





16/03
Fin de l’écriture du chapitre très spécial de la série « Pauline ».
Je ne sais pas si je pourrai le publier ici , n’étant bien pas sûr des standards qui président à la politique « morale » ( le mot me fait bien rire…) du site et de celle ce l’hébergeur de celui-ci.
Nous verrons bien…
La nouvelle « Sur le vieux lit » ( j’ai écrit un haïku à partir du titre qui figure dans la catégorie « Odds and ends ».) a été acceptée sur HDS et sera publiée samedi , qui sera, mais pour d’autres raisons, une magnifique journée.


Mercredi 17/03, 12h 59. Ça y est! Je suis amoureux.
Derrière la beauté indéniable, excellemment mise en scène… quelque chose de sauvage, au fond du regard qui t’étreint de douceur.

The empty handed painter from your streets
Is drawing crazy patterns on your sheets
Ça, c’est du Dylan que j’aime bien.




Les plus jolies petites fesses de dragon que j’aie jamais vues…
Thank you Mother Dragon. (Alias Léa Montravers)
Here’s to you, Léa

Chute des reins, chute du rêve enfantin d’être sage,
Fesses, trône adoré de l’impudeur,
Fesses, dont la blancheur divinise encor la rondeur,
Triomphe de la chair mieux que celui par le visage
Paul Verlaine.

Voici quelques unes des toiles que j’ai peintes sur ce sujet qui m’inspire, et qui, tendrement, depuis toujours, me torture ( juste un coup d’œil plus haut, prego….).
J’essaierai de commencer du plus loin qu’il me souvienne (fait chier, la chronologie!)… ma! (Expression Milanaise (avec Majuscule, svp . Pas très longue, mais expressive… c’est comme le Parmesan,( majuscule aussi!) , t’adhères ou t’adhères pas …) pour signifier que ça fait chier… mais qu’on n’y peut rien!). J’aime les tiroirs, ils sont souvent plein de choses… Qu’est ce que je disais, déjà…?
Je dis ce que veux, quand je veux, où je veux … je ne suis pas un numéro, je suis un homme libre … libre … libre… ( Quizz : Who is it? You don’t know…? You don’t…? Vous repartez chez vous…Vous ne gagnez pas le pactole…Vous êtes un minable…! Vous restez pauvre… Vous avez le droit d’avoir honte! Souriez! Souriez!…Là!…..Voilà…! Merci! On dit merci! Merci, qui? Merci, la petite lucarne, merci Nagui Lux ; et tout le système qui va bien, par derrière, qui te tient par les couilles, pour te faire cracher au bassinet… Oui! C’est ça… Va pleurer, retourne sur Facebook, raconter ta petite mésaventure. Vous ne passez pas par la case départ, vous ne touchez pas 20 000 francs! Musique générique…)
Petite digression…gression, qui ne mange pas de pain et qui fait du bien…!
D’abord, il y eut Elle:

Sur un livre traitant de l’art de la photographie…qui devait faire de moi l’égal de Robert Doisneau(!). Je tombai en arrêt, devant ce nu splendide de Weston ( Non, pas les chaussures!) que je traquai et finis par débusquer elle accepta alors de se coucher sur le vélin
Puis, il y eut Elle:

Gorgeous, isn’t she?
Puis, il y en eut d’autres, mais, si vous le voulez bien, je vous en parlerai demain…
— Adesso , comincio a sentire la fatica…!(« Les Bronzés », Chap IX , verset 38)… Ci veddiamo domani, OK?

Domani 19/03. Ciao a tutti!
Il y eut Elle.
Je ne me souviens plus très bien de l’année. 1987, peut-être…dans ces eaux-là, Émile. C’est une grande toile , un 40F (100×81). Blanc de zinc et couteau. La toile pèse un âne mort…( Le blanc de zinc) ! Je l’aime beaucoup.

Elle aussi, je l’aime…

Et Elle

Et plein d’autres que j’aimais… et que j’ai vendues , salaud que je suis! Ma,… C’est la vie!
Là où j’ai été particulièrement négligent ( Je choisis ce terme pour ne pas me vexer, car je suis très susceptible… autrement, j’en aurais utilisé un, plus concis…ma, si! ) : je ne les ai pas photographiées. Et ça, je le regrette vraiment.
20/03
Journée magnifique: Anniversaire de ma très belle Cilou. Équinoxe de printemps. Ciel de cérulée, lavé de propre. Splendide! Comme disait Barns.
J’ai décidé de mettre en ligne, le sixième et avant dernier épisode de « Looking for Manara » par épisodes, genre « fuck-t’on », ( Trad: feuilleton. NDLR), comme disaient mes copains.
J’expliquerai plus tard, OK? … Comminc’ encora a sentire la fatica… Buona notte!

Dimanche 21/03
Repos de banquettes…
J’ai décidé de poster chaque semaine régulièrement, le mardi et le jeudi, un bout de récit…Je ne pense pas que cela puisse influer tant que ça sur la lisibilité du blog…Il paraît que c’est important.
J’essaie de voir comment arriver à améliorer ça, mais toutes leurs histoire de SEO et de tags, de lisibilité, et tout le St Frusquin, me hérisse …Et je n’arrive pas à grand-chose.

Lundi 22/03
Journée radieuse, petite bise du nord, ciel d’un bleu intense. Ça c’est pour le dehors…
Dans ma tête, tout est gris, moche et sale… Pas la pêche…! Je n’ai pas touché au blog, malgré mes bonnes résolutions. 3 visites aujourd’hui… décourageant.
Découverte d’un texte magnifique, sur un site à la con: « The great pretender » d’une Jeanne Libon qui vit maintenant aux States. Une spontanéité dans l’écriture, simple et toujours sentie, une sincérité qui m’a ému. Un vrai talent! Chapeau l’artiste!… qui ne sait peut-être, même pas qu’elle en est une… artiste! Et qui m’a fait vibrer, autrement bien, que certaines conasses qui se prétendent écrivaine …quand ce n’est pas autrice!
Depuis que je l’ai lue, j’ai une envie de « Boulets sauce Lapin » ( les liégeois comprendront! (sic)) qui ne me quitte pas…Salope!

Mardi 23/03

C’est vrai, cet érotisme sucré, rose bonbon, est un peu « too much » comme on dit maintenant, il n’empêche que de cette photo émane un charme sensuel, raffiné, un peu maniéré, d’accord aussi, cependant on ressent une impression, de grande fragilité, la grâce de la pose (les mains relâchées en même temps que légèrement crispées) le mignon ombilic, voisinant avec le saillant de l’iliaque, Éros et Thanatos , le regard, qui questionne, presque inquiet… Les seins cachés par les vaporeux falbalas, évoquant d’autres douces fragilités: aucun signe de maternité; et la diagonale qui organise le regard de haut en bas: regard, bouche, nombril ainsi que les axes clairs des cuisses entrouvertes, te dirigeant sur le point de convergence: son sexe ) Tout cela ne dit qu’une chose: Je suis le mystère que tu traques, questionnes, implores depuis toujours. Je suis là, devant toi, tu es là, tu me regardes, et c’est moi qui te tiens!

21 heures… pensées du soir…Cafard!
Les choses dans la vie, ça se déroule, un peu comme dans la chanson que chantait la très belle Bobbie Gentry en 1961 « Ode to Billie Joe »… Il n’y a que pour Billie Joe, que ce qui s’est passé à Choctaw Ridge est grave… Ce drame c’est le sien.
Pour les autres, tout juste une nouvelle à annoncer comme une banalité, peut-être à déplorer, au passage, entre deux remarques d’ordre ménager, ou à commenter avec verticalité: « Billie Joe never had a lick of sense », oraison funèbre, vite fait, bien fait… « Passe moi les biscuits, s’il te plaît ! »…

Le temps s’écoule avec son lot de petites misères et de drames ordinaires… oublié Billie Joe.
Et la culpabilité , que tu avais réussi à jeter au fond du trou pour échapper au scandale et à l’opprobre, revient, lancinante, qui te fera passer ton temps à jeter des fleurs, du haut du pont, dans les eaux boueuses de la Tallahatchie.

Allez! Ce soir un bout de « Looking for Manara. » Bye. See you!

25/03
Et ce soir aussi, un autre..
Qu’est ce que je bosse!
Disparition de Bertrand Tavernier. C’est pas érotique , mais j’ai prévenu…Informel, le journal! Alors s’il me prend l’envie de parler des polpettine al pomodoro…

26/03

La très belle Claire Brétécher, que je retrouve lors d’une pérégrination webesque… Bien sûr que c’est de l’érotisme! Regarde si elle est belle!

*
Opinion confirmée par l’atypique et attachante Brigitte Fontaine:
Et un autre de ce merveilleux auteur…Oui! Auteur. ( Pas de genre, c’est Claire?). Hilarant. Tellement lucide!



06/04… Déjà!

Cela nous permet , en tout cas, de contempler la magnifique photo d’une parfaite conasse. Même le petit chien, a l’air consterné!

07/04
De Lyon, où je déguste une délicieuse rosette…mes saluts les plus torrides!

The woman who (re?) invented sex…

D’accord, faire voisiner la sublime Brigitte avec la charcuterie lyonnaise n’est pas du meilleur effet. Bon, c’est pas du boudin, non plus! Et puis, moi, j’aime bien les deux!

08/04
J’ai essayé à dix reprises de mettre une super vidéo à cet emplacement: impossible! Le même message d’erreur s’affiche malgré toutes les bidouilles que j’ai essayées. Il faut dire que je suis un vrai crack en informatique.

Pensées du soir… Espoir!
Oh, Karine
Ocarina
Petite oie
Petite Toi
Oh, Karine!
Ocarina
Mes nuits
Ne parlent que de Toi.

09/04



Quel est le sceau de la liberté acquise? Ne plus avoir honte de soi-même.

11/04


16/04


Mes dernières publications ne me satisfont pas vraiment. Les deux chapitres que j’ai pu conserver de l’histoire de Dorcia, y sont sûrement pour quelque chose, mais pas que…(comme on dit, intelligemment.).
Le monde D/s me déstabilise , à commencer par la manière codifiée de se désigner: D majuscule, s minuscule…Un simplisme réducteur en même temps qu’un souci de convention (anglo- saxon…?) mâtiné d’ « entre -soi » … Un « wording » comme disent les snobs incultes et branchés…anglo-saxons, purs French… J’y perds mon lopin…
Le chapitre, de la série des » Pauline » , « Thor », qui devrait être le chap. IV, me montre que je passe à côté d’un tas de choses, dans ma recherche perso, sur la zoophilie féminine. « Zoophilie féminine » me semble, d’ailleurs, un pléonasme, je considère qu’ il ne peut exister que celle-ci, pour qu’elle reste dans la décence.( la provoc’, j’aime bien.)
L’expérience fascinante et déstabilisante, que j’ai vécue avec Ulrika , puis avec d’autres, (Annabelle, Karine…) m’a placé devant des montagnes de questions qui ne m’ont amené pour l’instant qu’à une pauvre conclusion, même si j’ai cru dévider quelques longueurs de fil intéressantes: le mystère reste (presque) entier.
(To be followed… Cominc’ a sentire la fatica…!)

17/04
Les quelques longueurs de fil que je pense avoir pu dévider, m’ont amené à penser que l’attirance de certaines femmes (beaucoup plus nombreuses qu’on pourrait le croire ) pour les animaux, ( en général , animaux supérieurs, chiens, chevaux, ânes… mais pas seulement…) est le fait de femmes hypersexuelles( c’est nouveau, ça vient de sortir) qui ont une forte demande tournée, non vers une recherche relationnelle, ou un besoin affectif, mais vers une sublimation de la pulsion primale de reproduction, une transcendance de la nécessité d’accouplement.

Il y a, ce que j’observai chez Ulrika, mais que j’ai pu voir avec plus d’acuité, chez Karine, une volonté, non de s’abaisser au niveau de l’animal, ni de l’élever à celui d’humain , mais un besoin de se retrouver sur un même plan d’égalité, d’immédiate et totale soumission à l’instinct, ainsi qu’une fascination de sa mise en œuvre sur-le-champ, naturelle, dont tout rite, ou code, est absent. L’acte en lui-même, c’est tout. Comme me l’a confié Annabelle, « Avec toi, je baise, avec lui, je m’accouple. »
Ceci concerne les motivations premières qui amènent une femme à essayer l’accouplement zoophile…
Les raisons qui font que, celles qui goûtent à cette forme de sexualité en deviennent addicts, se surajoutent, mais sont autres. J’y reviendrait bientôt.
Il est vrai que, le fait que j’inscrive Pauline dans un lien de domination avec Rachel, qui l’oblige, à cette relation bestiale, fausse totalement le jeu…. Il n’ en sera pas de même quand je relaterai l’histoire de Karine, Celle-ci ayant choisi d’assumer cette relation même si, au départ, c’est moi qui l’y amenai.

20/04
Publication, ce soir, après les dernières corrections du septième et dernier chapitre de « Looking for Manara », « Échec au Roi »
J’ai été surpris de voir la date à laquelle j’ai commencé cette série: novembre 2020! Il est vrai qu’entretemps, j’ai écrit pas mal d’autres choses. Je me serai, quand même bien amusé avec certains de ces textes… Il m’en reste un sacré paquet à terminer , le dossier « En cours » est plein! Affaire à suivre…

21/04
J’arrive enfin à incruster des vidéos dans mes articles, avec l’aide précieuse d’A G.. Exemple ci-dessous:
« Baby’s bright,
Dressed in white… »
( Adaptation libre de « walking the dog »
« Rolling Stones Decca 1961)


Le meilleur moment c’est quand elle monte l’escalier… ( Georges Clemenceau. )
Avec elle , après aussi…!

30/04
Mise en ligne de la courte nouvelle « Plus jamais ! » J’y reviendrai bientôt.
Fréquentation du blog …très décevante!

1er mai:
La connerie ne connaît pas les jours fériés:

J’ai déjà eu l’occasion de dire toute l’estime que je porte à Facebook, et assimilés, à l’occasion de ce que j’ai découvert quant à leur attitude face à ce que l’art pariétal peut avoir de choquant ( Oh ! My god!), voir « Odds and ends ».
Les algorithmes…! Mon cul, oui!
Jusqu’où ira l’inconvenance du convenable? Parce que dans « convenable » il y a…


Quelques brins de muguet pour rappeler le Val de la Haye, et le bonheur passé…et appeler celui à venir.

