »

Antoine de Saint Exupéry.


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