2/05
Les femmes n’ont jamais eu envie de porter un fusil. Pour moi, c’est quand même un signe d’élégance morale.
Pierre Desproges

Contact avec la jolie petite Chloé, ce matin (SMS) . Apparemment elle est d’accord avec ce que je lui propose.
Je dois l’appeler la semaine prochaine… Si ça marche, je vais me régaler … La coquine est tout simplement adorable.


3/05
Contact avec la jolie Sandrine… Inattendu. Elle ne donne pas suite …Dommage! Non seulement elle est très belle, mais de plus, elle a l’air d’être gentille, sa manière de répondre au message, sa courtoisie… Elle me plaît beaucoup.
Comme le disent les Stones:
« You can’t always get what you want »
Elle semblait très étonnée que j’aie son N°…D’après ce qu’elle m’a dit, elle n’était pas inscrite sur le site.
A la radio le titre » Venus, make my wish come true… » Alors , elle reviendra…

Publication de deux textes, dans la foulée…
« Madame », chapitre IV de la série « Pauline »et « Walking the dog » que je ne voyais pas publié comme ça.
J’avais le chapitre IV de « Pauline » sous le coude, depuis presque deux mois . Ne pas respecter la chronologie épisodes, me gênait un peu , mais finalement, ceux-ci sont (sec), la plupart du temps, lus sans que le lien soit fait entre eux. De plus, il m’a pris l’envie de régler, balancer certaines choses au carré.
« Walking the dog » en a aussi, un peu, fait les frais…
Depuis deux semaines , j’avais laissé la deuxième partie du récit en plan, non que ça me posait problème, mais les liens ,transitions vers la partie avec Mungo ne me plaisaient pas.
Pas de transition, rupture: à partir de là toute cette première partie se lit comme un épisode indépendant.
Je vais même répéter le procédé avec « Baby blue » qui s’articule aussi autour de trois éléments bien distincts … ( c’est vrai que si on va par là… comme dirait intelligemment, l’autre… je peux scinder mon texte en huit, je pourrais toujours justifier…Whoah! la mauvaise foi!)

4/05
Je passe tout à l’heure au « Carrefour » ( c’est le nouveau mot pour « magasins »…) de mon quartier, y acheter la canette de bière qui va bien avec la pizza quatre fromages de chez Gino ( Je sais! Diététique…gnagna… machin, bidule….Je me marre!).
La petite hôtesse de caisse ( Il faut les appeler comme ça, maintenant: caissière, ça fait pourraille..) me jette une œillade incendiaire...
Cette petite a une classe…! Je dis petite , c’est l’impression qu’elle peut laisser si on n’y prête garde…En fait , elle ne l’est pas vraiment, mais a quelque chose de fragile , très mince, presque maigre, ( elle a deux petites miches de rat, qui lui vont bien…), une blondeur soigneusement entretenue. Une Tanagra.
Elle m’a regardé à trois reprises de son beau regard brun, avec l’air de m’interroger… Elle me plaît…Elle me plaît!!
Je ne sais pas comment attaquer. Ou même si je vais avoir le culot… la minouche n’a pas vingt-cinq ans!… Peut-être, aussi, que je me raconte des berlures.

5/05
Sur l’air de « Nadine » (C.Berry.)
« Pernelle…? Pernelle, is that you…? »

Extrait du journal de Pierre Louÿs : « ENCULÉES«
Journal érotique
(1892-1907)
Paris
rue de la Harpe
Fille moitié putain, moitié maquerelle. Basse prostitution, en cheveux.
N’avait jamais été enculée. Elle a consenti avec appréhension, mais elle a littéralement hurlé à l’instant de la pénétration. Malgré tous ses efforts pour se dégager, j’ai réussi, mais à grand’peine. Elle m’a juré qu’elle ne recommencerait plus jamais.
Marcelle

Paris
rue du Pélican.
Petite femme brune, parlant vite.
La plus complaisante et la plus docile qu’on puisse rêver. Il n’y en a pas que j’aie enculée plus souvent ni dans des positions plus variées.
Elle se prépare seulement avec un peu de mousse de savon, ce qui rend l’introduction rapide sans trop adoucir le frottement.
Une fois, avant de lui faire ce qu’elle était habituée à souffrir chaque fois, je lui ai fourré tout un godmiché dans le trou du cul, en introduisant mes doigts dans le con pour saisir le godemiché à l’intérieur.


Décembre 1892
Abbeville
Dans un bordel de l’endroit.
Fille jeune, entrée depuis peu et disposée à tout apprendre.
J’ai eu certainement le pucelage de son cul. L’année suivante la tenancière me l’a rappelé en me revoyant. La fille lui en avait fait la confidence. Après moi, elle l’a accordé à tout le monde.
Je la revois, petite et brune, très paysanne.
Jeanne (?)

Rouen
Rue des Espagnols

Belle fille brune, très poilue jusqu’au tour de l’anus et dans le sillon. Environ vingt ans.
S’est fait enculer sans difficulté, à genoux sur son lit.
C’est une de celles avec qui j’ai eu le plus de plaisir à le faire.

Rouen
Rue des Espagnols
II
Fille courte et brune, assez grasse.
La maquerelle m’avait prévenu qu’elle se laissait enculer, mais ne lui avait pas dit quelle me prévenait.
Quand j’ai fait la proposition, la fille s’est écriée :
Ben, t’es bien tombé ! je suis justement pour ça !
Elle avait dit cette phrase avec tant d’entrain que j’ai songé à passer toute la nuit avec elle ; mais après l’acte je suis parti.
Perdue de vue.

L’auteur a tenu pendant quinze ans un journal érotique, on ne peut pas dire qu’il rédige beaucoup mais il tient un compte précis de ses conquêtes, des lieux et circonstances de ses exploits(sodomie uniquement), j’ai ainsi appris que dans une petite rue de Bayonne, La rue Marsan( où je suis souvent passé), pour être précis, une demoiselle s’était fait sodomiser, euh, non! enculer… comme beaucoup après elle, d’ailleurs quand on sait ce à quoi on peut assister pendant les fêtes de la St Léon!

07/05
Publication de « Just a quickie », texte que je ne comptais pas éditer, puis, l’ayant retouché, je décide de le publier. Après une mise en ligne de quelques heures …relecture…j’y retrouve des manques …je le bascule en brouillon, je verrai ça dans quelque temps.

Je rappelle « la jolie Chloé » vers 19h…Qui s’avère n’être qu’une petite arnaqueuse bêtasse ( je n’ai pas dit pétasse! Quoique…) au ticket Transcash ».


08/05
J’ai ouvert une catégorie « Atelier d’écriture » pour essayer de monter un projet de rédaction de textes en commun. J’y avais pensé, au tout début, quand j’ai créé le blog, et j’avais dû laisser tomber, car très difficile à mettre en œuvre, sous la forme dans laquelle je souhaitais le faire: pages interactives sur lesquelles on pouvait échanger; corriger, mettre en forme en temps réel. Le gars qui m’a monté le blog A G, ( que je remercie au passage) m’a dit que ce serait une usine à gaz… j’ai renoncé.
Le rythme sera plus lent, mais avec la page « Libre échange », ça devrait marcher… Au moins, elle servira à quelque chose !

Publication, comme je l’avais décidé en éditant le chapitre IV de « Pauline », de la première partie de « Baby blue », cet après midi.
J’aime bien la fin de ce chapitre, en forme de points de suspension.

09/05
Passage au « »Carrefour Market », histoire de… Elle n’était pas là. Elle a bien raison de ne pas bosser le dimanche. Mais ça ne fait pas mes affaires…

10/05

Contact avec Mila, qui m’a répondu. Elle est d’accord avec ce que je lui propose, mais ne pouvait pas venir cet après-midi. Elle doit me rappeler tout à l’heure. Ce n’est pas une « Teen », comme je les aime ( 43 ans), mais elle a l’air pas mal du tout. Affaire à suivre…
Confirmation, ce sera demain…Super!!!
J’aime sa pose!

13h09: J’adresse un message anodin à une destinataire dont je n’attends pas forcément de réponse, laissant l’adresse du blog...
Quelques minutes après, je reçois un retour: je suis remercié de mon message! Ça n’est pas commun…une conversation par SMS, courtoise et agréable, s’engage, alors, avec la destinataire du message, je lui demande son adresse mail et nous poursuivons l’échange, via nos ordis…


Je viens de faire la connaissance de Liane, ( le joli nom! Et elle a un cul superbe, ça ne gâche rien!) jeune femme d’une beauté sublime, d’une gentillesse et d’une délicatesse remarquables: une princesse, doublée d’un ange…
Nous avons déjà échangé de nombreux mails, et j’espère que nous n’en resterons pas là…!
Envoi de 3 photos…charmantes, en fin d’entretien( voir ci-dessus).
(Attends…! Attends..!)

Et effectivement, nous n’en restons pas là, après quelques échanges de mails sucrés, tout miel, arrive celui qui change le goût, et parfume les précédents d’un arôme radicalement différent: Mademoiselle a besoin d’argent, et demande à celui qu’elle prend pour un gogo, d’y subvenir…
Ciao, bella!

11/05
14 h : Elle vient !!!
15h30
Sonnerie…Elle est là!
Je vais lui ouvrir. Très belle, très bien foutue! Elle me sourit derrière son masque… châtain clair, des yeux noisette, très maquillés… J’aime!

Elle est habillée classique, très sage, et porte des bas blancs.
— Bonjour, Mila! Moi, c’est Iovàn!
— Bonjour!
La voix est chaude, un peu éraillée…J’aime!
Le regard est direct.
Je l’installe dans le canapé du salon, où je lui sers un café, je lui ai fait retirer son masque, et nous essayons de bavarder en nous observant à la dérobée…
Elle me plaît , et je le lui dis.
Après lui avoir réitéré les consignes de protection : uniquement les contacts nécessaires, pas de baisers, ni de proximité au niveau des visages, elle est d’accord, je lui prends la main, et l’entraîne vers la chambre, où l’attend le lit tendu du drap de vinyle rouge. Je lui demande de se déshabiller… mais, de le faire très lentement, car je vais la regarder pendant ce temps…
A partir de là, je résume , et garde le récit de ce super moment pour une histoire que je conterai plus tard, avec l ‘autorisation de la belle.
Je lui avais demandé un plan un peu particulier et elle avait accepté: je voulais la fister…mais pas que.
C’est ce que je lui ai fait…both ways.
Elle a été adorable et nous sommes convenus de nous revoir bientôt.

12/05
Contact avec la mignonne Miss X, ce matin, alors que j’écrivais à miss Tire-lire. A ma demande, elle m’envoie une photo:

Elle n’est pas jolie, avec sa belle petite gueule et ses mignons petits boobs?
Je ne lui ai pas encore fait part de ce dont j’avais envie, mais je compte la rappeler pour la semaine prochaine.

« Baisez et enculez, c’est là noble et belle besogne. »
Alphonse Momas

13/05
Melle S.
Comme le chante Eddie Cochrane: « She’s somethin’ else ».

Tribute to gorgeous Alena Croft.
Milf splendide, ange de beauté et de luxure.




15/05


Thermomètre et humour anglais.


16/05
16h30
Message très court de Melle S…, mais qui me ravit. Quand j’ai entendu le gingle , j’ai su que c’était elle…
J’adore cette gosse!

18h
Il n’est pas dit que je n’aille pas revoir ma Normandie plus tôt que je ne pensais…
Message de la jolie Laure, 40 ans avec qui j’entre en conversation, et qui reste en contact malgré les difficultés que nous avons à passer par le Hangouts de Whatsapp; nous conversons jusqu’à 22h, après quoi nous nous souhaitons une bonne nuit et nous quittons sur un message qui me fait chaud jusqu’en bas, et me fait regretter que Bordeaux soit si loin de… Caen.
Je dois la rappeler cet après-midi .

17/05
A l’époque où le tube « Call me », qui allait faire d’elle une star de la popmusic, sortit (1980), j’étais déjà très accroché par le physique de la belle Blondie, chanteuse du groupe éponyme (comme on a plaisir à mettre ce terme à toute les sauces aujourd’hui). Ce que je ne savais pas à l’époque, c’est que ma chanteuse chérie, cette jolie coquine, posait nue pour des magazines…
Je viens de le découvrir, et m’en voudrais de vous faire manquer ça. Have a look..

Chouette pochette pour un vinyle, non?

Celle-ci aussi, aurait fait une bien belle pochette.
(Total fake…! Merci Photoshop!)
Call me. Lyrics Debbie Harry)
Verse II
Cover me with kisses, baby
Cover me with love
Roll me in designer sheets
I’ll never get enough
Emotions come, I don’t know why
Cover up love’s alibi
Call me (call me) on the line
Call me, call me any, anytime
Call me (call me) I’ll arrive
When you’re ready we can share the wine
Call me
A des invitations comme celle là, les candidats n’ont pas dû manquer

Debbie, version plus sage…le regard, voilé, reste érotique. J’aime aussi le titre du journal, qu’elle brandit, bien en évidence.
Mais, peut-être est elle sur la page 3 du célèbre tabloïd britannique, sur laquelle figure toujours une belle starlette dénudée…Connaissant le goût prononcé de Debbie, pour les jolies filles, ce en quoi je l’approuve entièrement, cela n’aurait rien de surprenant.
Je ne suis pas langue de pute, j’informe. Même si cela…ne nous regarde pas.

19/05
16h30 CHU Pellegrin , vaccination Covid.
Cette belle infirmière, qui me reçoit dans le hall… ses grands yeux d’émail… longue, brune, 45 ans, peut-être. Je suis sous le charme…
La médecine, qui me reçoit. (Eh, oui ! J’écris inclusif: le médecin, la médecine… Arrête…! Tu te fais du mal!)
En tout cas, elle ne doit pas avoir loin de 60 ans…Un corps de jeune femme, classe , super sexy, escarpins, pantalons, pull en cachemire noirs, Un très beau visage aux traits distingués,cheveux gris fer, très beaux yeux bleus, impérieux… Attitude Herr Obersturmführer,… J’ai adoré!
— Asseyez vous!
Je rangeais les papiers qu’elle venait de me donner dans mon portefeuilles.
— Un instant, je vous prie…
—Vous me donnez le tournis!
— Allons, tant mieux!
Elle sourit, se radoucit… discussion cool, sympa. Envie de plein de trucs…trop de trucs, ça va trop vite…J’ose?…c’est pas le moment, ni l’endroit… j’atermoie… J’hésite...
L’entretien est terminé. Elle me salue.
— Au revoir, Madame…!
je sors de son bureau…
Pareil que Susan.
Frustration totale!… Bien fait pour ta gueule! Regretter ne sert à rien!

La fascinante complexité de la sexualité féminine.
Alors que la conception du sexe au masculin est aussi simpliste que l’est notre appréhension du fonctionnement d’un match de foot: « T’as la balle, t’as la cage, en face… T’as qu’à la mettre dedans… ! » ( je caricature…?), la partie émergente de la sexualité féminine est une arborescence, une entité polymorphe, qui n’en finit pas de croître et de trouver des chemins qui ne cessent de m’émerveiller.
Sa manifestation, telle que montrée dans cette vidéo est un classique…quand bien même…! Quelle puissance érotique se dégage de ces images! ( même si elle ne sont pas de première qualité, je le concède.)

Bref échange de messages avec Melle S. , juste quelques mots… Je pense beaucoup à elle…Trop!

20/05
Message à la jolie Miss X… Encore trop tôt pour savoir…
Mail de lyvine qui me demande des explications au sujet du message que je lui ai envoyé…Normal. J’espère que nous pourrons échanger comme elle le propose.
Message de Laure à 19h 30. J’y réponds… depuis rien.

21/05
Miss X me répond ce matin : Elle est OK … Splendide!… Et, splendide, elle l’est! Ça va être Super…!
Message de Laure à 14h …Je ne sais pas si j’ai fait bien d’y répondre comme je l’ai fait… C’est un pari. L’avenir le dira.
Mail de Laure à 18h …J’ai bien fait… J’en parlerai plus tard.

23/05
Laure… Laure…il y aura beaucoup à dire… Je laisse les choses se décanter un peu… Il y en a besoin.

21h
J’adresse un message à l’adorable Melle S…,, en russe , car je suis persuadé qu’elle le parle, dans lequel, déjà, je me dénonce.
Sa réponse( un petit « Coucou »,automatique, tout mignon) arrive, alors que je suis entrain de rédiger un long SMS, où connement, c’est l’impression que j’ai au moment où j’appuie sur le bouton d’envoi… je lui avoue tout!
Le temps de sa réponse, à laquelle je ne crois plus, je me mettrais des baffes!
Très vite, celle-ci arrive dans un long message tout d’équilibre et de raison dans lequel elle me dit entendre ce que je lui ai confié: elle ne ferme pas la porte! J’exulte!
Cette belle enfant est une bénédiction!
24/05
16h30 Appel audio de Melle Sarah que je loupe, je suis au volant. Le temps de m’arrêter…Trop tard.
Vers 21h longs échanges de SMS sur WhatsApp…
25/05
0h 50
Sur une de ses remarques pas cool, je monte dans les tours…et ça part en live!
Je lui balance une vanne et j’éteins.
It’s All fucked up!

Dans le Swinging London des années 60, la jet set du show-biz se retrouvait dans les clubs « dans le vent » (c’est comme ça qu’il fallait dire), ou la très « fashion » Carnaby Street.
Cette photo nous montre Alian Delon en conversation complice avec l’Égérie, (Majuscule!) de la ville emblématique de cette musique qui subjuguait la planète, Miss Marianne Faithful.
A voir la tête que tire le futur Sir Mick Jagger, il semble plutôt « Out » que « In », comme le chantait Gainsbourg qui, lui aussi, traversait le Channel dès qu’il en avait l’occasion.


Twiggy, le (!) célèbre mannequin qui contribua à populariser la « révolutionnaire »miniskirt de Mary Quant, qui enflammera les imaginations, tenues en laisse, à l’époque. Très mignonne. Un peu minimaliste…
Une préfiguration des « pauvres » petites anorexiques qui envahiront les magazines dans les années ’90…?

30/05
Con promis, chose due!

31/05
A tribute to Kate.
Ma très belle, magnifique , talentueuse et agaçante petite Kate … Tu étais et restes une splendeur à mes yeux, ce qu’ont toujours été, à mon oreille, tes chansons.

Petite sorcière des notes et du son,… voix d’ange…je te voudrais démon…
Mais non.
Tu mets toujours, dans tes yeux, comme dans tes chansons… Un peu d’insaisissable... Parfois, tu exagères!
Essence de fille.
Et tu m’agaces...
Mais je t’aime.

Mais…! Mais… ! Voilà ce que je trouve, en cherchant un titre de toi… ! Les yeux m’en tombent!
Tu quoque, filia… ? Comment…? Comme l’autre débauchée de Debbie , tu as fait des photos de cul… ?…Toi aussi? Salope!
En fait, pas plus Debbie que toi !
Voilà ce qu’ils arrivent à faire de vous
Les gros malins, adroits dans le traficotage avec Photoshop, ils vous refont une histoire, dans laquelle le croustillant et le graveleux se font la part belle.
Mais, je n’étais pas au bout de mes surprises…ils sont vraiment très forts!
Voilà donc ce que tu fais quand j’ai le dos tourné! Gourgandine…!

( Revois ta copie, mec, tu repasses en septembre.)


Vous êtes extra, les filles, je vous aime!

02/06
Marilyn… Romy, Sophia, Brigitte, Ingrid, Jane, Anita… So wonderful, so perfect! All there! Sex…! Sex…! Sex…! anytime …anywhere…!!!
I love you so bad.
Music: Booker T, and the MG’s : « Gren Onions« .


Ni ces jamais ni ces toujours
Ni ces je t’aime ni ces amours
Que l’on poursuit à travers cœurs
De gris en gris, de pleurs en pleurs
Ni ces bras blancs d’une seule nuit
Collier de femme pour notre ennui
Que l’on dénoue au petit jour
Par des promesses de retour
Merci, Maître Jacques.



Trop belles! Il faut regarder les hirondelles! Ça urge!
Fidèle, Fidèle je suis resté Fidèle
A des choses sans importance pour vous
Un soir d’été, le vol d’une hirondelle
Un sourire d’enfant, un rendez-vous
Fidèle, Fidèle je suis resté Fidèle
A des riens qui pour moi font un tout
Un vieux toutou, une boite d’aquarelle
Le port de La Nouvelle au mois d’août
Ici,Port Racine, le plus petit port du monde et des environs…
Merci, Monsieur Trenet.
On ne dit jamais assez « Merci ».

« Marieke » Pour Pierre-Anne, et Madeleine…

Pour la plage, et pour le sable, pour le grand vent et le ressac, pour le ciel bleu, pour les oyats, pour les chardons,
Pour vos lèvres, pour vos yeux bleus, pour ce temps qui, s’en est allé, et qui m’oblige à vous chercher, comme Maître Jacques… de Bruges à Gand.

Parution, en catimini, hier, du recueil « K9 Love », que j’ intitule ainsi, pour en masquer un peu le contenu… hypocrite! Minable…!
Non…non…! Un peu, mais pas trop…!
Et puis « K9 Love », je trouve que ça a de la gueule.Le sujet en est plus qu’osé et je suis bien certain d’en choquer plus d’une et plus d’un avec cet aspect de la sexualité féminine, qui me passionne et me bouleverse, mais qui je le sais, peut choquer et déstabiliser.
J’ai de plus, l’intention de l’illustrer de photos et de vidéos à ne réserver qu’à un public très averti.
On en reparle…

L a première fois que j’ai vu cette vidéo… ,il y a longtemps, je l’avais trouvée à la fois, quelconque, vaguement stupide et gênante. Ce mari qui offrait sa jolie femme à une bande de types en rut, me semblait idiot et peu crédible. Depuis, Il a coulé de l’eau…
Voilà que je la retrouve et là… quelque chose d’inattendu se passe: C’est elle! C’est Gloria… Ma Gloria!
On en reparle demain … « Comminc’ encora a sentire la fatica.s..! »
Je vous offre, pourtant, cette vidéo qui est pour moi devenue, lame de fond, insidieuse…elle était là , dormante… un « parfum »… Oui… l’industrie du porno peut produire des trucs inattendus…

03/06
Ce qui est marrant est ce qui s’élabore dans notre dos, alors qu’ on croit être à tout autre chose… tu ne le sais ni ne le sens … le sens se construit dans les strates du fond… ou du haut…?
Il faudrait que j’aie assez de talent pour que d’un mot, d’une flèche, j’atteigne le centre de la cible! Bull’s eye!
Ce gars est en fait de la plus pure et plus belle générosité qui soit, il offre à sa Belle Le plaisir qu’il sait qu’elle attend.
La belle Tamara a un joli sourire plein d’émoi, de pudeur, et de gêne aguichante, appel masqué à sa cour de mâles par lequel elle indique qu’elle se soumet, sachant déjà, que c’est elle qui domine…
En tout cas, c’est vachement bien scénarisé! (Bull’s eye…)

Tu me regardes écrire…? Contacte moi sur Hangouts iovanness1@gmail.com (23h30)

19h
Sms à la jolie Miss X, pour l’instant , rien.


Prova ( Épreuve) de l’artiste italien Roberto Baldazzini, un des grands maîtres, mondialement reconnu, de la BD érotique.Un univers plein de sensualité et d’onirisme, mais qui pour moi, n’atteint pas la puissance évocatrice des planches de Maurilio Manara.
Cette épreuve est intéressante car on y voit encore, la trace de deux repentirs laissés par l’artiste, le premier , le plus évident sous le deuxième personnage en partant de la droite. le second juste devant le troisième personnage.
Les liens hypertextes, permettront à celles et ceux qui sont intéressé(e)s d’aller faire un tour sur le site qui propose des présentations des différents titres.
Cette liste n’est pas complète, Baldazzini ayant encore produit beaucoup d’autres albums et ouvrages.
Beba | 2010 | 2014 | |
![]() | 2000 | 2012 | |
![]() | 2003 | 2010 | |
![]() | 2011 | ||
![]() | 2000 | ||
![]() | 2018 | 2020 | |
![]() | 2021 | ||
![]() | 1989 | ||
![]() | 2005 | ||
![]() | 2021 | ||
![]() | 2016 | ||
![]() | 1984 | ||
![]() | 2002 | ||
![]() |

04/06
Le « Slow sex ».
Nouvelle recette miracle, pour jouir, jouir…et jouir encore selon les gourous officiant dans les magazines d’aujourd’hui, impose son diktat:
—Comment…? Tu ne pratiques pas le Slow sex…? Tu…ne… sais pas ce que c’est…? Non, mais… je n’y crois pas...!
Séquence explication:
Se ramener à soi pour un maximum de sensations!
Nb: Se ramener « A SOI » ( Un pléonasme?… quel pléonasme?)… Se ramener à soi, surtout pas à l’autre: dans cette surenchère forcenée de l’égo: charité bien ordonnée…!
Le « slow sex » c’est faire l’amour en se laissant guider par ce que ressent notre corps plutôt que ce que veut notre tête. On détourne donc notre attention extérieure vers l’intérieur. La meilleure façon d’y arriver est de RALENTIR! Ralentir les mouvements, les caresses et le rythme. Se faire languir est une excellente façon de faire monter l’excitation au maximum. Rien ne presse. Prenez le temps de savourer les préliminaires. Faites de l’orgasme un bonus et non un but à atteindre.
Véronique Larivière sexologue.
( Ne vous privez pas de cliquer sur le lien hypertexte et du plaisir de lire son blog… ils en ont des bons aussi de l’autre côté!)
Et voilà, une fois de plus, retrouvé, l’art et la manière de réinventer l’eau tiède: deux termes anglo-saxons pour maquiller Dame Bêtise… et elle peut continuer à racoler …y a du trêpe!

Some like it slow…
You are wonderful ,Baby!

07/06


La biographie de Rebecca Hap tient en quelques mots: Auteur de bandes dessinées érotiques américaine, probablement née dans les années ’50.
C’est tout.
Après maintes recherches, ce sont les seuls renseignements que je suis arrivé à collecter sur cet auteur qui fait pourtant, autorité, et ce, depuis de nombreuses années dans son domaine. Rebecca est d’une discrétion en ce qui concerne sa vie privée, qui confine au secret d’état, contre-modèle absolu et rafraîchissant aux standards qui président à la gestion de leur image des « people » de notre époque …!
On sait cependant qu’elle grandit dans l’Amérique des années ’60, époque flamboyante, qui marquera la jeune Becky, (diminutif de Rebecca), elle le reconnaît, elle même, dans l’interview qui suit. Interview qui constitue un exploit: Rebecca refusant la plupart du temps de se soumettre à l’exercice, si souvent prisé par certains.
Ces années ’60 qui vont constituer, l’amorce d’un tournant, dans l’histoire américaine continuent, cependant, à permettre à l’impérieux « American way of life » de façonner le monde, ses représentations, et les mentalités par la puissance d’un modèle triomphant, incontesté, aussi bien dans ses mythes ( cinéma Hollywoodien) que dans sa puissance économique (même si certains voyants passent déjà à l’orange au tableau de bord…)
Ce modèle qui va nous façonner, nous, ados de cette époque, dans notre lointaine Europe, par petites touches , la musique ( Yeah! Rock’n roll !) les jeans… !!! Le Coca Cola, (Coke, ne se disait pas, alors!) nous accrochant par ci, nous aguichant par là…
Rebecca, elle, baignait dedans, et ce jusqu’au cou, noyée vive… elle en était imprégnée… elle était, cette culture. Comme l’étaient les « Beach Boys. »
Et cette culture dont elle est pétrie, elle va la restituer dans ses dessins, celle-ci va sourdre de toutes ses vignettes dans chacune de ses planches….Mais totalement dépecée et mise en pièce par un impitoyable détecteur de mensonge: son crayon.
Il suffit d’observer ce premier dessin, extrait d’un des premiers numéros de « Housewives at play » et daté de 1998, pour s’en rendre compte..

Il met en scène deux créatures de rêve, deux jolies Milf’s comme les affectionne particulièrement Rebecca. Les deux femmes, dans leur plus simple appareil, sont entrain de se livrer à une séance de débauche torride.
L’une d’elle, la blonde, l’air ravi, son joli minois illuminé par un sourire radieux , une spanking bat à la main , la levant dans un geste qui laisse supposer qu’elle va vite s’en servir, si ce n’est déjà fait, est entrain de sodomiser ou de baiser , avec violence, sa magnifique victime, entravée par des liens qui serrent et compriment son joli corps pendant que sa bourrelle la besogne avec un gode ceinture qui semble être de belles dimensions.
C’est, à coup sûr, une première séance de soumission, à laquelle, la jolie voisine, ou amie, entrée sous un prétexte quelconque a lentement amené sa belle proie à succomber au désir qu’elle a su éveiller en elle…Puis elle l’a amenée là où elle voulait, la ligotant étroitement pour mieux la soumettre à son emprise brutale et impérieuse…
Et la belle dévoyée déguste sa jolie proie, toute à sa merci, à violents coups de reins, qui la font se hausser sur la pointe des pieds, et la supplicient au point de la faire sangloter, inondant de larmes son visage crispé par la douleur mais la faisant jouir : on voit couler sa cyprine sur ses cuisses.
Intéressons nous au décor :
La jolie brune, en bonne ménagère était entrain de frotter et nettoyer le sol, la vadrouille imbibée de produit, abandonnée au milieu d’un amas de bulles, en est la preuve, elle a dû s’interrompre quand sa jolie voisine est entrée.
Tout s’est donc joué de manière impromptue, et la violence de la scène est en total décalage avec ce que dit le décor d’un quotidien, où chaque élément a son importance quant au contexte et au scénario.
Cela se passe… Dans la chambre de bébé d’une tranquille maison de la middle class américaine avec son environnement rassurant, tout ici parle de quiétude , de douceur et de calme…
De la jolie frise naïve, représentant un petit train sur le mur du fond, à la photographie des jeunes époux souriants, la jeune maman serrant un poupon dans ses bras, image parfaite d’un bonheur sans nuages… Le rocking chair symbole des moments de détente masculine, pris dans la chaleur d’un foyer apaisant, le dessin des petits ballons, enfantins, légers…innocents… le Teddy bear posé sur la desserte au fond, et les deux coussins de satin en forme de cœur, qu’on imagine roses posés au pied du berceau où s’agite un bébé, dont on aperçoit les mains et un pied…
Car celle à qui la salace voisine fait subir ces outrages, est une jeune maman, qui allaite, en témoignent les jets de lait, que sa bourrelle fait jaillir de ses seins ligotés et torturés…
En iconoclaste patentée, Rebecca fait voler tout cet univers en éclat, y plantant au beau milieu cette scène d’une luxure et d’une salacité inouïe qui prend tout son relief.
Ce thème de la maternité dévoyée et roulée dans ce, qu’une certaine morale, considère comme la fange, est une donnée récurrente de la grammaire Happienne, et pourrait fournir du grain à moudre à certaines… (!) Il revient de manière quasi obsessionnelle dans une majorité de ses dessins et vignettes(cf illustration ci-dessous) où lorsqu’il n’est pas explicitement développé, il s’y retrouve en filigranes discret mais marquant.
Les dessins de Rebecca ne se regardent pas seulement, ils se lisent et se décryptent. Chacun d’eux, en fait, nous conte une histoire.


J’ai découvert le travail de Rebecca Hap, en 1999 dans une bande dessinée, enfouie dans un fatras de bouquins, magazines et autres illustrés, sur l’étal d’une foire à tout… je tombai en arrêt devant le graphisme et la violence érotique inouïe qui explosait dans chaque vignette de cette vieille BD oubliée, que je feuilletai, sidéré, furtivement. A la fin de la lecture de ce numéro de la série » Housewives at play », j’étais accro au dessin et à l’univers que proposait cette auteur femme, du moins, je le supposais ( Rebecca… ! C’était une femme qui dessinait!!!) Son érotisme puissant et subversif, dont la violence me subjuguait, son humour corrosif, et jubilatoire me séduisait d’autant que j’y retrouvais un peu de l’esprit déjanté du magazine américain « Mad » qui me valurent , avec le commissaire San A, de Frédéric Dard, les plus belles crises de fou rire de mon adolescence. Rebecca Hap m’avait conquis.

Publié le 25 Juin 2015 à 14h50
Rebecca est sans aucun doute l’artiste la plus chaude que je connaisse. Pour bien bander ou mouiller, rien de tel qu’une expédition dans ses contrées lesbiennes hantées par des créatures de rêve dépravées qui n’hésitent devant aucun tabou pour remplir leurs désirs et où le mot d’ordre est : jouir, jouir, jouir ! En acceptant de vous laisser guider par Rebecca, vous pénétrez dans un univers bien particulier, où de braves ménagères se font violer et ensuite réduire en esclavage par leurs voisines, où des mères de familles se branlent la chatte en filmant leurs filles en train de se faire défoncer par un beau gode, et où les filles, munies d’un gode-ceinture à la taille impressionnante, séduisent leur mères en mal de sexe.


INTERVIEW : REBECCA, CRÉATRICE DES DEGENERATE HOUSEWIVES
Publié le 25 Juin 2015 à 14h50
Qu’est-ce qui vous a incité à travailler dans le secteur de l’érotisme ?
Je pense sincèrement que j’ai attendu trop longtemps. Au moment où je me suis sentie prête à tenter ma chance dans le monde de la bande dessinée, dans les années 1990, les styles avaient changé et aucune grande maison d’édition n’était intéressée par ce que je faisais. Le seul éditeur qui m’a répondu favorablement est Fantagraphics Books, à qui j’avais soumis quelques bonnes illustrations de filles et de pin-up. En fait, les gens de Fantagraphics m’ont dit qu’ils pourraient être intéressés par mes dessins mais ils voulaient un contenu et des images plus extrêmes, plus hard, pour la ligne éditoriale adulte, le label Eros Comix, qu’ils développaient durant cette décennie. Au début, j’ai refusé en leur répondant « Non, merci ! » mais mon désir de travailler dans la bande dessinée a pris le dessus, et j’ai fini par accepter. Bien sûr, aujourd’hui, je suis contente d’avoir pris cette décision, même si Fantagraphics ne soutient plus ma production actuelle.
Quel métier exerciez-vous avant de vous décider à travailler pleinement dans la bande dessinée ?
La plupart du temps, j’ai gagné ma vie en faisant d’autres emplois, sans relation aucune avec le domaine artistique.


Extrait de Housewives at Play, King Size Special, Fantagraphics, 2003 © Rebecca

En matière de cinéma et de bande dessinée, par qui avez-vous été influencée ?

Ayant grandi dans les années 1960, c’est donc la période qui m’a constituée, et c’est ma plus grande source d’inspiration. J’adore tous les filles sexy, connues ou moins connues, de ces années-là, comme Yvonne Craig [qui incarna Batgirl dans la série TV Batman], Liz Montgomery [Elizabeth Montgomery, l’héroïne de Ma sorcière bien-aimée], Diana Rigg [Emma Peel, dans Chapeau melon et bottes de cuir], Stephanie Powers [Annie, agent très spécial], et ainsi de suite, je pourrais en fait continuer cette liste indéfiniment. Les coiffures, le maquillage, la mode, j’aime tout de cette époque. Pour ce qui est de la bande dessinée, et depuis que je suis en âge de dessiner des femmes, mes influences majeures sont Kurt Schaffenberger et Wally Wood. Les filles que ces deux-là imaginaient étaient si sensuelles que les lecteurs dont je faisais partie avaient presque envie de les toucher. Mais j’apprécie aussi beaucoup l’art de John Romita, de Russ Manning, de Stan Drake… et encore une fois, je pourrais vous citer de nombreux autres artistes qui ont été des tuteurs pour beaucoup de dessinateurs, et dont le travail m’a servi.

Où travaillez-vous ?
Je travaille seule, dans un studio aménagé de ma maison.
Pouvez-vous nous décrire votre processus de création ?
Généralement, je trouve les poses que j’affectionne sur Internet, et je les laisse ensuite me souffler des images dessinées. À partir de là, les scènes s’enchaînent car je me demande alors comment et pourquoi que je voudrais mettre la fille (ou les filles) dans telle ou telle situation.
J’ai souvent une idée très vague de l’histoire que je veux faire. Je la crayonne ensuite dans son ensemble avant de réellement attaquer la phase d’écriture. L’histoire vient alors naturellement, au fur et à mesure que j’avance.

Illustration pour un art-book de Housewives at Play © Rebecca
Comment sont nées les Housewives at Play (Degenerate Housewives, dans la langue de Molière) ?
J’ai toujours adoré l’archétype de la ménagère sexy. Ayant grandi avec Donna Reed, Laura Petry (Mary Tyler Moore), Barbara Eden et d’autres femmes de ce calibre, vous pouvez aisément comprendre ma fascination, non ? Cette fascination s’est exercée enfant, a continué durant mes années de formation, et ensuite à l’âge adulte. Les filles désirables de l’art classique de la pin-up, croquées par Gil Elvgren et d’autres artistes contemporains, m’ont toujours évoqué des figures plus banales : l’épouse, ou la petite amie de quelqu’un.

En effet, et la MILF (acronyme de « Mother I’d Like to Fuck ») semble être un sujet très populaire aux États-Unis ?
Oui, je confirme. Les MILF et les Teens (ados) sont très populaires chez nous. Allez comprendre 🙂
À propos des Degenerate Housewives. Pouvez-vous nous parler du développement de votre histoire, depuis le début avec Catherine Mitchell en nouvelle Emmanuelle d’Hillvale, jusqu’à aujourd’hui, où la situation est devenue plus complexe, où toute la famille est impliquée dans un imbroglio de relations sexuelles ?
Oh, vous savez, tout cela est arrivé de façon naturelle, vraiment. J’ai toujours voulu que le récit devienne plus complexe, à l’instar de ce qui se passe dans la « vraie vie », et au final je pense que je l’ai sans doute trop complexifié. J’aime revenir à la base, aux racines de toute l’histoire, en mettant juste en scène Cathy, Patty et Beth.

Illustration inédite extraite de Housewives at Play n° 6, Fantagraphics 2002 © Rebecca
Nous venons tout juste de publier en France l’arc narratif où Cathy, Lynn et Melissa sont kidnappées par Bratty Sneers et deux collègues à elle… la caricature de ces stars de la pop est très réussie et le scénario est également très hard, avec un sadomasochisme de type agricole, qui confère à l’ensemble un humour jubilatoire !
Merci, merci. Vous savez, la plupart de ces incarnations parodiques sont aujourd’hui oubliées et plus guère pertinentes, mais je suis heureuse que vous les ayez appréciées.
[Note sur ces parodies obsolètes : Bratty Sneers est la caricature de Britney Spears ; Fate Will, celle de Faith Hill ; et Kandy Korn, celle de Katy Perry]
Où en êtes-vous dans le fil de cette série ?
En train de raconter des épisodes inédits de la vie de Cathy Mitchell, quand celle-ci a été initiée à la soumission, et est devenue une esclave consentante.
En un mot, présentez-nous les autres séries parallèles à Degenerate Housewives, et encore inédites en langue française ?
Hum… Hot Mom’s (« Mamans chaudasses ») est une série un peu moins focalisée sur le lesbianisme, et qui puise davantage ses récits dans le réservoir classique des comportements déviants (gang bangs et diverses autres pratiques communes). Quant à Teens at Play (« Ados joueuses »), la série était destinée aux amateurs inconditionnels de jeunes filles de 18 ans, qui sont dans la phase d’exploration de leur désir des autres (et de leurs mères aussi).
Pourquoi votre site est-il si important pour vous ?
Il est désormais le seul espace où mes fans, mes amis et mes lecteurs peuvent voir mes nouveaux travaux. Comme je vous l’indiquais, l’équipe de Fantagraphics a changé son orientation éditoriale — et ses intérêts pour l’érotisme. Pour tout vous dire, elle retient deux livres inédits de moi, pas encore imprimés. Il y a seulement quelques années en arrière, mes livres étaient justement les titres les plus populaires de leur catalogue, et ceux qui se vendaient le mieux, alors oui, leur indifférence actuelle me fait mal. Tout comme les internautes qui postent de grandes quantités de mes travaux gratuitement (et illégalement) sur des forums… cela me fait mal aussi. Mon site (rebeccahap.com) et les illustrations de commande auxquelles je réponds sont les seules façons dont je gagne actuellement ma vie.
Un mot pour votre public français ?
Cela me rend vraiment très heureuse d’avoir un nouvel auditoire, qui découvre mon travail pour la première fois. J’espère que je pourrai le divertir et l’exciter pour de nombreuses, de très nombreuses années encore.
Merci pour vos encouragements et votre soutien positif.
Je vous aime tous,
R.
Propos recueillis par Christian Marmonnier en mai 2015
Visiter le site de Rebecca

10/06
Impatience.

Courses rapides ce matin au Carrefour à 11heures: lait ,oeufs. une canette , bien sûr…passage aux caisses automatiques. Elle est là. Elle discute avec un type, près du rayon fruits…Je la regarde, elle aussi me regarde.
Je suis seul aux caisses. Au moment de payer, un bip. Alors, elle est là tout près de moi,. Elle sent bon.
— Ça bugge comme ça , à chaque fois, on dirait…!
— Oui, c’est comme ça avec les nouvelles machines…
Elle a un petit accent…de l’Est, je pense… mais , d’où?… très doux …
Nous blaguons un moment… je la draguote gentiment…elle rit… Alors que je vais lui poser la question de savoir d’où elle vient, un client, à une autre caisse, l’appelle.
Je la quitte sur un dernier regard, et un signe de tête…
La belle gosse!
Je repars, à moitié satisfait seulement, mais tout guilleret d’avoir pu lui parler. Demain… j’oserai demain.

11/06
En souvenir des jolis moments à rêver de cette belle gosse dans les années ’80… Même si je n’en étais pas au point de L. Voulzy, qui ne pouvait imaginer « ses nuits sans Kim Wilde »… Et même si je n’étais pas d’un enthousiasme fou à l’écoute de ses chansons, la jolie môme avait une voix bien à elle et elle, elle chantait… n’est ce pas Mme Sylvie Vartan…?
And…She was so sexy!

J’ai « créé », j’adore ce terme…! Dans l’article « Bric à brac » un diaporama rendant hommage aux femmes qui nous font tant plaisir … rien qu’en étant si belles… Il y en a de connues, et d’autres qui ne le sont pas, mais elles sont toutes splendides… Have a look!
Pour Elle, je ne pouvais pas faire moins, que lui en consacrer un, à Elle, et Elle seule.
Special thanks to A.G

Premier baiser

15/06
J’ai rarement entendu une chanson aussi con… Mais que la chanteuse est belle…!!
Très belle Jacqueline, je vous dois mes premiers émois … vous étiez, et resterez, une femme d’une beauté rare...

16/06

A tout seigneur...
Monsieur Maurilio ( Milo) Manara

Maurillo « Milo » Manara, né le 12 /09 1945 à Luso , dans le Trentin- Haut Adige en Italie, est un auteur de bandes dessinées érotiques qui fait autorité dans le monde entier.
Son ouvrage le plus connu est « Le Déclic » et fait souvent oublier la quantité phénoménale de dessins, illustrations et écrits, d’une délicatesse et d’une maîtrise inégalées, produits au cours d’une carrière qu’il commença en 1968, pour financer ses études d’architecte.


Paolo Eleuteri Serpieri né le 29 février 1944 (77 ans), est un scénariste et dessinateur italien de BD, connu avant tout pour sa série de science-fiction érotique Druuna.


Guido Crepax, pseudonyme de Guido Crepas, né le 15 juillet 1933 à Milan et mort dans la même ville le 31 juillet 2003, est un auteur de bande dessinée italien.
Il a profondément influencé la bande dessinée européenne de la seconde moitié du XXe siècle.
Il est surtout connu pour son personnage de Valentina, créé en 1965 dans le contexte des années 1960, caractérisé par un dessin sophistiqué et une trame de récit psychédélique et onirique, avec une forte dose d’érotisme.

21/06
Autres Maîtres … et Maîtresses.

27/06
A walk on the wild side...
Sarina Valentina. Jolie, n’est ce pas? Jolies, elles le sont toutes… Voyez!
Pourtant à une époque on les appelait : « Monsieur… » Confirmation avec la dernière vue.
Une de mes bonnes copines, qui fréquentait beaucoup le milieu de la nuit bordelaise, dans les année ’70, m’avait confié un jour, que c’étaient le plus belles femmes qu’elle avait jamais vues…
Même s’il m’est arrivé de fréquenter, platoniquement, l’une d’entre elles, particulièrement belle, pendant quelque temps, et dont je raconterai l’histoire le moment venu, je ne me sens absolument pas attiré par ces filles. Ce qu’elles ont chioisi d’être, et ce qu’elles sont.
Bien sûr, dans ce milieu aussi, on croise de tout…! Elles sont loin d’être toutes jolies…!
Je me souviens de ce pauvre « travelo » croisé sur un pont à Paris, pitoyable caricature de femme, sur lequel les gens se retournaient, en ricanant… Je me souviens surtout, de la détresse de son pauvre regard.

01/07
Les SMS de Christine.
Christine:
— Et si j’étais avec toi… Tu ferais quoi?
Moi:
— Je t’enlacerais, faisant de mes bras la plus douce des geôles, dont tu voudrais que la clé soit à jamais perdue… J’égarerais mes doigts dans la forêt de tes cheveux, aux senteurs d’herbe blonde, égrenée des fossés. Je picorerais de millions de baisers, la douce chair de ton cou gracile et parfumé.
Puis les laissant courir au bas de ton dos d’albâtre, je prendrais dans la coupe de mes mains, les lobes plus soyeux qu’une soie, de tes tendres petites fesses, les caressant avec la plus grande douceur, les écartant tendrement, pour y immiscer mon majeur, mouillé de ta salive et, dévotement l’enfoncer dans la perfection mauve de ton œillet plissé, dans une caresse aussi lubrique que délicieuse, t’arrachant gémissements et soupirs de plaisir impatient, pieusement, y darderais ma langue dans un impur et enivrant baiser.
Alors, je dirigerais mes caresses sur le haut de tes cuisses tendres et lisses, là où ta peau est plus douce qu’un duvet d’ oiseau, effleurant de mes lèvres impatientes ton sanctuaire nacré, caressant ton bourgeon incandescent, je me délecterais de tes râles et suppliques, inondant ma bouche à ton calice, de ta liqueur d’amour aux saveurs marines.
Et me saisissant de mon sceptre, le dirigerais vers ton temple, inondé de plaisir… Tu t’emparerais, alors, de mon mandrin, me faisant t’y empaler, avec un long feulement.
Je caresserais tes fesses, ton ventre, tes cuisses, embrasserais et lécherais tes seins , tu me ferais te pénétrer, à longs mouvements lascifs… Sensations ineffables. Que nous prolongerions à n’en plus pouvoir et…dans une explosion de volupté indicible, notre jouissance éclaterait, nous emportant dans un maelstrom de plaisir et de volupté…
Christine:
— OK. d’accord…

02/07
Le Dogging.
L’acte sexuel est plein de possibilités (Non…?) et l’arrivée des nouvelles technologies n’a fait qu’élargir cet éventail et offrir de nouveaux outils pour favoriser les rencontres. Les bars et les discothèques sont certes des lieux privilégiés pour draguer des inconnus, mais Internet devient le moyen privilégié d’un nombre croissant de gens… Vous avez déjà entendu parler du dogging ? Vous trouvez ça curieux ?
Le dogging consiste à avoir des relations sexuelles avec un inconnu dans des lieux publics pendant que d’autres en sont témoins. Une expérience pleine d’adrénaline à laquelle beaucoup se disent adeptes, même les couples les plus conservateurs.
Tout comme les swingers, ceux qui pratiquent le dogging possèdent également une série de règles qu’il faut connaître et respecter.
Sur Internet on peut trouver plein de forums et sites spécialisés où avant chaque rencontre s’établissent le lieu, la date et l’heure de celle-ci, habituellement les lieux choisis sont éloignés pour ne pas être découvert par ceux qui n’ont pas été invité. De plus, les participants décident jusqu’à quel point les voyeurs peuvent observer
Normalement l’endroit de prédilection pour pratiquer le dogging est une voiture et tout un jeu est réalisé afin d’indiquer à ceux qui observent à quel point ils peuvent s’impliquer.
Les lumières clignotantes externes indiquent aux autres que dans cette voiture il y a de l’action. Si la lumière intérieure est allumée, cela indique qu’ils invitent les personnes extérieures à regarder ce qu’ils font et être témoins de l’excitation (chose qui plait à beaucoup de personnes).
Lorsque la voiture a les fenêtres et portières entre-ouvertes, c’est une invitation à se rapprocher et à toucher un peu, alors qu’une portière complètement ouverte dit clairement : Si vous voulez un trio ou une orgie, vous êtes invité. Le voyeur décidera s’il cesse d’observer et passe à l’action.
Il est important, outre d’utiliser des préservatifs, d’informer très bien des règles de chaque groupe et de suivre les recommandations de sécurité qu’ils donnent, n’oubliez pas que le sexe en public est illégal c’est pourquoi suivre les normes est la priorité.

A sweet little hitch-hiker. I
( Une charmante petite autostoppeuse.)
To be followed…

03/07


Par Caroline Desages


Les femmes fantasment.( Attention! La gentille Caroline invente l’eau tiède!) Elles sont même 96% selon une étude Ipsos analysée par le sexologue Sylvain Mimoun à l’avouer et 80% à se dire prêtes à les réaliser.( Caution des experts et des chiffres…invérifiables!) Ouf ! On n’est pas seules à penser à Ryan Gosling pendant qu’on fait l’amour avec notre (vrai) amoureux ! Les femmes fantasment, mais sur quoi, exactement ? Voici le top 10 des fantasmes sexuels des femmes !
Plan à trois, décor de rêve, partenaire de rêve, dominante ou dominée, vous avez bien un fantasme sexuel ? Ne rougissez plus, la très grande majorité des femmes en a au moins un en tête. Reste à savoir si vous souhaiter l’assouvir…
Les pratiques sexuelles qui nourrissent les fantasmes sexuels féminins
Coucher avec une autre femme
Même en couple depuis dix ou quinze ans, les femmes sont nombreuses à ne pas cacher une certaine curiosité pour les amours saphiques.
Rien de très surprenant à ce que les filles rêvent des filles. Les raisons sont nombreuses, et notamment la curiosité, l’excitation de la « terra incognita », l’envie de caresser des formes voluptueuses… avec l’avantage de connaître ce même corps.
Le fantasme du plan à trois avec deux hommes
Vous vous en doutez, dans le top 10 des fantasmes masculins, le plan à trois se décline avec deux femmes. Et d’ailleurs tant qu’à faire, dans ce fantasme de triolisme, autant mettre chouchou sur la touche et convoquer deux hommes parfaitement inconnus au bataillon.
Non parce que si notre mec nous claque une scène de jalousie même virtuelle, ça n’a pas grand intérêt. Coucher avec deux garçons, c’est résoudre pas mal d’équations impossibles à deux, que nous ne détaillerons pas ici mais dont vous devriez à peu près saisir le sens.
C’est aussi devenir, le temps du fantasme, un objet de désir et d’attention, voir deux hommes se battre pour nos faveurs et se démener pour être celui qui déclenchera le plus de soupirs. Un fantasme 100% bon pour l’ego…
Être dominée (de manière consentie, bien sûr)
Jouer, le temps d’une nuit ou d’un après-midi, à « Jack a dit »,( « Jacques a dit » ça fait ringard!( ben quoi?) Voir plus loin…NDI ) Jack s’appelant en l’occurence Edouard ou Jean-Paul (ben quoi?), ça peut être assez excitant.
Parmi les fantasmes sexuels féminins les plus courants, figure le fait de regarder furtivement (ou pas) par le trou de la serrure.
Autant les pornos ultra visuels et bien trop crus vous laissent de marbre, autant l’idée de « mater » ce couple bien sexy croisé en boite en train de faire l’amour fait monter en vous une excitation qui n’a rien de fantasmée.
D’ailleurs, vous iriez bien faire un tour dans les clubs échangistes, juste pour regarder, des fois que certains auraient quelques trucs à vous apprendre. Non ?
Les fantasmes sexuels des femmes : moniteur de voile et sable chaud
Faire l’amour sur la plage
Un fantasme féminin très fleur bleue qui ne résiste souvent pas du tout au passage à l’acte (rapport au sable qui s’immisce PARTOUT).
Il n’empêche que nous sommes nombreuses à avoir fait ce rêve d’une nuit enfiévrée à la belle étoile, des caresses rythmées par le bruit des vagues, avec cette sensation d’être seuls au monde.
Il va de soi que si l’homme avec qui on fait l’amour sur la plage ressemble à Jude Law, c’est encore mieux. Mais ce fantasme marche aussi avec chouchou, car là, c’est l’endroit pour faire l’amour qui nous excite, pas le garçon (enfin, si, aussi, on se comprend).
Faire l’amour dans un palace
L’amour dans un palace, dans un yacht, dans une sublime maison sur les hauteurs de Los Angeles, on n’est pas sectaire, du moment où il y a king size bed et room service, on prend.
Même si à minuit on se retrouve dans notre deux pièces cuisine au fin fond de la banlieue parisienne !
Le moniteur de planche à voile, de ski ou de tennis, peu importe, pourvu qu’il soit jeune et beau
Bien sûr, on aime les hommes qui ont de la conversation. Mais… mais tout de même, Yohan, le prof de kite surf, a peut-être 2 de QI mais en revanche les tablettes de chocolat sont toutes là, parfaitement alignées.
Idem pour Pierrot le mono de ski, c’est simple, vous faites exprès de rater vos virages pour rester bien derrière lui et son petit cul moulé dans sa combi.
Coucher avec une star
C’est le fantasme sexuel number one. Après évidemment, il y a des variantes, en gros, Georges Clooney période « Docteur Ross » ou Georges Clooney période « Nespresso – what else ».
Ok, les jeunes générations craquent plutôt pour Robert Patinson ou Ryan Gosling. Mais peu importe le people à vrai dire, pourvu qu’il y ait l’orgasme. Non parce qu’évidemment, quitte à fantasmer, la star est forcément très performante et bien plus dégourdie que le garçon lambda rencontré au café.
Bref, fantasmer sur un people ça ne coûte pas cher, ça n’est pas très culpabilisant – parce que trop improbable – et permet souvent de pimenter nos ébats conjugaux.
Faire l’amour avec un inconnu, le fantasme sexuel le plus hot
Après la star, l’inconnu. Autre fantasme ultra répandu chez la gente féminine. Si l’inconnu ressemble à Brad Pitt c’est encore mieux mais ça n’est pas obligatoire. En gros, l’idée, c’est le « eye contact » dans un bar avec un gars au regard de braise.
Dans ce fantasme sexuel, ce dont on rêve c’est du sexe pour du sexe, zéro sentiments, zéro engagement d’un côté comme de l’autre, juste du plaisir complètement gratuit et sans lendemain.
Quel ramassis de cucucherie hypocrite!
(NDLR)

A sweet little hitch-hiker II

04/07
Café, dans le petit matin tiède et gris, derrière les persiennes à demi ouvertes. Dehors, il pleut tranquillement, vent d’ouest, marin et doux… même pas désagréable… La radio, en sourdine, sur Fip diffuse un programme de Cool Jazz…
Le morceau s’achève. Un autre…
Riff d’intro, que je reconnais instantanément: Hang on Sloopy. » The Mc Coys, 1965!
Extraordinaire madeleine qui me replonge des années en arrière dans l’enivrante pop-rock de l’époque, sa légèreté, sa facilité insouciante… Chanson un peu simpliste, que je reprendrai avec mon groupe , quelques années plus tard… et dont, je l’ai appris récemment, l’état d’Ohio, a fait sa chanson bannière !!
Plus que tout, c’est l’adorable passante, dont la présence est tout, sauf fortuite, s’arrêtant pour danser, qui me faisait rêver, et enflammait mon imagination, chaque fois que je pouvais voir cet ancêtre des clips, que l’on appelait, à l’époque, Scopitones
Alors, en hommage à la jolie Liz Brewer ( j’ai appris son nom bien des années plus tard…), ce clip, non! Ce Scopitone…

05/07
« More ! More! More ! » La prière du rêve américain se fait dans cette langue : les américains, héritiers directs, en à peine plus vulgaires de ce que sont les anglais, dépositaires et garants d’un nazisme naturel, qui les a longtemps fait lorgner du côté d’un providentiel vainqueur, qu’on aurait pu accueillir en tant que tel, s’il n’avait, l’imbécile, gâché ses chances, en menaçant les intérêts directs de la couronne. Save Our Souls…
Oui, je sais…Provoc’… je l’ai déjà dit, j’aime!

A sweet little hitch hiker III

07/07
Parce que je ne me sens jamais autant moi-même et pleinement heureux que lorsque je fais l’amour et lorsque je joue de la musique… Honneur à Mademoiselle Ashley Campbell aussi belle que talentueuse, qui m’a presque fait ressentir ces deux impressions simultanément ( il ne me restait qu’à prendre la place du vieux guitariste, et tenir VRAIMENT l’adorable Ashley dans mes bras…un détail!) . Un moment de pur bonheur!
Thanks, Ma’am!

“Le temps n’a que de la longueur. Il est semblable à lui-même dans toutes ses parties et peut être considéré comme constitué d’une simple addition d’instants successifs ou comme un flux continu d’un seul instant.”
Et la mignonne s’en fout pas mal…!
A sweet little hitch hiker IV


Réinventant l’eau tiède, lui aussi, le Cosmopolitan, découvre une nouvelle position sexuelle…A lire, sans rire!
Ca s’appelle, le triangle lumineux et c’est dans le Kamasutra depuis à peu près 1500ans.
La position sexuelle du triangle lumineux une variante du missionnaire
Vous maîtrisez la position du missionnaire à la perfection, et c’est l’une de vos préférées ? Cela tombe bien, puisque nous allons simplement vous proposer de l’améliorer un tantinet. La position du triangle lumineux est un peu plus sportive, tout en restant très praticable même pour celles et ceux qui n’ont pas 15 ans de gymnastique derrière eux.Lire aussi : 5 façons de pimenter le missionnaire
Pour un couple hétérosexuel (les couples gays et lesbiens peuvent bien sûr aussi la pratiquer), il faut adopter le même placement que pour le missionnaire : la femme sur le dos en dessous. Sauf qu’au lieu de garder tout le dos collé au matelas, celle-ci doit lever le bassin. Il suffit de replier les jambes à 90 ° (comme pour faire un pont), et d’appuyer légèrement sur les talons pour vous placer un peu en hauteur. Le poids doit reposer sur vos épaules.
L’homme vient ensuite se placer au dessus pour vous pénétrer, et reste à quatre pattes sur les genoux et les mains.

09/07
A sweet little hitch hiker V

10/07
J’ai adoré ce petit texte, non pour le jeu du bonbon dans le con, amusant… Mais pour le portait de la belle libertine que chacun d’entre nous aimerait croiser , au moins, une fois… Une vraie féministe, peut-être!
« Le soir amena pour ma jolie compagne et moi une nouvelle suite d’orgies amoureuses commencées dans un cabinet particulier où nous fîmes mille folies, entre autres celle de lui mettre un bonbon dans le con et d’aller l’y chercher avec ma langue, ce dont elle m’offrit la réciproque en léchant de sa langue rose mon vit qu’elle avait enduit de crème à la vanille… Jamais je n’avais vu une femme apporter tant d’intelligence, tant de grâce à pratiquer les cochonneries les plus raffinées, et cela sans avoir l’air d’y toucher.
Le lendemain matin, je me trouvais au lit avec elle, repassant en mon esprit toutes les jouissances de ces deux jours. Était-ce un rêve ?… Ce qui n’en était certes pas un, c’était cette bouche que je baisais, ces tétons sur lesquels ma main s’arrondissait, ce con où je glissais un doigt, en un mot, cette délicieuse femme aux chairs fermes et parfumées que mon baiser venait de réveiller et qui me livrait en souriant son corps.
Elle me le livrait ; car ainsi que me l’avait dit mon ami, c’était par vocation qu’elle s’adonnait à la lubricité comme d’autres à la religion. Sa position civile lui permettait de faire de l’art pour l’art. Elle ne refusait pas les cadeaux que lui valaient ses charmes (quelle est la femme qui en refuse ?), mais elle ne les sollicitait jamais, satisfaite d’employer ses appas et sa science de l’amour à faire jouir qui lui plaisait et d’en recevoir la réciprocité, confiante dans la galanterie de l’amant qu’elle honorait de ses faveurs. » (La Chandelle de Sixte-Quint ou Une aventure photographique).
A sweet little hitch hiker. VI

11/07
D’habitude, je n’aime pas ce que l’on appelle »la moto verte » (!). Mais, là…

Un peu calendrier « Pirelli »…d’accord! Mais cette jolie fille me plaît beaucoup!

12/07
Titre qu’un journaleux en mal d’originalité, donne à l’article qu’il est chargé d’écrire sur Rodin: « Rodin, érotomane ou pornographe? »… Vivent les cons!

A sweet little hitch hiker VII



Tik-Tok: Comment le marché pourrit la tête de nos gosses.
Regardez les, ces petites morpionnes, toutes plus belles les unes que les autres et aussi délurées que des actrices porno confirmées… des ados de 14 ou 15 ans…
Ma petite fille a 13 ans, elle est belle comme le jour…et elle poste des vidéos sur TIK-Tok, j’ai vu son téléphone…Un de ces quatre, je vais la retrouver, elle aussi, à se tortiller, à poil , au son de rythmes à la con, sur un site porno !! Au-secours !!!

18/07







19/07
Waoohhh…!!! She’s beautiful! Let me ya ’bout the Yankee rose!!!


21/07
Nous y sommes!
Depuis le temps que je m’extasiais devant l’utilisation de la nudité et des coups au-dessous de la ceinture, dans les clips musicaux, me demandant quand Lady Gaga ou Lady Madona, finiraient par s’y faire baiser pour mieux vendre leur soupe, il fallait que ça arrive...
Nous sommes loin de la qualité musicale de la vidéo précédente, mais il faut reconnaître que le jeu de scène est autrement suggestif… Un bon point, malgré tout, pour le gros, qui s’applique à limer en rythme, et une mention spéciale pour la « chanteuse », joli minois, très beaux seins, mignonne petite chatte… beaucoup de talent…qui réussit l’exploit de mener à terme une fellation, avec éjaculation buccale, tout en assurant un play-back (presque) correct.
Une mise en scène inventive, dans un décor agreste de bon goût… Une belle réussite!

Il existe une version « Par derrière, c’est plus cher… » Mêmes producteurs , sûrement un peu rapiats. C’est le même décor raffiné, qui a été utilisé pour tourner ce clip, du même tonneau… Pom, pom, pom, po, rom, pom, pom…Enjoy!

23/07
Le premier film de fisting. Version longue… Où la mignonne s’avère être une sacré gourmande…!
Titre original du film: « Arabian shaving »…

24/07
Les trésors s/nacrés de Fabienne.


27/07

01/08
She’s a woman.


Il y a les Milf’s… La jolie Kate , c’est une Kihlf.

Kitten I’d Have Liked to Fuck.



Extrait du film que la très belle Delphine Seyrig Tourne en 1976 dans lequel elle affirme avec force ses convictions militantes féministes. On y voit Jane Fonda , jeune actrice montante, y dévoiler les mécanismes de l’impitoyable machine à fabriquer les futures vedettes.
Il aurait été intéressant que Delphine Seyrig fasse témoigner un acteur sur son expérience à ce sujet… Ce genre de traitement n’étant, il y a fort à parier, pas seulement réservé aux femmes.

05/08
Je déteste la pub, je hais la pub, je vomis la pub… mais pas là!

24/08
Rien depuis le 5…Qu’est ce que je bosse…! Va falloir que je me calme!
Barbi(e)turix webzine.
(magazine en ligne, pour la promotion de la culture lesbienne)
On croit souvent et peut-être à tort que le fist est une pratique trop extrême pour la sexualité “de tous les jours”. Particulièrement répandue dans le porno lesbien et queer, on a du mal à la concevoir comme une pratique courante. Il me semblait donc légitime (!) de demander à nos lectrices si elles le pratiquaient. Témoignages.
Des dispositions psychologiques ou purement physiques ? C’est sans doute un état général qui permet de recevoir dans son vagin un poing entier. Mais concrètement, qu’est-ce que le fist ? Pourquoi le fist ? Et surtout, qu’est-ce que ça fait ? Sept filles racontent :
Ismène : « La première fois que j’ai inséré ma main, enfin, mon poignet – pour ne pas dire mon bras – dans la fille avec qui j’étais, j’avais 19 ans. Pour moi, le fist s’apparentait plus au fait d’accoucher un veau que de donner du plaisir à ma “partenaire” et j’étais résolument décidée à ne jamais accomplir un acte sexuel qui me procurait à première vue plus de dégoût que de plaisir. MAIS. Dans le feu de l’action, surtout avec les petits yeux implorants de la nana dont j’étais raide (ainsi que les deux bouteilles de blancs que j’avais ingurgité), je me suis dit : “pourquoi pas ?”. J’en garde un souvenir assez précis et plutôt comique. Ladite fille qui m’expliquait dans le feu de l’action comment m’y prendre en comparant la chose à un super-héro Marvel doté de griffes assez puissantes : “une fois que t’es dedans, fais comme lui !”. Inutile de dire que de mon côté j’avais plus envie de textoter la punchline à une de mes potes plutôt que de me concentrer sur mon jeu de paume… Heureusement, je ne suis pas si buffle que ça et je me suis attelée à la tâche les sourcils froncés de concentration. Personnellement, je n’ai pas spécialement pris mon pied, un peu seulement en voyant cette fille gémir de plus en plus mais c’était tout. Pas de révélation sexuelle miracle, pas d’orgasme réciproque mais juste une expérience mouillée et, disons, enrichissante. Dans le futur, je ne me vois pas expressément pousser la fille que je fréquente à se faire fister vaginalement. Je ne suis pas ressortie dégoûtée de cette expérience seulement, aujourd’hui, ce n’est pas une activité que j’aimerais reproduire dans mon intimité. Bon, après, si ma “meuf” souhaite ramasser mon petit poignet avec ou sans gants Mappa, ok. Je sais donner de ma personne sans y être forcée non plus… »
Laura : « Je n’ai jamais pratiqué le fist sur une fille parce que je n’aimerais pas ça. Quand je doigte une fille je ne vais pas forcément en profondeur, je préfère “jouer” et contempler et observer les réactions de l’autre… Avec le fist on ne voit rien ! Pourtant, et aussi étonnant que ça puisse paraitre, j’adore qu’on me le fasse, mais pas de façon prémédité. Ce qui est vraiment excitant c’est de ne pas voir tout ce qui se passe et du coup ne pas comprendre, laisser aller les sensations… Il y a aussi un peu de honte je crois, mais une honte coquine. Et donc voilà t’es là, ton/ta partenaire s’affaire à te caresser et te tripoter tout en te regardant intensément dans les yeux et puis ça avance petit à petit, je n’ai pas forcément besoin de lubrifiant si je suis bien excitée. Ce qui ma plait c’est le doute et l’inconscience de ce que les mains font : où en est-on ? Qu’est ce qui est déjà rentré ? Quoi déjà mais non? Mais oui ! J’aime aussi l’aspect “partage” de cette partique. Ce n’est pas juste le pénétrant qui profite du voyage. T’as l’impression d’être en expédition, tu te sens vraiment complice et très proche. Je trouve qu’ au niveau des sensations, c’est vraiment charnel… J’atteins rarement l’orgasme dit “vaginal” et me pénétrer moi-même ne me provoque presque aucune sensation ! Lorsque “je pratique le fist” tout mon corps est en apesanteur, j’ai chaud, c’est un peu comme si je rougissais de tout mon être. Je m’oublie, c’est l’intensité qui me submerge…Et ensuite quand je ne veux plus, je retire doucement la main de ma partenaire et je suffoque… Et là, à ce moment tu as juste envie de te fondre avec l’autre alors tu fais un gros câlin très fort et tu te sens reprendre le contrôle en douceur et c’est magique. »
Sophie : « Je ne sais pas si je dois dire que je pratique ou que j’ai pratiqué. Je pratiquerai sans doute encore. Enfin, le fist est quelque chose pour moi d’exceptionnel, dans tous les sens du terme. C’est une sensation et une émotion très forte, J’ai été vraiment très étonnée que l’on puisse jouir autant de cette manière, mais cela ne reste pas facile à gérer, tant émotionnellement, physiquement que psychologiquement. J’éprouve une double sensation attirance/crainte chaque fois que j’y pense, bien que j’y ai vraiment pris du plaisir. Cela me demande un travail sur moi, ça ne va pas de soi. Un travail de lâcher prise et de confiance exceptionnelle. »
Sonia : « J’ai été initiée au fist très tôt, lors de mon troisième rapport sexuel… C’est venu sans discussion préalable, mais par “tâtonnement” si je puis dire ainsi. J’étais inexpérimentée, mais pas mon partenaire (à l’époque il s’agissait d’un homme, plus âgé que moi). La première fois a été assez douloureuse, mais en même temps j’ai tout de suite aimé cette sensation de possession, que je trouvais extrême à l’époque. Jeune, j’étais une “peine à jouir”, et cette pratique était une des seules qui me permette de parvenir à l’orgasme. D’ailleurs, avec le temps et l’expérience, je me suis découverte sexuellement, mais le fist reste toujours la pratique qui me procure la jouissance la plus violente et la plus physique. C’est la raison pour laquelle j’ai systématiquement pratiqué le fist depuis avec tous mes partenaires, hommes ou femmes. C’est d’ailleurs via le fist que je me suis découverte fontaine. Pendant des années j’ai été uniquement receveuse, jusqu’au jour où j’ai été avec des femmes. En tant que receveuse, je connais la puissance de cette pratique, et j’ai toujours été très attentive aux réactions des femmes avec qui je donnais. Je trouve qu’il n’y a pas de pratique plus puissante que celle-ci dans la possession de l’autre, tant en tant que donneuse que receveuse. »
Douane: « J’ai un corps super grand et super large, forcément, mon vagin est proportionnel à ce corps, je peux y entrer des objets assez volumineux. La première fois que j’ai pratiqué, c’était l’année dernière, je découvrais le SM avec mon ex, et les sensations un peu extrêmes m’ont immédiatement plu. Ça s’est fait hyper naturellement, on faisait l’amour, j’avais envie de plus, d’avoir la sensation d’être entièrement remplie, et je lui ai demandé de mettre toute la main, elle y est parvenue sans mal. Les sensations étaient incomparables à ce que j’avais connu jusque-là, je crois que c’est une des choses qui me fait ressentir le plus d’émotions au monde. Je suis uniquement receveuse, déjà parce qu’il faut être capable d’encaisser physiquement et ensuite parce que je suis (malgré moi) souvent attirée par des filles qui n’aiment pas la pénétration. J’ai remarqué que je pratique le fist par périodes, parfois je n’ai envie que de ça, je suis dans des phases d’hyper activité sexuelle et “le seul moyen de me calmer” c’est de me faire fister et parfois je le délaisse pendant un certain temps. Même si c’est pratiqué en douceur, c’est quand même assez extrême, et il m’est impossible de faire ça tous les jours. Ce que j’apprécie particulièrement dans cette pratique, est le fait qu’elle a quelque de chose d’hyper intime à mes yeux, beaucoup plus qu’une fellation je trouve. Pour moi, accepter de laisser ma copine me faire ça c’est admettre de manière induite que je lui fais totalement confiance, ça nécessite de la douceur, d’être attentif à l’autre, de bien gérer une éventuelle douleur. Puis avouer un tel désir à l’autre, ce n’est pas toujours évident. Après, n’ayant pas essayé des milliards de choses dans le sexe, je ne peux pas établir de grandes comparaisons, mais cette pratique est une de mes préférées. »
Sarah : « J’ai commencé il y a peu, avec une fille qui n’était pas safe (ça, je m’en suis rendue compte après malheureusement) elle voulait absolument me fister mais elle ne prenait pas assez le temps du coup elle forçait un peu… Je l’ai refait ensuite avec une autre fille très bienveillante et c’était fabuleux ! Il faut absolument que la receveuse soit détendue, consentante (oui ça paraît évident, mais bon mieux vaut le rappeler) et qu’elle ait confiance en sa/son partenaire. Ne surtout pas oublier de mettre du lubrifiant en abondance pour éviter les blessures éventuelles et y aller doucement, ne surtout pas forcer la pénétration vaginale. Sinon c’est une sensation de dingue, un de mes plus gros orgasmes très puissant. Je crois aussi que ce n’est pas fait pour toutes les morphologies, une femme/mec trans pas trop large vaginalement parlant ne pourra pas le pratiquer. En tant que donneuse c’est également une sensation de foufou, un truc super intime, une relation profonde (c’est le cas de le dire) et très intense. Je peux jouir rien qu’en fistant ou pénétrant simplement une fille tellement c’est bon (si la fille/mec trans aime ça) J’aime vraiment beaucoup la pénétration du coup je me suis toujours demandée ce que ça faisait, quand c’est pratiqué avec bienveillance et de manière safe. Par contre gros point négatif, nous nous sommes jamais protégées. On a essayé d’utiliser des gants avec une pénétration mais ça nous a fait débander direct, on s’est bien lavé les mains avant et on mis beaucoup de lubrifiant. Si tu en as l’envie et que ta partenaire aussi je te le conseille c’est un moment très intense ! Prenez votre temps surtout allez y doigt par doigt doucement jusqu’à arriver au poignet sans même que vous ne vous rendiez compte.
Marion : « Je me souviens d’une fois mémorable où j’étais avec une fille très libérée sexuellement (comme moi) et nous l’avons fait devant un miroir, en plein jour. C’était moi qui “recevais”, et c’était fabuleux. Un mix entre la découverte de soi-même (l’observation devant un miroir) et le voyeurisme. Et l’impression d’être parfaitement à l’aise avec mon corps et son apparence. Dans une acceptation totale. Au niveau des sensations, je dirais que le fist donne l’impression de dépasser un peu les limites de ce dont mon corps est capable (tout en restant dans le plaisir, je veux dire, sinon l’accouchement dépasse bien ces limites-là ) Et au niveau psychologique, ça me fait penser au fait que quand je suis très amoureuse et que je fais l’amour, ça se rapproche de cette idée d’engloutir l’autre entièrement, de ne faire qu’une. C’est une envie qui me vient souvent quand je suis amoureuse justement. »
Et vous, vous avez pratiqué le fist ?


HISTOIRE DU GODEMICHET
12 FÉVRIER 2019|IN SCIENCE ET MÉDECINE|BY MARIELLE BRIE
Longtemps tabou, l’objet suscite depuis toujours une large palette d’émotions dont je te laisse établir l’inventaire. Voici, pour toi lecteur affamé, l’histoire du godemichet.
Nota bene : sans être une lecture d’enfant de cœur, cet article s’en tiendra à l’histoire de ce jouet illustré de photographies et dessins de sex toys qui, tu t’en doutes, n’auront pas le loisir de plaire aux plus pudibonds.
Le quizz à la fin de cet article est garanti sans images olé olé.
Le début d’un Art
Intérêt récurrent à toute l’humanité, le sexe demeure une des préoccupations centrales des sociétés. Dès la Préhistoire, de nombreux phallus sont sculptés dans la pierre ; pour autant, ces objets semblent avant tout remplir des fonctions symboliques de fertilité visant à favoriser les récoltes. Pas de quoi folâtrer dans des grottes tapissées de peaux de bêtes.
En revanche, certains objets phalliques sèment le doute… Rien n’empêche d’imaginer une utilisation pratique autre que symbolique. Néanmoins, la famille Pierrafeu demeurant très mutique à ce sujet, nous ne sommes pas en mesure aujourd’hui d’affirmer que ces objets aient pu un jour réchauffer les longues soirées des périodes glaciaires.

Phallus sculpté néolithique en pierre calcaire. Retrouvé à Maumbury Rings, site néolithique de Dorchester et actuellement présenté au Dorset County Museum de la même ville. © CM DIXON/Print Collector/GETTY Images

Plusieurs sculptures phalliques gravées figurant des prépuces rétractés ou absents, des piercings, des cicatrices et des tatouages. Circa 12 000 av. J.C © Javier Angulo / Hospital Universitario de Getafe, Espagne
Je n’évoquerai pas la légende qui veut que Cléopâtre ait inventé le vibromasseur en alliant de solides connaissances en matière de pratiques sexuelles et de non moins intéressants talents dans le domaine de l’apiculture. Rien n’atteste formellement qu’un rouleau de papyrus rempli d’abeilles ait été utilisé par la reine comme sex toy. Par ailleurs, les Grecs et les Romains ayant fait un bon boulot en matière d’influence culturelle, il serait injuste de ne pas leur rendre hommage. Les choses commencent donc à devenir intéressantes avec l’Antiquité grecque durant laquelle c’est souvent la fête du slip. Mais pas pour tout le monde.
Les mythes grecs assignent à la femme une position peu enviable. La première femme, Pandore, est créée par Zeus pour punir les hommes. Ambiance. À cause d’elle, les voici désormais mortels et obligés de se reproduire ; le sort s’acharne. Au Ve siècle avant J.C., la femme est considérée comme une jarre destinée à recevoir la semence de l’homme jusqu’à ce que les textes d’Aristote, Hippocrate ou Gallien estiment qu’à part égale l’homme et à la femme participent à la création d’un enfant.
Néanmoins, et pour contrebalancer une démarche par trop égalitaire, ils inventent le concept d’hystérie qui aura un impact direct sur l’utilisation de godemichet dans les siècles à venir.

Godemichet © RMN-Grand Palais (musée de Cluny – musée national du Moyen-Âge) / Franck Raux
Ce concept considère l’utérus comme un être à part entière capable de provoquer la folie voire même le suicide chez la femme. Pour remédier à ce mal, il est primordial que la femme ait des enfants le plus vite possible et surtout qu’elle reste à la maison (et accessoirement qu’elle la boucle.). La bonne citoyenne grecque reste à demeure. Celle qui sort est le plus souvent considérée comme une catin rôdant dans les rues, avide d’assouvir son insatiable besoin de sexe, telle une bête en chaleur à la fin du mois de septembre. Tu n’ignores pas, en effet, que les femmes sont à ranger du côté de l’animalité plus que de l’humanité.
Tirésias qui est malencontreusement puni par les dieux et condamné (condamné) à être une femme n’y va pas par quatre chemins : à l’aune de sa tragique expérience, il assure que les femmes ressentent plus de plaisir sexuel que les hommes. Tout le temps. Les garces. La sentence est sans appel et brille d’une objectivité désormais irréfutable : les hommes doivent avoir un contrôle sur les femmes car eux seuls sont capables de garder la tête (mais pas que) froide.
Toutes ces considérations sont importantes car elles vont influer sur l’utilisation des godemichets. Dans la pièce Lysistrata qui a pour cadre la guerre du Péloponnèse (Ve siècle avant J.C.) au cours de laquelle une grève du sexe est organisée par les femmes. Aristophane en profite pour aborder la pratique de l’onanisme chez les citoyennes grecques. Le personnage Lysistrata, qui fut magistrat avant de devenir un groupe de rock, démontre aux femmes (ces connes) que non seulement elles n’ont plus de maris (partis guerroyer), plus d’amants (partis accidentellement buter les maris ou victimes de la grève), mais qu’il n’est désormais plus possible pour elles de se procurer de salutaires godemichets car ces fumiers de Milésiens, fins artisans de ce genre d’objets, ont quitté l’alliance d’Athènes.

Godemichet en cuir rembourré de soies et daté du XVIIIe siècle Retrouvé à Gdansk en Pologne. Les exemplaires antiques ressemblaient pr
Ce qu’on retient de cette pièce (que tu n’as pas lue) c’est que les godemichets faisaient déjà l’objet d’un artisanat spécialisé (à Milet) ce qui atteste donc d’une utilisation courante. Car la société grecque avait en effet tout intérêt à encourager les respectables citoyennes à user de l’olisbos (le nom qu’on donnait alors à ce jouet singulier) car qu’était-il préférable ? Que les femmes, ces créatures libineuses, se vautrent dans le stupre, arpentant les rues et bousillant au passage la réputation de leur famille – durement acquise – en forniquant à tout va ou qu’elles restent sagement à la maison à manipuler avec adresse des olisbos made in Greece pendant la sieste des gamins ? Tirésias n’aurait aucun mal à répondre à cette question.
La pièce d’Aristophane est par ailleurs riche d’enseignements pratiques. On y apprend que les olisbos étaient fait du même cuir servant à la fabrication des sandales. Grâce à d’autres textes, on sait aujourd’hui que les godemichets antiques étaient rembourrés (d’herbes séchées, de soies, de poils d’animaux ou de tissus) et enduits d’huile végétale pour les lubrifier. Malheureusement, aucun exemplaire de ces délicieux objets n’a été à ce jour retrouvé.
Par chance, les céramiques ne sont pas avares de représentations de phallus susceptibles d’illustrer des olisbos :

Amphore de type C (CVA 307) Vers – 490 Petit Palais, Paris © Stéphane Piera / Petit Palais / Roger-Viollet
La Rome antique aura, peu ou prou, le même raisonnement que les Grecs à l’égard de la sexualité des femmes. L’acte sexuel doit servir uniquement à alimenter la cité en nouveaux citoyens et les femmes respectables ne prennent pas de plaisir pendant l’acte. D’après les textes romains antiques, l’utilisation de godemichets semble avoir été moquée et méprisée. Pourtant, son nom antique gaude mihi (qui donnera plus tard godemichet) signifie littéralement « réjouis-moi». Et il est difficile de croire qu’il ne fut pas plus employé en ce sens. Par ailleurs, Pétrone évoque dans le Satiricon un phallus de cuir ressemblant aux descriptions grecques des olisbos. Aucune d’innovation technique n’est donc à noter durant l’antiquité romaine.
Le godemichet : l’ami de la vertu chrétienne
Au premier abord, godemichet et chrétienté semblent peu s’accorder. L’absence de sex toys dans les boutiques vaticanes le confirme indéniablement. Pourtant force est de se rendre au sage adage prescrivant « de deux maux, le moindre ».
Au Moyen-Âge, la chrétienté entend donc cracher sur les païens impies mais pas sur la conception qu’ils se font des femmes. Les femmes sont viles et concupiscentes. C’est à cause de la première d’entre elles, Ève, cette trainée, que l’homme est obligé de travailler dur au lieu de courir à poil dans un jardin sous l’œil ému de son créateur. Grégoire le Grand (540-604) clarifie donc l’opinion de l’Église sur la sexualité : « Nous ne prétendons pas que le mariage soit coupable […] mais il ne peut avoir lieu sans volupté charnelle ».
Au Moyen-Âge, le mariage doit unir deux personnes dont le seul but sera de pondre de nouveaux chrétiens (#CopyComic Rome antique). Impossible pour Greg de cracher dans la soupe, si tout le monde se range au célibat, il finira tôt ou tard par perdre son emploi confortable et parfumé faute de fidèles à houspiller. L’Église n’aime pas le sexe alors elle le restreint. Au maximum. Seulement pour procréer et jamais au grand jamais pour le plaisir (des sanctions existent bel et bien en cas de flagrant délit, bien que l’entreprise soit ardue). Unique point positif dans l’horizon bien sombre de l’histoire du godemichet, l’onanisme est sévèrement réprimé pour les hommes (c’est un « vice contre nature », une « mollesse » qui gaspille la semence masculine et voue l’espèce à l’extinction) mais est encouragé pour les femmes. Amen.

Si la masturbation est tolérée pour les femmes ce n’est pas une charité chrétienne ou un encouragement anachronique à la libération sexuelle. C’est même tout l’inverse. Dans la pensée chrétienne médiévale tout comme dans la pensée antique, les femmes ne savent pas contrôler leurs pulsions sexuelles, la preuve en est qu’elles sont parfaitement incapables de stopper leurs menstruations (#dieuesthumour). Alors Albert le Grand (1200 – 1280) trouve à la masturbation féminine des vertus thérapeutiques qui, sur le plan social, permettent d’éviter adultères et autres bâtards tout en garantissant la pureté du lignage.
Il existe peu de mentions de la nature des godemichets au Moyen-Âge mais les pénitentiels (livres aidant les clercs à l’administration du sacrement de pénitence) font état de femmes utilisant pour leur plaisir des légumes ou des objets fabriqués en bois.
Les catégories sociales les plus riches auront quant à elles accès, dès le XVe siècle, à des godemichets de luxe vendus dans les grands centres urbains d’Europe de l’ouest.
Au XVe siècle, le marché du luxe ne dénigre pas les préoccupations voluptueuses et satisfont les goûts dispendieux – sinon libidineux – de leur riche clientèle par d’exceptionnelles pièces délicatement soufflées en verre Murano.
Godemichet en verre, XVIe siècle. © RMN-Grand Palais (musée de Cluny – musée national du Moyen-Âge) / Franck Raux

Les sex toys produit par la délicate Murano deviennent rapidement des objets témoignant d’un certain raffinement dans les classes aisées. Rendons grâce aux Ragionamenti de Pierre l’Arétin (1492 – 1556) grâce auxquels l’Europe découvre ces produits ce luxe ; dans ce manuel destiné aux filles de plaisir l’écrivain décrit par la voix de la courtisane Nanna la livraison d’un panier de fruits comestible d’une manière que la morale condamne, en particulier dans un établissement religieux rassemblant prêtres, abbés, novices, nonnes et abbesses :
À peine avaient-ils posé les yeux sur ces fruits du Paradis […] que les mains des hommes et des femmes se jetèrent sur ces fruits de la même façon que les gens se précipitent sur les bougies jetées de la Loggia le jour de la chandeleur.
Demandant ce qu’étaient exactement ces fruits, sa protégée Antonia appris qu’ « ils étaient ces fruits de verre fabriqués à Murano… à la forme de témoignage d’homme. »
Désignés en Italie par le nom de diletto (délice) ou de passatempo, ils étaient connus en Angleterre sous le nom de pastinache muranese « panais de verre ». Un poème de Thomas Nashe, The Choice of Valentines, présente l’héroïne préférant à un jeune homme éjaculateur précoce son little dildo en verre qui ne risquait « jamais de faire gonfler [son] ventre avec un enfant » et qui se nourrissait « d’eau chaude ou de lait » permettant de simuler une éjaculation au moment de l’orgasme.

Une jeune fille testant avec sérieux le matériel fabriqué à Murano. Estampe érotique de Marcantonio Raimondi (circa 1470/82 – 1527/34). Nationalmuseum, Stockholm
La fête du slip
L’outil se perfectionne et gagne en réalisme. La littérature érotique des XVIIe et XVIIIe siècle se laisse volontiers aller à quelques grivoiseries et permet d’enrichir notre connaissance, et la tienne au passage, en matière de godemichets. Charles de Cigogne, auteur érotique (euphémisme. Les écrits sont parfaitement pornographiques) du XVIIe siècle, nous est ici d’une aide précieuse puisqu’il dédit un poème à ces jouets, Godemichy :
« Mais je me plains que tout le jour,
Fuyant même le nom d’amour,
Vous contrefaites la doucette,
Cependant que, toute la nuit,
Vous prenez un nouveau déduit
Avec un manche d’époussette. […]
Une autrefois, il faut choisir
Le temps, le lieu, et le plaisir
De vous caresser à votre aise ;
Usant de ces bâtons polis
Dont l’on rehausse les gros plis
Et les bouillons de votre fraise.
Ceux de velours ne coulent pas,
Ceux de satin deviennent gras,
Et sont rudes à la couture ;
Ceux de verre, par un malheur,
S’ils se cassaient, en la chaleur,
Vous pourraient gâter la nature.
Il vaudrait bien mieux pratiquer
L’amour même, sans se moquer,
Sans aimer l’ombre de son ombre,
Et sans un ébat tout nouveau,
Vous jouer de quelque naveau
Ou d’un avorton de concombre. »
Voilà bien un inventaire riche et détaillé, présentant avantages et inconvénients de chaque modèle. Manche d’un petit balai, bâton poli, en velours, en satin, en verre ou sélectionné dans les allées d’un potager, les avatars phalliques ne manquent pas. On devine bien sûr que chaque catégorie sociale fait selon ses moyens et que les ouvrages de velours ne fréquentent pas les mêmes demeures que les manches à balai.

Bouteille en verre à forme de godemichet. © RMN-Grand Palais (musée de Cluny – musée national du Moyen-Âge) / Franck Raux
En 1655, le premier roman libertin et érotique paraît anonymement à Paris et s’intitule L’École des Filles. Dans cet instructif ouvrage – dont l’époque reprocha (très justement) à son auteur son nom de « Jean l’Ange » en lui intentant un procès – dans cet ouvrage disais-je, deux cousines discutent des choses de l’amour. La plus âgée, Susanne, détaille à Fanchon la plus jeune tout ce qui a attrait aux relations entre hommes et femmes. Elle aborde ainsi et sans circonvolutions le chapitre des godemichets :

Charles de Cigogne avait omis de nous parler charcuterie et luminaire. L’exhaustivité des listes tend bien à prouver que le godemichet n’était pas un jouet aussi rare qu’on pourrait l’imaginer puisque chaque catégorie sociale trouvait dans ses ressources financières ou domestiques les moyens « d’appaiser leur chaleur & de soulager la nature vitale ».

Gravure tirée de L’École des filles – ou la philosophie des dames, premier ouvrage libertin d’auteur inconnu, parût en 1655. © Slate
Une question demeure : où se procurait-on les godemichets au XVIIe et XVIIIe siècle ? Comme au Moyen-Âge, tout dépendait des moyens financiers de l’acquéreur. Si les objets du quotidien faisaient le plus souvent l’affaire, les plus beaux exemplaires étaient achetés auprès des verriers italiens, on passait commande aux orfèvres pour ceux en argent ou bien aux ébénistes pour ceux en bois.

Deux godemichets français en palissandre et fleur-de-lysé, dans leur coffret d’origine, XVIIIe siècle Vendus en 2010 par Brentwood Antiques Auction (Angleterre) pour la somme de 3600£ © The Telegraph
Au XVIIIe siècle, il suffit de suivre les prostituées ou les adresses des bordels les plus courus pour obtenir l’objet convoité.
À Londres, il n’est rien de plus simple que de se procurer un dildo puisqu’ils se vendent au vu et au su de tous chez Madame Phillips qui tient boutique à Leicester Square, en plein cœur de Londres.
À Paris, c’est à l’adresse de Madame Marguerite Gourdan (1727 – 1783), dite la « Petite Comtesse » qu’il faut se rendre. Son établissement situé 23 rue Dussoubs accueille la plus haute société et rend les plus aimables services. À son décès, une quantité de lettres d’abbesses ou de simples nonnes furent retrouvées parmi ses papiers, toutes demandant l’envoi d’un « consolateur », l’autre nom du godemichet au XVIIIe siècle, objet dont l’entremetteuse faisait naturellement commerce.
La Fée Électricité
Puis vint la Révolution industrielle du XIXe siècle. Dès lors, le godemichet va peu à peu adopter l’allure qu’on lui connaît aujourd’hui. L’exploitation du caoutchouc d’Inde permet d’obtenir des modèles de plus en plus réaliste et de moins en moins onéreux. À Londres, ils se vendaient dans les années 1840 entre 2 et 10£ les mettant à la porter de (presque) toutes les bourses (…). Les modèles se multiplient et on en trouve bientôt pouvant être utilisés par deux personnes en même temps.
Puis vint la Révolution industrielle du XIXe siècle. Dès lors, le godemichet va peu à peu adopter l’allure qu’on lui connaît aujourd’hui. L’exploitation du caoutchouc d’Inde permet d’obtenir des modèles de plus en plus réaliste et de moins en moins onéreux. À Londres, ils se vendaient dans les années 1840 entre 2 et 10£ les mettant à la porter de (presque) toutes les bourses (…). Les modèles se multiplient et on en trouve bientôt pouvant être utilisés par deux personnes en même temps.
Les plus luxueux sont toujours réalisés en métal ou en ivoire auprès d’artisans spécialisés ou bien achetés directement dans les bordels.
Godemichet en ivoire annoté de des mentions « Carpe Diem » et « Think of me when this you see ». Angleterre, XIXe siècle. Galerie Delalande © AnticStore

Godemichet veiné et un stylet en ivoire. Travail anglais, circa 1900. Coffret à l’imitation du palissandre © Millon
C’est véritablement avec le développement des appareils électriques que le godemichet va entamer une nouvelle et éclatante carrière. Cinquième objet à être électrifié et d’invention anglaise (après la bouilloire mais avant l’aspirateur ou le fer à repasser résumant à peu de choses près les priorités d’un Anglais : le thé et le sexe), le godemichet devient vibromasseur et tient de la prescription médicale.
Le premier vibromasseur de l’histoire fut inventé par Joseph Mortimer Granville (1833 – 1900) dans à la fin du XIXe siècle
Depuis l’Antiquité, le corps médical (essentiellement masculin) demeure convaincu de la nécessité de soigner les hystériques (que sont potentiellement toutes les femmes équipées d’un utérus). La prescription faisant consensus s’accorde sur les massages vulvaires. Puisque ce même corps médical ne conçoit pas de jouissance féminine sans pénétration, le massage vulvaire et le « paroxysme hystérique » qu’il doit d’atteindre pour « soulager » la patiente est à mille lieux d’être considéré comme un orgasme. Ces massages souvent longs et barbants pour les médecins sont relégués aux sages-femmes puis aux patientes elles-mêmes, à qui il est chaudement recommandé l’utilisation de vibromasseurs pour soigner leur hystérie…

Canard vibrant, Sonia Rykiel © chicandgeek.com
Le plastique c’est fantastique,
le caoutchouc super doux
Nous l’affirmons sans complexe
Nous sommes adeptes du latex

18/09
Belle femme, non… ?
Elle aussi.
Et cette « mignonne »…?
16/10
Un mois! Un mois, que je n’ai rien écrit, ni mis une photo…rien! Faut que ça change!
5/12
A l’Ouest, rien de nouveau… A l’Est non plus d ‘ailleurs… Je l’ai dit: Faut que ça change!
Temps pourri, je vais aller marcher un peu quand même.
Cette « Nana » a un beau cul….
Je suis entrain de terminer « Lilia » Un récit que je posterai sur Revebébé, nom très con d’un site d’histoires érotiques pas trop mal mais comme le reste: peuplé de cons… et qui fonctionne de la même manière que les autres (cf Xstory) cooptation, copinage, menaces …ainsi va le monde, jé phélisophe…
17/12
Merry Xmas to you all!
Cette petite est adorable et possède un talent fou…!
21/12
Highwayman Chapitre II st sur Rêvebébé depuis hier: 2 lectures!

22/12

8/02
Publication de « Ode à un petit maillot Rouge »
12/02
Publication de » Comme une boule de flipper »
20/02
Publication de « La dame de Maubourguet »
19/03
Alors que j’envoie « Mise en pièce d’uncertain rêve américain » Voilà sur quoi je tombe en cherchant un renseignement sur Rebecca Hap: toujours son « Tomahawk »…

27/03
Pourquoi…?
Je n’en sais rien, j’ai vu ce bout de texte de la jolie chanson dans mon « Pense-bête »…
Que reste-t-il de nos amours
Que reste-t-il de ces beaux jours
Une photo, vieille photo
De ma jeunesse
Que reste-t-il des billets doux
Des mois d’avril, des rendez-vous
Un souvenir qui me poursuit
Sans cesse
Bonheur fané, cheveux au vent
Baisers volés, rêves mouvants
Que reste-t-il de tout cela? Dites le moi…
8 commentaires
Michel · avril 4, 2021 à 4:57 pm
J’ai adoré le rose bonbon !
Merci.
Jean-Pierre CAHEN · avril 5, 2021 à 11:44 am
Bonjour Iovan, été sur ton blog. Tes écris sont tellement poétiques et attachants que
je me sens de plus en proche de Toi.
Je t’embrasse, JP
Michel · mai 14, 2021 à 4:00 am
Bonjour Iovan,
Votre vie est passionnante.
Moi aussi, j’ai des contacts de jolies filles via Instagram. Elles s’offusquent quand je leur demande si elles sont escort girl et quelques lignes plus loin, elles proposent de faire quelques centaines de kilomètres pour venir me rencontrer. Je pourrais leur faire ce que je veux pour la modique somme de trois cents euros.
Je continue à vous lire. J’apprécie beaucoup votre écriture et vos récits.
Peut être qu’un jour je pourrai échanger avec une personne qui vous suit également.
Bonne journée.
Michel
Michel · mai 14, 2021 à 5:25 pm
J’ai adoré les sourires de la nymphette.
Et j’ai kiffé sur ses deux petits seins en formation.
Trop envie de les caresser, palper, lécher, sucer et j’en passe.
Ce journal est génial.
Bravo, je vous encourage à poursuivre.
Michel · mai 15, 2021 à 1:00 pm
Quelle indécente beauté, je lance un appel, mesdames, j’adore cette position où je peux caresser votre abricot avec ma langue et la glisser au plus profond de votre raie culière.
Si vous êtes demandeuse de cette position, contactez moi.
Michel · mai 15, 2021 à 10:04 pm
Et je me dis qu’après vous avoir bien lécher, je vous pénétrerai et j’éjaculerai dans un de vos deux orifices. Je ne sais pas lequel, mais j’assure le nettoyage avec ma langue dès le forfait accompli. 😜
Michel · mai 17, 2021 à 6:19 pm
Quel dommage, vous avez retiré la vidéo où la demoiselle se met deux ou trois doigts dans le cul.
C’était très excitant.
Vous n’allez pas vous ennuyer avec elle.
Je vous envie
Michel · mai 30, 2021 à 10:46 pm
Merci Iovan,
J’adore ces filles, pas du tout pudiques et qui se lâchent.
J’ai chopé la gaule.